Thioro Balbaaki, la fille qui veut arracher Djily Création des mains de Nadège

mbété hippopotamme tchimmmmmmmmmmm

Je la trouve moche, moche, et elle m'a l'air d'une fille qui n'a pas beaucoup d'hygiene. Et en plus...Formou Ngainde laaa ammmm... Touti si souff, nagueh si kow.. MELNI GOOR BOU TAKHAW.. Pute, pute rekk.. JE me demande lann moy Samsung Galaxy.. meme mon fils lyceen qui travaille a Gap... le week end l'a achete.. allez travailler.. Go and work, and stop being lazy ass... Amoul fouleu ak fayda.. vraiment je suis desolee au Senegal.. ou les filles pas toutes, n;ont rien dans la cervelle.. Chimm chimmm

deune bi baakhna!! kél vienne me donner just 1 min rék ma daanou

Mais k est ce Djily cherche dans ça?

On disait "qui cherche trouve." Madame ne doit pas lire les sms de monsieur. Je ne dédouane pas pour autant cette pétasse de Balbaki car il n'y a pa si longtemps elle faisait les choux gras de la presse avec son differend avec Cheikh Yérim et le richissime business man Guissé. Je me demande au juste ce que signifie "jet-setteuse" ici au Sénégal? Ce n'est rien d'autre que de la débauche. L'autorité parentale est sérieusement mal menée dans ce pays. La Nation, dans toutes ses composantes, doit réagir face à ce phénomène inquiétant qu'est la dégradation des moeurs, en l'occurence dans le milieu dit du show biz.Les parents ont depuis longtemps baissé les bras et renoncé à fixer les limites à ne pas franchir pour leurs progénitures. C'est vrai que la crise est là mais elle ne peut nullement être une excuse pour justifier le renoncement de certains parents. La femme est célébrée tous les 8 mars avec des discours qui ne sont que superficiels. Si les femmes sont le laboratoire et grenier du Bon Dieu, nous nous devons de veiller à ce que toutes les conditions soient réunies pour que ce qui sort de ce laboratoire soit un produit pur et digne de refléter toutes les qualités qu'Allah a placé en la femme. Quel péché avons-nous commis pour mériter d'avoir le genre de femmes qu'il ya aujourd'hui dans notre pays. Remontons plus loin dans le temps et voyons les qualités qui ont vallu à la femme d'être cité dans les LIvres Saints. Mariam(Marie) La Sainte Mère de Issa(Jésus) en est la parfaite illustration, elle qui a donné son nom à une sourate (chapitre) du Coran. Plus proches de nous, Mame Adama Aissé(mère de El Hadj Oumar Foutiyou Tall), Mame Diarra Bousso(mère de Khadimou Rassoul) et Mame Fawade Wellé (mère de El Hadj Malick). Macha Allah que de femmes bien exemplaires pour nos femmes d'aujourd'hui! Pourquoi aller chercher ailleurs des modèles alors qu'on en a ici chez nous? Notre unique salut réside dans cette voie qu'avaient tracée nos illustres ancêtres. Les difficultés liées à la conjoncture, cette insécurité permanante et générale que nous vivons dans tout le pays nous renvoient toujours à la condition de la femme. Si les agressions sexuelles prennent de l'ampleur c'est parce que l'accoutrement de ces dernières laisse à désirer. Aucune fille n'a plus froid aux yeux. Nos anciens n'ont plus la place qui est la leur dans nos familles. Nos femmes et nos soeurs sont moins impliquées dans l'éducation des enfants contrairement à ce qui se faisait au siècle dernier. Le résultat est là: dans la rue le manque d'éducation saute aux yeux. Ce que jadis faisaient les chiens et les anes dans la rue, est devunu l'apanage des jeunes filles. L'accoutrement, osons le dire, ne doit même plus être appelé comme tel car c'est devenu du yaramou nène. On ne peut même plus marcher dans la rue sans être agressé par ces filles mal habillées. On détourne le regard pour ne pas voir et rebelote on tombe sur pire. Et alors peut-on précauniser de fermer les yeux en marchant? En tout cas beaucoup de gens ont fermé les yeux au sens figuré car ils ne prennent pas leurs responsabilités pour combattre le mal alors qu'ils ouvrent grandement les yeux pour apprécier les belles rondeurs de ces dames aux moeurs légères.L'heure est grave pour que tout un chacun s'y mette afin que cette déperdition cesse enfin et qu'un climat plus clean s'installe dans nos cités avec moins d'exhibition.