Il a fallu attendre le dernier moment pour que le staff technique de l’équipe nationale de lutte, mette des noms sur les cinq lutteurs qui devront défendre les couleurs du Sénégal au Tolac de Niamey, édition 2016.
Moussa Faye (66 kilos) : Celui qui a éjecté Cheikh Ndiaye
Depuis qu’il a été champion du Sénégal dans sa catégorie, pour la première fois au Drapeau du chef de l’État à Thiès, en 2013, se payant le luxe de détrôner Cheikh Ndiaye, Moussa Faye n’a plus quitté la Tanière. D’ailleurs, c’est à l’issue de cette défaite de Cheikh Ndiaye (une dizaine de fois champion de la sous-région) que celuici avait été entendu avant d’être suspendu par le CNG pour son acte jugé déplacé et antisportif. Ensuite, l’enfant de Nguékokh a remis ça lors du Drapeau du chef de l’État à Fatick en 2015. Aussi, depuis qu’il a rejoint la Tanière, Moussa Faye donne entière satisfaction au staff, avec quatre médailles d’or pour ses deux participations à ce tournoi.
Oumar Diouané (76 kilos) : Le Titulaire
Il a raté le dernier tournoi de Dakar pour n’avoir pu se présenter au regroupement à Thiès parce que, disait-il, il avait dépassé les 76 kilos, sa catégorie par définition. Mais quand le fils de Niodior est dans la place, il esttrès difficile de lui ravir son poste. Très fort du tronc inférieur comme de celui supérieur, Oumar Diouané a une technique et une rapidité d’exécution qui dépassent la moyenne. Récemment, il a été distingué par la francophonie qui lui avait remis une enveloppe d’un million pour ses brillantes prestations aux Jeux de la francophonie à Metz, en France
Cheikh Tidiane Niang (86 kilos) : Le Crack
Il a été révélé au public par le Lamb Académie organisée il y a deux ans par le GFM. Sur les nombreux jeunes choisis à l’époque après des sélections un peu partout, il s’en était sorti haut la main. Depuis, il a été appelé en équipe nationale et ses performances ont été à la hauteur des attentes placées en lui. Au dernier Tournoi de Dakar, il était crédité d’un parcours sans faute, champion par équipes et en individuel. Aussi, il avait enflammé le public par ses cris hystériques qui ne laissent personne indifférent. Il s’est bonifié avec ses deux convocations en équipe nationale de lutte libre, avec une médaille de bronze aux Jeux africains de Brazzaville.
Mouhamadou Moustapha Sène (100 kilos) : Enfin, l’heure a sonné
Il a plusieurs fois été appelé en regroupement mais n’a jamais été retenu pour la sélection finale. Cela n’a pas empêché Mouhamadou Moustapha Sène de revenir chaque fois qu’on a fait appel à lui. Au dernier Drapeau du chef de l’État, à Fatick, celui que l’on connaît mieux sous le pseudo de Selé Mélé avait été, avec son équipe de Kaolack, sacré champion du Sénégal dans la catégorie des 86 kilos. Il avait d’ailleurs battu Cheikh Tidiane Niang deux fois dans cette compétition (par équipes et en individuel). Il passe maintenant à la catégorie suivante, celle des 100 kilos. Il est auteur d’un début de saison explosif avec deux galas de suite remportés à Iba Mar Diop, ceux de Ndef Leng et de Diaks. Dans cette catégorie, il était en compétition avec Zambala.
Reug Reug : Tout naturellement
Faire une sélection en lutte sans frappe, par ces temps qui courent, sans Oumar Kane alias Reug Reug, aurait certainement été vécu comme une sorte de cataclysme. Cela, non pas parce que son concurrent immédiat en regroupement, Emile François Gomis, ne soit pas à la hauteur. Mais, les performances de Reug Reug ces deux dernières années plaident tellement en sa faveur qu’il s’impose tout naturellement au staff technique. Ayant battu tous les VIP de la lutte simple, remporté tous les grands trophées entre la défunte et cette saison, raflé le titre de meilleur lutteur en lutte simple du CNG, participé au dernier Tournoi de Dakar où il avait réussi la prouesse de battre deux fois Yacouba Adamou, l’un des meilleurs lutteurs du Niger de tous les temps, Reug Reug ne pouvait sûrement pas manquer à une telle sélection.
