C. F., âgé de 51 ans, est détenu au commissariat de Thiaroye. Il a retenu ses deux jeunes filles, âgées de 5 et 3 ans, captives dans sa chambre, avant d’entamer une attaque contre la plus jeune, A. F., en lui tranchant la gorge. Par chance, l’horreur a été évitée grâce à l’intervention rapide de la police, qui l’a appréhendé en flagrant délit.
La fillette blessée est actuellement hospitalisée dans un état critique, à l’hôpital de Fann, comme rapporté par "L’Observateur", repris par "Senenews". "Les Échos" du jour déclarent que le père a sombré dans la folie, après son retour au Sénégal à la suite d’un long séjour en France. Selon le journal, lorsqu’il perd la raison, il instaure la terreur au sein de sa famille et profère des menaces incessantes.
Le même média révèle qu’en raison de son état mental, il avait cessé toute activité commerciale, domaine dans lequel il s’était reconverti après son retour, afin de suivre un traitement à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye. Sa femme l’accompagnait régulièrement pour ses consultations, précise la source.
Lors de sa dernière crise avant son arrestation, poursuit cette dernière, il a enfermé ses deux filles encore au lit, criant le nom d’un membre de sa belle-famille : « J’ai appris que vous étiez en train de manigancer, de comploter pour me tuer. Mais, c’est peine perdue. Autrement, si vous tentez de le faire, vous aurez deux cadavres dans la maison ».
La fillette blessée est actuellement hospitalisée dans un état critique, à l’hôpital de Fann, comme rapporté par "L’Observateur", repris par "Senenews". "Les Échos" du jour déclarent que le père a sombré dans la folie, après son retour au Sénégal à la suite d’un long séjour en France. Selon le journal, lorsqu’il perd la raison, il instaure la terreur au sein de sa famille et profère des menaces incessantes.
Le même média révèle qu’en raison de son état mental, il avait cessé toute activité commerciale, domaine dans lequel il s’était reconverti après son retour, afin de suivre un traitement à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye. Sa femme l’accompagnait régulièrement pour ses consultations, précise la source.
Lors de sa dernière crise avant son arrestation, poursuit cette dernière, il a enfermé ses deux filles encore au lit, criant le nom d’un membre de sa belle-famille : « J’ai appris que vous étiez en train de manigancer, de comploter pour me tuer. Mais, c’est peine perdue. Autrement, si vous tentez de le faire, vous aurez deux cadavres dans la maison ».