Les parents d’élèves ont adhéré à la vision de l’école pour un démarrage des apprentissages sans heurts.
« Les parents sont nos partenaires et notre souci majeur, c’est la réussite des enfants dont les parents nous ont fait confiance en nous les confiant. Ce qui fait que nous nous préoccupons plus de l’éducation des enfants que d’argent », a confié M. Serigne Mouhamadou Mbacké Sarr au Quotidien « Le Témoin ».
Sur les trois mois réclamés par l’établissement avant toute inscription ou retrait du certificat de scolarité, M. Sarr renseigne que l’établissement ne demande plus désormais aux parents que le mois de mars qui était entamé en plus des frais d’inscription de l’année scolaire qui vient de commencer.
« Pour le reste, c’est-à-dire les mois d’avril et mai où la mensualité est de 18 000 FCFA, nous avons demandé aux parents d’élèves de payer selon un échéancier, c’est-à-dire par tempérament », explique M. Sarr.
Grâce à ce compromis, 99 % des élèves ont rejoint les salles de classe. Toutefois, se désole M. Sarr, il existe une minorité de parents qui vont dans les médias pour tenir un autre discours.
Tout en saluant l’engagement de la propriétaire de l’école qui n’a jamais voulu instaurer un bras de fer avec les parents d’élèves, M. Sarr appelle la minorité à venir discuter pour trouver un terrain d’entente. « Nous tendons la main à tous les parents et il n’est jamais trop tard pour se ressaisir. Venez, nous allons discuter chers parents. Nous sommes des partenaires. Vous ne pouvez pas aller sans nous et nous ne pouvons pas aller sans vous ».
Tel est l’appel que M. Serigne Mbacké Sarr a tenu à lancer en conclusion aux parents d’élèves « radicaux » qui refusent tout compromis
« Les parents sont nos partenaires et notre souci majeur, c’est la réussite des enfants dont les parents nous ont fait confiance en nous les confiant. Ce qui fait que nous nous préoccupons plus de l’éducation des enfants que d’argent », a confié M. Serigne Mouhamadou Mbacké Sarr au Quotidien « Le Témoin ».
Sur les trois mois réclamés par l’établissement avant toute inscription ou retrait du certificat de scolarité, M. Sarr renseigne que l’établissement ne demande plus désormais aux parents que le mois de mars qui était entamé en plus des frais d’inscription de l’année scolaire qui vient de commencer.
« Pour le reste, c’est-à-dire les mois d’avril et mai où la mensualité est de 18 000 FCFA, nous avons demandé aux parents d’élèves de payer selon un échéancier, c’est-à-dire par tempérament », explique M. Sarr.
Grâce à ce compromis, 99 % des élèves ont rejoint les salles de classe. Toutefois, se désole M. Sarr, il existe une minorité de parents qui vont dans les médias pour tenir un autre discours.
Tout en saluant l’engagement de la propriétaire de l’école qui n’a jamais voulu instaurer un bras de fer avec les parents d’élèves, M. Sarr appelle la minorité à venir discuter pour trouver un terrain d’entente. « Nous tendons la main à tous les parents et il n’est jamais trop tard pour se ressaisir. Venez, nous allons discuter chers parents. Nous sommes des partenaires. Vous ne pouvez pas aller sans nous et nous ne pouvons pas aller sans vous ».
Tel est l’appel que M. Serigne Mbacké Sarr a tenu à lancer en conclusion aux parents d’élèves « radicaux » qui refusent tout compromis