Source : Sunu Lamb
Moussa Faye (66 kilos) : Celui qui a éjecté Cheikh Ndiaye
Depuis qu’il a été champion du Sénégal dans sa catégorie, pour la première fois au Drapeau du chef de l’État à Thiès, en 2013, se payant le luxe de détrôner Cheikh Ndiaye, Moussa Faye n’a plus quitté la Tanière. D’ailleurs, c’est à l’issue de cette défaite de Cheikh Ndiaye (une dizaine de fois champion de la sous-région) que celuici avait été entendu avant d’être suspendu par le CNG pour son acte jugé déplacé et antisportif. Ensuite, l’enfant de Nguékokh a remis ça lors du Drapeau du chef de l’État à Fatick en 2015. Aussi, depuis qu’il a rejoint la Tanière, Moussa Faye donne entière satisfaction au staff, avec quatre médailles d’or pour ses deux participations à ce tournoi.
Oumar Diouané (76 kilos) : Le Titulaire
Il a raté le dernier tournoi de Dakar pour n’avoir pu se présenter au regroupement à Thiès parce que, disait-il, il avait dépassé les 76 kilos, sa catégorie par définition. Mais quand le fils de Niodior est dans la place, il esttrès difficile de lui ravir son poste. Très fort du tronc inférieur comme de celui supérieur, Oumar Diouané a une technique et une rapidité d’exécution qui dépassent la moyenne. Récemment, il a été distingué par la francophonie qui lui avait remis une enveloppe d’un million pour ses brillantes prestations aux Jeux de la francophonie à Metz, en France
Cheikh Tidiane Niang (86 kilos) : Le Crack
Il a été révélé au public par le Lamb Académie organisée il y a deux ans par le GFM. Sur les nombreux jeunes choisis à l’époque après des sélections un peu partout, il s’en était sorti haut la main. Depuis, il a été appelé en équipe nationale et ses performances ont été à la hauteur des attentes placées en lui. Au dernier Tournoi de Dakar, il était crédité d’un parcours sans faute, champion par équipes et en individuel. Aussi, il avait enflammé le public par ses cris hystériques qui ne laissent personne indifférent. Il s’est bonifié avec ses deux convocations en équipe nationale de lutte libre, avec une médaille de bronze aux Jeux africains de Brazzaville.
Mouhamadou Moustapha Sène (100 kilos) : Enfin, l’heure a sonné
Il a plusieurs fois été appelé en regroupement mais n’a jamais été retenu pour la sélection finale. Cela n’a pas empêché Mouhamadou Moustapha Sène de revenir chaque fois qu’on a fait appel à lui. Au dernier Drapeau du chef de l’État, à Fatick, celui que l’on connaît mieux sous le pseudo de Selé Mélé avait été, avec son équipe de Kaolack, sacré champion du Sénégal dans la catégorie des 86 kilos. Il avait d’ailleurs battu Cheikh Tidiane Niang deux fois dans cette compétition (par équipes et en individuel). Il passe maintenant à la catégorie suivante, celle des 100 kilos. Il est auteur d’un début de saison explosif avec deux galas de suite remportés à Iba Mar Diop, ceux de Ndef Leng et de Diaks. Dans cette catégorie, il était en compétition avec Zambala.
Reug Reug : Tout naturellement
Faire une sélection en lutte sans frappe, par ces temps qui courent, sans Oumar Kane alias Reug Reug, aurait certainement été vécu comme une sorte de cataclysme. Cela, non pas parce que son concurrent immédiat en regroupement, Emile François Gomis, ne soit pas à la hauteur. Mais, les performances de Reug Reug ces deux dernières années plaident tellement en sa faveur qu’il s’impose tout naturellement au staff technique. Ayant battu tous les VIP de la lutte simple, remporté tous les grands trophées entre la défunte et cette saison, raflé le titre de meilleur lutteur en lutte simple du CNG, participé au dernier Tournoi de Dakar où il avait réussi la prouesse de battre deux fois Yacouba Adamou, l’un des meilleurs lutteurs du Niger de tous les temps, Reug Reug ne pouvait sûrement pas manquer à une telle sélection.
Source : Sunu Lamb