
"Moustapha Diakhaté est un populiste primaire qui ne détournera pas Rewmi de son choix de veiller au respect des promesses faites aux populations et à la sauvegarde des principes et valeurs qui fondent la République", crache Thierno Bocoum. Pour le chargé de communication de Rewmi, M. Diakhaté devrait servir le groupe Benno Bokk Yakaar en travaillant pour "maintenir sa crédibilité aux yeux des populations qui nous ont élus et non se servir du groupe pour asseoir une tribune lui permettant de satisfaire un agenda politique". "A défaut d’une légitimité historique et politique, Moustapha Diakhaté cherche une légitimité par la langue. Il pense que c’est en s’attaquant à Idrissa Seck et en jouant le rôle de main-armée, qu’il va maintenir une position inespérée. Seulement il risque d’être seul sur ce terrain. Les Sénégalais ont besoin de dirigeants qui refusent de nier les évidences et qui se concentrent sur la satisfaction des intérêts majeurs des populations et non de laudateurs zélés qui ne vivent qu’au dépend de leurs bienfaiteurs", explique le jeune député.
Thierno Bocoum pense que l'heure n'est pas au débat politico-politique car l'urgence se trouve ailleurs. "Conscients de notre responsabilité vis-à-vis des populations , nous sommes en devoir de lui rappeler qu’à l’assemblée nationale l’heure est à la mise sur pied de commissions d’enquêtes parlementaires sur toutes les questions nébuleuses et non à travers une sélection suspecte guidée par des intérêts identifiés. L’heure est à la promotion de l’initiative parlementaire et non à se glorifier du vote des lois initiées par l’exécutif. L’heure est également à la formation des députés, au contrôle effectif de l’exécutif…", prévient T. Bocoum.
Thierno Bocoum pense que l'heure n'est pas au débat politico-politique car l'urgence se trouve ailleurs. "Conscients de notre responsabilité vis-à-vis des populations , nous sommes en devoir de lui rappeler qu’à l’assemblée nationale l’heure est à la mise sur pied de commissions d’enquêtes parlementaires sur toutes les questions nébuleuses et non à travers une sélection suspecte guidée par des intérêts identifiés. L’heure est à la promotion de l’initiative parlementaire et non à se glorifier du vote des lois initiées par l’exécutif. L’heure est également à la formation des députés, au contrôle effectif de l’exécutif…", prévient T. Bocoum.