A six jours du scrutin, la bataille continue toujours entre le camp du pouvoir et celui de l’opposition notamment la coalition Manko taxawu Senegal. Thérèse Faye Diouf, ce lundi, à travers une conférence de presse, en a profité pour traiter la tête de liste de la coalition précitée, Abdoulaye Wade de tous les noms d’oiseau.
Thérèse Faye Diouf et Cie se sont d’abord rappelés des « séquelles de la mal gouvernance de l’ancien président de la république du Sénégal en 2012 » qui selon eux « demeurent indélébiles » dans la mémoire des Sénégalais.
Pour la directrice de la Cojer, le Parti démocratique sénégalais (Pds) depuis 2012, est incapable de trouver un leader capable de le diriger. Ainsi des « ‘’pseudo’’ responsables se cachent derrière le père de Karim Wade pour mener un combat antirépublicain.
En effet la Cojer rappelle que le terrain politique « n’est ni une guérilla, ni un champ de combat et d’agression verbale ». De ce fait, la mairesse de Diarère a invité l’opposition a la « lucidité et la cohérence », tout en déplorant la violence orchestrée par les militants de la coalition Manko taxawu Sénégal.
« Les militants des droits de l’homme devraient alerter l’opinion nationale et internationale pour la protection de ce symbole et dénoncer cette machination d’un vieillard par un parti politique en chute libre et sans vision », a lancé Thérèse Faye Diouf
Le maire de la commune de Mermoz-Sacré-Cœur, Barthelemy Dias, n’a pas échappé à la chasse aux sorcières lancée par la Cojer. Selon ces jeunes républicains, le responsable socialiste a réuni toutes des conditions pour démontrer son « arrogance et sa mauvaise foi ». Et pour Thérèse Faye Diouf et Cie M. Dias qui doit plus s’atteler à la quête de diplômes ne peut pas être un modèle pour la jeunesse sénégalaise.
La Cojer se dit prête à faire face à toute tentative de sabotage du scrutin par l’opposition et appelle les militants à retirer massivement leurs cartes biométriques de la Cedeao pour garantir à la Coalition Benno Bokk yaakaar (Bby), une majorité absolue lors des élections législatives du 30 juillet.
Cheikh Makhfou Diop Leral.net
Thérèse Faye Diouf et Cie se sont d’abord rappelés des « séquelles de la mal gouvernance de l’ancien président de la république du Sénégal en 2012 » qui selon eux « demeurent indélébiles » dans la mémoire des Sénégalais.
Pour la directrice de la Cojer, le Parti démocratique sénégalais (Pds) depuis 2012, est incapable de trouver un leader capable de le diriger. Ainsi des « ‘’pseudo’’ responsables se cachent derrière le père de Karim Wade pour mener un combat antirépublicain.
En effet la Cojer rappelle que le terrain politique « n’est ni une guérilla, ni un champ de combat et d’agression verbale ». De ce fait, la mairesse de Diarère a invité l’opposition a la « lucidité et la cohérence », tout en déplorant la violence orchestrée par les militants de la coalition Manko taxawu Sénégal.
« Les militants des droits de l’homme devraient alerter l’opinion nationale et internationale pour la protection de ce symbole et dénoncer cette machination d’un vieillard par un parti politique en chute libre et sans vision », a lancé Thérèse Faye Diouf
Le maire de la commune de Mermoz-Sacré-Cœur, Barthelemy Dias, n’a pas échappé à la chasse aux sorcières lancée par la Cojer. Selon ces jeunes républicains, le responsable socialiste a réuni toutes des conditions pour démontrer son « arrogance et sa mauvaise foi ». Et pour Thérèse Faye Diouf et Cie M. Dias qui doit plus s’atteler à la quête de diplômes ne peut pas être un modèle pour la jeunesse sénégalaise.
La Cojer se dit prête à faire face à toute tentative de sabotage du scrutin par l’opposition et appelle les militants à retirer massivement leurs cartes biométriques de la Cedeao pour garantir à la Coalition Benno Bokk yaakaar (Bby), une majorité absolue lors des élections législatives du 30 juillet.
Cheikh Makhfou Diop Leral.net