1. Limitez votre activité visuelle
Même si ça permet de passer le temps, évitez tout ce qui est lecture, jeux vidéo etc. La faute à votre cerveau qui reçoit deux signaux contradictoires. Celui de l’oreille interne qui l’informe que le corps se déplace, et celui des muscles qui de leur côté affirment au contraire qu’ils se la coulent douce et qu’il n’y a strictement rien à faire. Le cerveau estime alors que l’organisme est sous l’emprise d’un poison… et déclenche une bonne vieille nausée pour s’en débarrasser rapidos. Et c’est un neurologue qui le dit !
2. Placez un bouchon dans une oreille
Ça a l’air complètement con de prime à bord, mais faites-moi confiance, le bouchon d’oreille pour éviter le mal des transports est super efficace. Le principe est simple, s’enfoncer un truc dans l’oreille opposée à la main avec laquelle on est censé être le plus habile. L’oreille gauche pour un droitier donc, et inversement. Cela permettrait de rééquilibrer le liquide interne de l’oreille responsable des vertiges. Une astuce testée et approuvée sur un trajet de 8h dans un train à remous entre Hanoï et Sapa…
3. Bien choisir sa place
Dans une voiture ou un bus, les places à l’avant sont souvent prises d’assaut et pour cause : le fait de voir la route permet de limiter les risques de mal des transports. Si ces places sont déjà prises, rabattez-vous sur celles du milieu où vous ressentirez moins les mouvements du véhicule que si vous trouvez assis juste au dessus d’une roue. Idem en bateau, où les places au milieu sont recommandées pour éviter d’être trop chahuté… Par contre pour vomir par la fenêtre, c’est nettement moins pratique ! 4. Anticipez les mouvements du véhicule
Même si vous n’êtes pas au volant, ou au gouvernail du bateau, faites comme vous étiez le pilote en mimant ses mouvements et en anticipant les trajectoire. Certes, vous aurez l’air un peu bizarre, mais votre cerveau lui, se sentira nettement mieux. La preuve : vous avez déjà vu un conducteur avoir le mal des transports ? NB : marche aussi si vous n’avez pas le permis !
5. Mâchez du gingembre
Si vous avez déjà vu du gingembre en racines, vous savez que ça ne sera pas une partie de plaisir. Heureusement, il existe des chewing-gum qui font parfaitement le job. Le gingembre serait en effet utilisé depuis longtemps par les navigateurs chinois pour les aider à lutter contre le mal de mer… Allez savoir pourquoi on a envie de leur faire confiance.
6. Mettez un bouquet de persil autour du cou
Les grand-mères sont de grandes déconneuses. Parmi les remèdes qu’elles ont refilé en se marrant à leurs marmailles, celui du bouquet de persil autour du cou (ou dans le soutien-gorge pour mesdames) pour lutter contre le mal des transports, est du très très haut niveau. Dernier détail, il faut que le persil soit frais évidemment.
7. Appuyez sur un point acupuncture au niveau du poignet
Il existe des bracelets vendus en pharmacie et dotés d’une petite bille qui appuie sur ce point. Si vous n’en avez pas sous la main, vous pouvez vous débrouiller avec la votre, de main… Le point P6 se situe à trois largeurs de doigts –index, majeur et annulaire – du pli de votre poignet vers le coude, entre les deux tendons de la face interne de l’avant-bras (côté paume de main). Massez pendant 5 minutes à cet endroit à l’aide de mouvements circulaires avec l’ongle et le bout du doigt en vous calant sur votre respiration et en appuyant sur l’expiration. Matez cette vidéo pour mieux comprendre comment ça fonctionne. 8. Shootez-vous avec de l’huile essentielle de citron
Il paraît que l’huile essentielle de citron calme le système nerveux en grande partie responsable des nausées, tout en diminuant les mouvements de l’appareil digestif. Deux possibilités pour prendre votre dose : déposer une ou deux gouttes sur un morceau de tissu et respirer calmement à chaque début de crise, ou les verser sur un sucre à sucer (interdit aux enfants de moins 7 ans et aux femmes enceintes, dans tous les cas, renseignez-vous au préalable sur les doses à respecter). 9. Évitez les mauvaises odeurs
Que ce soit le tabac, l’alcool, la transpi ou autres manifestations olfactives corporelles, les mauvaises odeurs ont tendance à renforcer, voire dans certains cas, à provoquer le mal des transports. Une bonne raison, d’ouvrir la fenêtre si vous ne vous sentez pas dans votre assiette… ou si vous sentez que celle-ci risque de finir sur vos pompes.
10. Collez-vous un patch de scopolamine derrière l’oreille
Ça se colle six à douze heures avant de partir et on est censé le garder tout au long du trajet. Son efficacité dure environ 72 heures, ce qui devrait vous permettre d’arriver à bon port sans trop de problèmes. Bien lire la notice avant quand même, les précautions d’emploi et contre- indications sont longues comme mon bras… qui est paraît-il, plutôt impressionnant!
