En réponse à leurs revers en cascade sur la scène internationale, les responsables polisariens viennent très récemment de décider d’accentuer le règne de la terreur dans les camps des séquestrés sahraouis de Tindouf et de multiplier les violations des Droits de l’Homme sur tout séquestré soupçonné un tant soit peu de soutenir le plan d’autonomie proposé par le Maroc.
En effet, depuis la visite de Travail de Sa Majesté le Roi Mohammed VI aux Etats-Unis d’Amérique, où il a eu des entretiens fructueux avec le Président Barack Obama, le Secrétaire d’Etat et le Secrétaire à la Défense américains ainsi qu’avec Madame Hillary Clinton, un vent de panique s’est emparé dans les rangs des dirigeants polisariens et algériens.
Ces derniers, désemparés et craignant des émeutes, ont mis en place un système répréssif sans commune mesure dans les camps de la honte de Tindouf, multiplié les opérations de contrôle et interdit tout déplacement entre les camps.
Avec ces nouvelles mesures coercitives et inhumaines imposées avec bestialité par les responsables sécuritaires algériens et les miliciens polisariens, seuls les membres de la direction du polisario et les partisans de ce mouvement terroriste sont autorisés à se mouvoir librement entre les camps et en dehors.
Ces nouvelles atteintes aux Droits de l’Homme, perpétrées à l’encontre des réfugiés sahraouis, font suite au sentiment de délivrance qu’à ressenti la très grande majorité de la population sahraouie embastillée à Tindouf après le soutien déclaré des Etats-Unis d’Amérique au plan proposé par le Maroc. Un Plan qualifié de «sérieux et crédible» par la Maison Blanche.
En plus du mépris dans lequel les principales capitales internationales tiennent le projet concocté par les généraux algériens sur le dossier du Sahara marocain, c’est à présent leurs amis d’hier qui retirent à tour de rôle leur reconnaissance à l’imaginaire RASD.
Dernier en date le Panama qui fut suivi par la suspension de toutes relations avec le polisario par la Chambre Haute du Parlement du Paraguay.
Des décisions largement diffusées et saluées par les médias de plusieurs pays d’Amérique Latine et qui ont suscité des scènes de liesses dans les camps de Tindouf.
Ainsi le fol espoir des responsables algériens d’installer un Etat fantôme à sa solde dans les provinces sahariennes marocaines est définitivement relégué aux oubliettes de l’histoire d’autant plus que d’autres pays s’apprêtent à retirer très prochainement leur reconnaissance au pseudo RASD et que le prochain Sommet de l’Union Africaine, qui se tiendra fin janvier 2014 au Gabon, pourrait réserver bien des surprises.
Enfin, et pour conclure, j’invite les lecteurs à lire les témoignages de deux victimes des sauvageries du polisario à savoir : Abdellah Lamani et Saâdani Maoulainine.
Des témoignages accablants qu’ils ont livrés lors d'un débat sur «Les Droits de l'Homme et la Paix» organisé dans le cadre du Forum Mondial des Droits de l'Homme (FMDH), tenu du 10 au 13 décembre 2013 à Brasilia.
C’est pourquoi, il est urgent qu’une commission internationale des Droits de l’Homme effectue une mission dans les camps des séquestrés sahraouis à Tindouf afin de constater in situ de la triste réalité et de recueillir les preuves irréfutables de la situation alarmante et déplorable qui prévaut dans ces prisons à ciel ouvert où les dirigeants algéro-polisariens imposent un black out total de crainte de voir leurs barbares agissements dévoilés à la Communauté internationale.
Farid Mnebhi.
En effet, depuis la visite de Travail de Sa Majesté le Roi Mohammed VI aux Etats-Unis d’Amérique, où il a eu des entretiens fructueux avec le Président Barack Obama, le Secrétaire d’Etat et le Secrétaire à la Défense américains ainsi qu’avec Madame Hillary Clinton, un vent de panique s’est emparé dans les rangs des dirigeants polisariens et algériens.
Ces derniers, désemparés et craignant des émeutes, ont mis en place un système répréssif sans commune mesure dans les camps de la honte de Tindouf, multiplié les opérations de contrôle et interdit tout déplacement entre les camps.
Avec ces nouvelles mesures coercitives et inhumaines imposées avec bestialité par les responsables sécuritaires algériens et les miliciens polisariens, seuls les membres de la direction du polisario et les partisans de ce mouvement terroriste sont autorisés à se mouvoir librement entre les camps et en dehors.
Ces nouvelles atteintes aux Droits de l’Homme, perpétrées à l’encontre des réfugiés sahraouis, font suite au sentiment de délivrance qu’à ressenti la très grande majorité de la population sahraouie embastillée à Tindouf après le soutien déclaré des Etats-Unis d’Amérique au plan proposé par le Maroc. Un Plan qualifié de «sérieux et crédible» par la Maison Blanche.
En plus du mépris dans lequel les principales capitales internationales tiennent le projet concocté par les généraux algériens sur le dossier du Sahara marocain, c’est à présent leurs amis d’hier qui retirent à tour de rôle leur reconnaissance à l’imaginaire RASD.
Dernier en date le Panama qui fut suivi par la suspension de toutes relations avec le polisario par la Chambre Haute du Parlement du Paraguay.
Des décisions largement diffusées et saluées par les médias de plusieurs pays d’Amérique Latine et qui ont suscité des scènes de liesses dans les camps de Tindouf.
Ainsi le fol espoir des responsables algériens d’installer un Etat fantôme à sa solde dans les provinces sahariennes marocaines est définitivement relégué aux oubliettes de l’histoire d’autant plus que d’autres pays s’apprêtent à retirer très prochainement leur reconnaissance au pseudo RASD et que le prochain Sommet de l’Union Africaine, qui se tiendra fin janvier 2014 au Gabon, pourrait réserver bien des surprises.
Enfin, et pour conclure, j’invite les lecteurs à lire les témoignages de deux victimes des sauvageries du polisario à savoir : Abdellah Lamani et Saâdani Maoulainine.
Des témoignages accablants qu’ils ont livrés lors d'un débat sur «Les Droits de l'Homme et la Paix» organisé dans le cadre du Forum Mondial des Droits de l'Homme (FMDH), tenu du 10 au 13 décembre 2013 à Brasilia.
C’est pourquoi, il est urgent qu’une commission internationale des Droits de l’Homme effectue une mission dans les camps des séquestrés sahraouis à Tindouf afin de constater in situ de la triste réalité et de recueillir les preuves irréfutables de la situation alarmante et déplorable qui prévaut dans ces prisons à ciel ouvert où les dirigeants algéro-polisariens imposent un black out total de crainte de voir leurs barbares agissements dévoilés à la Communauté internationale.