Entre Ndenguelér et Djilakh des tiraillements autour du foncier font monter la tension. Les population de Ndengueler sont accusées de vouloir usurper des terres qui leur étaient naguère prêtées. Ce que Moussa Faye un notable de Djilakh ne digère pas, mettant au défi leurs contempteurs de prouver la véracité de ce qu’ils avancent, tout demandent l’arbitrage de l’Etat…
Moussa Faye né vers 1938 à Djilakh, terre de ses ancêtres, n’arrive à comprendre la position de certains habitants de Ndenguelér.
« Aucun parmi leurs notables, n’ose affirmer devant moi que ces terres leurs appartiennent. Ils sont en train de tout médiatiser pour se l’approprier, je les mets au défi de le prouver et demande que l’Etat nous vienne en arbitre », a-t-il martelé
Selon ses explications, située à 6 kilomètres de Djilakh, Ndenguelér voyait ses habitants venir solliciter des terres à cultiver.
« Si réellement ces terres leur appartient, pourquoi venaient-ils nous demander des permis (d’occupation ou exploitation ) », demande-t-il.
Plus conciliant, il leur demande d’envoyer leurs responsables ou doyens, pour discuter autour d’une table, avec l’arbitrage de l’Etat, pour une solution durable et pour travailler ensemble.
Moussa Faye né vers 1938 à Djilakh, terre de ses ancêtres, n’arrive à comprendre la position de certains habitants de Ndenguelér.
« Aucun parmi leurs notables, n’ose affirmer devant moi que ces terres leurs appartiennent. Ils sont en train de tout médiatiser pour se l’approprier, je les mets au défi de le prouver et demande que l’Etat nous vienne en arbitre », a-t-il martelé
Selon ses explications, située à 6 kilomètres de Djilakh, Ndenguelér voyait ses habitants venir solliciter des terres à cultiver.
« Si réellement ces terres leur appartient, pourquoi venaient-ils nous demander des permis (d’occupation ou exploitation ) », demande-t-il.
Plus conciliant, il leur demande d’envoyer leurs responsables ou doyens, pour discuter autour d’une table, avec l’arbitrage de l’Etat, pour une solution durable et pour travailler ensemble.