Source : e-sante.fr
Même si ça permet de passer le temps, évitez tout ce qui est lecture, jeux vidéo etc. La faute à votre cerveau qui reçoit deux signaux contradictoires. Celui de l’oreille interne qui l’informe que le corps se déplace, et celui des muscles qui de leur côté affirment au contraire qu’ils se la coulent douce et qu’il n’y a strictement rien à faire. Le cerveau estime alors que l’organisme est sous l’emprise d’un poison… et déclenche une bonne vieille nausée pour s’en débarrasser rapidos. Et c’est un neurologue qui le dit !
2. Placez un bouchon dans une oreille
Ça a l’air complètement con de prime à bord, mais faites-moi confiance, le bouchon d’oreille pour éviter le mal des transports est super efficace. Le principe est simple, s’enfoncer un truc dans l’oreille opposée à la main avec laquelle on est censé être le plus habile. L’oreille gauche pour un droitier donc, et inversement. Cela permettrait de rééquilibrer le liquide interne de l’oreille responsable des vertiges. Une astuce testée et approuvée sur un trajet de 8h dans un train à remous entre Hanoï et Sapa…
3. Bien choisir sa place
Dans une voiture ou un bus, les places à l’avant sont souvent prises d’assaut et pour cause : le fait de voir la route permet de limiter les risques de mal des transports. Si ces places sont déjà prises, rabattez-vous sur celles du milieu où vous ressentirez moins les mouvements du véhicule que si vous trouvez assis juste au dessus d’une roue. Idem en bateau, où les places au milieu sont recommandées pour éviter d’être trop chahuté… Par contre pour vomir par la fenêtre, c’est nettement moins pratique !
la fenêtre, c’est nettement moins pratique !
Même si vous n’êtes pas au volant, ou au gouvernail du bateau, faites comme vous étiez le pilote en mimant ses mouvements et en anticipant les trajectoire. Certes, vous aurez l’air un peu bizarre, mais votre cerveau lui, se sentira nettement mieux. La preuve : vous avez déjà vu un conducteur avoir le mal des transports ? NB : marche aussi si vous n’avez pas le permis !
5. Mâchez du gingembre
Si vous avez déjà vu du gingembre en racines, vous savez que ça ne sera pas une partie de plaisir. Heureusement, il existe des chewing-gum qui font parfaitement le job. Le gingembre serait en effet utilisé depuis longtemps par les navigateurs chinois pour les aider à lutter contre le mal de mer… Allez savoir pourquoi on a envie de leur faire confiance.
confiance.
6. Mettez un bouquet de persil autour du cou
Les grand-mères sont de grandes déconneuses. Parmi les remèdes qu’elles ont refilé en se marrant à leurs marmailles, celui du bouquet de persil autour du cou (ou dans le soutien-gorge pour mesdames) pour lutter contre le mal des transports, est du très très haut niveau. Dernier détail, il faut que le persil soit frais évidemment.
7. Appuyez sur un point acupuncture au niveau du poignet
Il existe des bracelets vendus en pharmacie et dotés d’une petite bille qui appuie sur ce point. Si vous n’en avez pas sous la main, vous pouvez vous débrouiller avec la votre, de main… Le point P6 se situe à trois largeurs de doigts –index, majeur et annulaire – du pli de votre poignet vers le coude, entre les deux tendons de la face interne de l’avant-bras (côté paume de main). Massez pendant 5 minutes à cet endroit à l’aide de mouvements circulaires avec l’ongle et le bout du doigt en vous calant sur votre respiration et en appuyant sur l’expiration. Matez cette vidéo pour mieux comprendre comment ça fonctionne.
vidéo pour mieux comprendre comment ça fonctionne.
Il paraît que l’huile essentielle de citron calme le système nerveux en grande partie responsable des nausées, tout en diminuant les mouvements de l’appareil digestif. Deux possibilités pour prendre votre dose : déposer une ou deux gouttes sur un morceau de tissu et respirer calmement à chaque début de crise, ou les verser sur un sucre à sucer (interdit aux enfants de moins 7 ans et aux femmes enceintes, dans tous les cas, renseignez-vous au préalable sur les doses à respecter).
Que ce soit le tabac, l’alcool, la transpi ou autres manifestations olfactives corporelles, les mauvaises odeurs ont tendance à renforcer, voire dans certains cas, à provoquer le mal des transports. Une bonne raison, d’ouvrir la fenêtre si vous ne vous sentez pas dans votre assiette… ou si vous sentez que celle-ci risque de finir sur vos pompes.
10. Collez-vous un patch de scopolamine derrière l’oreille
Ça se colle six à douze heures avant de partir et on est censé le garder tout au long du trajet. Son efficacité dure environ 72 heures, ce qui devrait vous permettre d’arriver à bon port sans trop de problèmes. Bien lire la notice avant quand même, les précautions d’emploi et contre- indications sont longues comme mon bras… qui est paraît-il, plutôt impressionnant!
Source : e-sante.fr