"Hier soir, en pleine campagne électorale, notre convoi a été stoppé sans explication au rond-point d'Ourossogui par la Gendarmerie, sous prétexte qu'« Ousmane Sonko doit passer ». Le candidat de Pastef, traversant des villages précaires avec plus de 50 véhicules remplis de militants, transportés de localité en localité, pour servir de décor.
Que dire des deux ambulances, symbole cruel pour des populations dont l’accès aux soins est un mirage ? Tout cela est d’une violence symbolique inouïe envers nos concitoyens.
Je condamne cette instrumentalisation des institutions et appelle les Sénégalais le 17 novembre, à refuser de céder le pays à ceux qui se croient déjà tout-puissants".
Thierno Alassane Sall
Que dire des deux ambulances, symbole cruel pour des populations dont l’accès aux soins est un mirage ? Tout cela est d’une violence symbolique inouïe envers nos concitoyens.
Je condamne cette instrumentalisation des institutions et appelle les Sénégalais le 17 novembre, à refuser de céder le pays à ceux qui se croient déjà tout-puissants".
Thierno Alassane Sall