Les faits se sont déroulés le 24 septembre 2012. Les éléments du commissariat central de Thiès étaient informés de la mort suspecte de la jeune fille Thioro Ndiaye âgée de 7 ans, venue en vacances chez son grand père au quartier Diakhao à Thiès.
Elle est battue par Ndèye Diossy Faye, épouse de son père. La victime est inhumée le même jour.
Arrivés sur les lieux, les enquêteurs interpellent la mise en cause avant d’ordonner l’exhumation du cadavre. L’autopsie a révélé des contusions multiples du thorax et des luxations importantes à la suite des coups et blessures.
Selon l’enquête, le grand-père de la victime affirmait n’être pas présent sur les lieux le jour des faits et qu’il avait simplement trouvé sa petite fille couchée sur une natte, souffrant de douleurs. Elle décédera à l'hôpital.
Interrogée, l’accusée a tenté de nier les faits, attestant vouloir corriger la fille qui avait, la veille, uriné sur le lit. Elle a affirmé ne pas vouloir lui donner la mort.
Devant la Cour, l’avocat général a souligné que Diossy Faye est bien coupable des faits qui lui sont reprochés pour avoir donné des coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort de la fillette Ndèye Thioro Ndiaye. Il a requis 12 ans de travaux forcés contre elle.
Les avocats de la défense ont plaidé l’acquittement de leur client, qui selon eux, ''n’a pas volontairement donné la mort'' à la fille. La défense a souligné que Ndèye Diossy Faye a voulu éduquer la fille de son mari et que son décès relève d'un accident.
La Cour d’assises a finalement reconnue l'accusée coupable des faits qui lui sont reprochés. Elle a écopé de 4 ans de travaux forcés.
APS
Elle est battue par Ndèye Diossy Faye, épouse de son père. La victime est inhumée le même jour.
Arrivés sur les lieux, les enquêteurs interpellent la mise en cause avant d’ordonner l’exhumation du cadavre. L’autopsie a révélé des contusions multiples du thorax et des luxations importantes à la suite des coups et blessures.
Selon l’enquête, le grand-père de la victime affirmait n’être pas présent sur les lieux le jour des faits et qu’il avait simplement trouvé sa petite fille couchée sur une natte, souffrant de douleurs. Elle décédera à l'hôpital.
Interrogée, l’accusée a tenté de nier les faits, attestant vouloir corriger la fille qui avait, la veille, uriné sur le lit. Elle a affirmé ne pas vouloir lui donner la mort.
Devant la Cour, l’avocat général a souligné que Diossy Faye est bien coupable des faits qui lui sont reprochés pour avoir donné des coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort de la fillette Ndèye Thioro Ndiaye. Il a requis 12 ans de travaux forcés contre elle.
Les avocats de la défense ont plaidé l’acquittement de leur client, qui selon eux, ''n’a pas volontairement donné la mort'' à la fille. La défense a souligné que Ndèye Diossy Faye a voulu éduquer la fille de son mari et que son décès relève d'un accident.
La Cour d’assises a finalement reconnue l'accusée coupable des faits qui lui sont reprochés. Elle a écopé de 4 ans de travaux forcés.
APS