Les camarades de Moctar Sourang sont convaincus que techniquement, ces joutes peuvent avoir lieu en fin de cette année. Et face à la presse ce mercredi, l’expert dudit front dans le domaine des élections, par ailleurs tête de file des émissaires à la Commission politique du Dialogue national a exposé ses arguments.
«Il existe quatre étapes nécessaires pour organiser des élections. La première étape, c’est l’audit du fichier pour 90 jours et se termine en mi-mai, l’évaluation du processus électoral pour 60 jours devant finir en fin mai. Les résultats de ces deux opérations et ceux du Dialogue politique vont impacter le code électoral et le code des collectivités territoriales, c’est pourquoi il y a une seconde étape qui va concerner la revue du code électoral et celle des collectivités locales et certains points en suspens, qui seront discutés pour une durée de 30 jours», a d’emblée, expliqué Saliou Sarr.
Après la revue exceptionnelle des listes électorales, renchérit-il, «une durée de 60 jours sera consacrée essentiellement à l’inscription des jeunes qui atteindront l’âge de voter. Et cela a été une proposition de l’administration en charge de l’organisation des élections. Enfin, une 4e étape qui sera consacrée aux dépôts de candidatures et c’est le code électoral qui a prévu 80 à 85 jours, avant la date des élections».
Ainsi, estime-t-il, «si nous faisons la récapitulation de ces différents délais, on tombe à 7 mois 25 jours donc, un peu moins de 8 mois. Si l’on prend comme date de départ le 2 avril 2021 comme celle d’évaluation du processus, on voit bien que techniquement nous pouvons bel et bien organiser les élections locales au mois de décembre 2021, au plus tard».
«Il existe quatre étapes nécessaires pour organiser des élections. La première étape, c’est l’audit du fichier pour 90 jours et se termine en mi-mai, l’évaluation du processus électoral pour 60 jours devant finir en fin mai. Les résultats de ces deux opérations et ceux du Dialogue politique vont impacter le code électoral et le code des collectivités territoriales, c’est pourquoi il y a une seconde étape qui va concerner la revue du code électoral et celle des collectivités locales et certains points en suspens, qui seront discutés pour une durée de 30 jours», a d’emblée, expliqué Saliou Sarr.
Après la revue exceptionnelle des listes électorales, renchérit-il, «une durée de 60 jours sera consacrée essentiellement à l’inscription des jeunes qui atteindront l’âge de voter. Et cela a été une proposition de l’administration en charge de l’organisation des élections. Enfin, une 4e étape qui sera consacrée aux dépôts de candidatures et c’est le code électoral qui a prévu 80 à 85 jours, avant la date des élections».
Ainsi, estime-t-il, «si nous faisons la récapitulation de ces différents délais, on tombe à 7 mois 25 jours donc, un peu moins de 8 mois. Si l’on prend comme date de départ le 2 avril 2021 comme celle d’évaluation du processus, on voit bien que techniquement nous pouvons bel et bien organiser les élections locales au mois de décembre 2021, au plus tard».