Les faits se sont déroulés le 11 mars 2011, lorsque les gendarmes de Joal ont reçu un appel téléphonique du médecin de garde du district sanitaire, faisant état de la découverte, dans la lagune de Fadiouth, d’un corps sans vie de sexe féminin.
Entendue par les enquêteurs, Mame Sana Seck, auteur de la découverte, déclare aux gendarmes qu’il avait pris dans ses filets le cadavre du nouveau-né, au cours d’une partie de pêche.
Au cours de l’enquête, le médecin-chef du district informait les gendarmes qu’une fille est venue la veille en consultation post-natale et était soupçonnée d’être la mère du nouveau-né dont le corps sans vie était découvert.
Entendue par les enquêteurs, Aissatou Diakhere Ndiaye, née en 1991, reconnait les faits. Elle déclare avoir pris une grossesse non désirée des œuvres d'Aimé François Diouf.
Dans une autre affaire, la Cour d’assises a jugé et condamné l’accusée Elisabeth Ngom, inculpée d’infanticide, à 6 ans de travaux forcés.
Selon l’acte d’accusation, le 21 juin 2012, les gendarmes de Saly ont été informés du meurtre commis sur un nouveau-né au quartier Carrefour de Saly.
Elisabeth Ngom, la mise en cause, a affirmé, devant les gendarmes enquêteurs, avoir mis au monde un enfant mort-né et qu’elle avait enterré.
L’avocat général, dans ses réquisitoires, pour les deux cas d’infanticide, a déclaré les accusées toutes coupables des délits d’infanticide. Il a ainsi requis 10 ans de travaux forcés pour chacune.
Par contre, les avocats de la défense ont sollicité l’acquittement de leurs clientes, ou, a défaut une application bienveillante de loi.
A l’issue de son délibéré, la Cour d’assises a condamné respectivement Aissatou Diakhere Ndiaye et Elisabeth Ngom à des peines de 6 ans de travaux forcés.
APS
Entendue par les enquêteurs, Mame Sana Seck, auteur de la découverte, déclare aux gendarmes qu’il avait pris dans ses filets le cadavre du nouveau-né, au cours d’une partie de pêche.
Au cours de l’enquête, le médecin-chef du district informait les gendarmes qu’une fille est venue la veille en consultation post-natale et était soupçonnée d’être la mère du nouveau-né dont le corps sans vie était découvert.
Entendue par les enquêteurs, Aissatou Diakhere Ndiaye, née en 1991, reconnait les faits. Elle déclare avoir pris une grossesse non désirée des œuvres d'Aimé François Diouf.
Dans une autre affaire, la Cour d’assises a jugé et condamné l’accusée Elisabeth Ngom, inculpée d’infanticide, à 6 ans de travaux forcés.
Selon l’acte d’accusation, le 21 juin 2012, les gendarmes de Saly ont été informés du meurtre commis sur un nouveau-né au quartier Carrefour de Saly.
Elisabeth Ngom, la mise en cause, a affirmé, devant les gendarmes enquêteurs, avoir mis au monde un enfant mort-né et qu’elle avait enterré.
L’avocat général, dans ses réquisitoires, pour les deux cas d’infanticide, a déclaré les accusées toutes coupables des délits d’infanticide. Il a ainsi requis 10 ans de travaux forcés pour chacune.
Par contre, les avocats de la défense ont sollicité l’acquittement de leurs clientes, ou, a défaut une application bienveillante de loi.
A l’issue de son délibéré, la Cour d’assises a condamné respectivement Aissatou Diakhere Ndiaye et Elisabeth Ngom à des peines de 6 ans de travaux forcés.
APS