« Dans une entreprise constante visant à salir l’ancien régime et à nuire à la réputation du Sénégal, le gouvernement sort de son chapeau, une nouvelle accusation ridicule de « dette cachée ».
Comment peut-on cacher une dette de 7 milliards de dollars, dont les créanciers existent, dont le remboursement est effectif et dont les montants sont traçables dans des comptes à la disposition de tous les corps de contrôle ?
Dans cette polémique, le FMI, qui n'a aucun moyen de confirmer ou d'infirmer l'encours de la dette du Sénégal, ne valide rien et contribue à établir un seul constat : Ousmane Sonko a sciemment mis en danger la souveraineté nationale, de par ses accusations grossières, qui ruinent la signature, le crédit et le prestige de notre pays.
Le Sénégal est désormais l’otage du FMI, avec des conséquences sociales graves pour nos concitoyens, notamment les plus précaires. Avec l’abaissement de la note souveraine, la suppression annoncée des subventions et la cure d'austérité en cours, le Sénégal voit sa crédibilité et sa signature ruinées par des incompétents, dont la seule volonté est de justifier leur immobilisme, par une diffusion de la haine et du ressentiment vis-à-vis du Président Macky Sall et son régime.
Les accusations grossières et fantaisistes n’occultent pas les 365 jours de vide de gens techniquement incompétents, politiquement impréparés et socialement immatures.
En nous tenant prêts pour la réunion de travail avec le FMI, nous réitérons, dans la foulée, notre volonté de débattre avec les "4 000 cadres" de Pastef, sur l’état réel des finances publiques. »
Hamidou Anne
Comment peut-on cacher une dette de 7 milliards de dollars, dont les créanciers existent, dont le remboursement est effectif et dont les montants sont traçables dans des comptes à la disposition de tous les corps de contrôle ?
Dans cette polémique, le FMI, qui n'a aucun moyen de confirmer ou d'infirmer l'encours de la dette du Sénégal, ne valide rien et contribue à établir un seul constat : Ousmane Sonko a sciemment mis en danger la souveraineté nationale, de par ses accusations grossières, qui ruinent la signature, le crédit et le prestige de notre pays.
Le Sénégal est désormais l’otage du FMI, avec des conséquences sociales graves pour nos concitoyens, notamment les plus précaires. Avec l’abaissement de la note souveraine, la suppression annoncée des subventions et la cure d'austérité en cours, le Sénégal voit sa crédibilité et sa signature ruinées par des incompétents, dont la seule volonté est de justifier leur immobilisme, par une diffusion de la haine et du ressentiment vis-à-vis du Président Macky Sall et son régime.
Les accusations grossières et fantaisistes n’occultent pas les 365 jours de vide de gens techniquement incompétents, politiquement impréparés et socialement immatures.
En nous tenant prêts pour la réunion de travail avec le FMI, nous réitérons, dans la foulée, notre volonté de débattre avec les "4 000 cadres" de Pastef, sur l’état réel des finances publiques. »
Hamidou Anne