Arrivé hier vendredi 19 juin au pays de Joseph Kabila, ensemble avec les membres de son groupe musicale, 15 au total, le chanteur ivoirien de reggae, très engagé pour la cause politique mais aussi sociale du continent africain, Tiken Jah Fakoly a été purement et simplement refoulé, dès son arrivée à Kinshasa.
Alors que l’artiste parle de censure, le son de cloche est tout autre du côté des autorités congolaises. D’après le porte-parole du gouvernement congolais, le ministre Lambert Mendé, il y a un problème de fraude fiscale qui a occasionné ce refoulement. ‘‘Ce que les services d'immigration nous disent, c'est qu'il y a eu des déclarations qui sont en contradiction avec ce qui est porté sur le visa. On demande un visa touristique et on vient ici faire une activité professionnelle avec, à la clé, des revenus sur lesquels il faut payer certaines taxes. Ils ont donc estimé qu'il y avait une tentative de fraude et c'est pourquoi il a été renvoyé avec toute son équipe. Nous sommes très sévères, ces jours-ci, avec cela. L'Etat voudrait maximiser ses recettes, et se montre, par conséquent, sévère partout où il y a des fraudes et où il y a des fuites de revenus publics’’, a expliqué, à nos confrères de Rfi, Lambert Mendé. une version qui va largement en contradiction avec celle de l’artiste que a indiqué pour sa part avoir été ‘‘censuré par rapport aux messages que je passe pendant les concerts et par rapport à l’alternance qui est quelque chose de très important, pour nous, aujourd’hui. Je pense qu’il n’y aura pas de vraie démocratie sans alternance. Et c’est après l’alternance, dans tous ces pays-là, qu’on arrivera à une vraie démocratie et quand on sera en démocratie, on entamera alors le vrai développement’’. Il se dit d’ailleurs n’être pas surpris par ce constats selon lequel il représente un danger pour le régime en place, quant il sait ‘‘qu’il y a des militants des droits de l’Homme qui sont en prison, au Congo’’ et que ‘‘la liberté d’expression n’existe pas dans ce pays’’.
Alors que l’artiste parle de censure, le son de cloche est tout autre du côté des autorités congolaises. D’après le porte-parole du gouvernement congolais, le ministre Lambert Mendé, il y a un problème de fraude fiscale qui a occasionné ce refoulement. ‘‘Ce que les services d'immigration nous disent, c'est qu'il y a eu des déclarations qui sont en contradiction avec ce qui est porté sur le visa. On demande un visa touristique et on vient ici faire une activité professionnelle avec, à la clé, des revenus sur lesquels il faut payer certaines taxes. Ils ont donc estimé qu'il y avait une tentative de fraude et c'est pourquoi il a été renvoyé avec toute son équipe. Nous sommes très sévères, ces jours-ci, avec cela. L'Etat voudrait maximiser ses recettes, et se montre, par conséquent, sévère partout où il y a des fraudes et où il y a des fuites de revenus publics’’, a expliqué, à nos confrères de Rfi, Lambert Mendé. une version qui va largement en contradiction avec celle de l’artiste que a indiqué pour sa part avoir été ‘‘censuré par rapport aux messages que je passe pendant les concerts et par rapport à l’alternance qui est quelque chose de très important, pour nous, aujourd’hui. Je pense qu’il n’y aura pas de vraie démocratie sans alternance. Et c’est après l’alternance, dans tous ces pays-là, qu’on arrivera à une vraie démocratie et quand on sera en démocratie, on entamera alors le vrai développement’’. Il se dit d’ailleurs n’être pas surpris par ce constats selon lequel il représente un danger pour le régime en place, quant il sait ‘‘qu’il y a des militants des droits de l’Homme qui sont en prison, au Congo’’ et que ‘‘la liberté d’expression n’existe pas dans ce pays’’.
gbe24
Alors que l’artiste parle de censure, le son de cloche est tout autre du côté des autorités congolaises. D’après le porte-parole du gouvernement congolais, le ministre Lambert Mendé, il y a un problème de fraude fiscale qui a occasionné ce refoulement. ‘‘Ce que les services d'immigration nous disent, c'est qu'il y a eu des déclarations qui sont en contradiction avec ce qui est porté sur le visa. On demande un visa touristique et on vient ici faire une activité professionnelle avec, à la clé, des revenus sur lesquels il faut payer certaines taxes. Ils ont donc estimé qu'il y avait une tentative de fraude et c'est pourquoi il a été renvoyé avec toute son équipe. Nous sommes très sévères, ces jours-ci, avec cela. L'Etat voudrait maximiser ses recettes, et se montre, par conséquent, sévère partout où il y a des fraudes et où il y a des fuites de revenus publics’’, a expliqué, à nos confrères de Rfi, Lambert Mendé. une version qui va largement en contradiction avec celle de l’artiste que a indiqué pour sa part avoir été ‘‘censuré par rapport aux messages que je passe pendant les concerts et par rapport à l’alternance qui est quelque chose de très important, pour nous, aujourd’hui. Je pense qu’il n’y aura pas de vraie démocratie sans alternance. Et c’est après l’alternance, dans tous ces pays-là, qu’on arrivera à une vraie démocratie et quand on sera en démocratie, on entamera alors le vrai développement’’. Il se dit d’ailleurs n’être pas surpris par ce constats selon lequel il représente un danger pour le régime en place, quant il sait ‘‘qu’il y a des militants des droits de l’Homme qui sont en prison, au Congo’’ et que ‘‘la liberté d’expression n’existe pas dans ce pays’’.
Alors que l’artiste parle de censure, le son de cloche est tout autre du côté des autorités congolaises. D’après le porte-parole du gouvernement congolais, le ministre Lambert Mendé, il y a un problème de fraude fiscale qui a occasionné ce refoulement. ‘‘Ce que les services d'immigration nous disent, c'est qu'il y a eu des déclarations qui sont en contradiction avec ce qui est porté sur le visa. On demande un visa touristique et on vient ici faire une activité professionnelle avec, à la clé, des revenus sur lesquels il faut payer certaines taxes. Ils ont donc estimé qu'il y avait une tentative de fraude et c'est pourquoi il a été renvoyé avec toute son équipe. Nous sommes très sévères, ces jours-ci, avec cela. L'Etat voudrait maximiser ses recettes, et se montre, par conséquent, sévère partout où il y a des fraudes et où il y a des fuites de revenus publics’’, a expliqué, à nos confrères de Rfi, Lambert Mendé. une version qui va largement en contradiction avec celle de l’artiste que a indiqué pour sa part avoir été ‘‘censuré par rapport aux messages que je passe pendant les concerts et par rapport à l’alternance qui est quelque chose de très important, pour nous, aujourd’hui. Je pense qu’il n’y aura pas de vraie démocratie sans alternance. Et c’est après l’alternance, dans tous ces pays-là, qu’on arrivera à une vraie démocratie et quand on sera en démocratie, on entamera alors le vrai développement’’. Il se dit d’ailleurs n’être pas surpris par ce constats selon lequel il représente un danger pour le régime en place, quant il sait ‘‘qu’il y a des militants des droits de l’Homme qui sont en prison, au Congo’’ et que ‘‘la liberté d’expression n’existe pas dans ce pays’’.
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