Selon Toubabou Dior, ce n’est qu’au Sénégal qu’on déleste un sportif (lutteur) de son argent, sous prétexte qu’il a commis une faute lors du combat. « Il suffit que les lutteurs sortent des sacs pour qu’on leur coupe de l’argent. Moi, j’ai étais capitaine de l’équipe nationale pendant 10 ans ; J’ai voyagé partout dans le monde. Je n’ai jamais vu une discipline où l’on sanctionne un sportif qui a commis une faute en lui retirant de l’argent. Ça n’existe nulle part. Le CNG doit revoir cela car les lutteurs sont fatigués », assène- t-il.
Autant, il fustige les retenues sur les reliquats des lutteurs, autant il s’interroge sur les frais d’organisation exorbitants imposés aux promoteurs.
Ne se limitant pas à la question des prélèvements financiers, l’anciens puncheur cogne en évoquant l’incapacité du CNG à réaliser quelque chose de concret qu’il pourrait léguer à la postérité. « La situation est si regrettable que si aujourd’hui on devait dissoudre le CNG, il ne laisserait aucun patrimoine. Ce qui constitue un grand retard pour la lutte », pense-t-il.
Autant, il fustige les retenues sur les reliquats des lutteurs, autant il s’interroge sur les frais d’organisation exorbitants imposés aux promoteurs.
Ne se limitant pas à la question des prélèvements financiers, l’anciens puncheur cogne en évoquant l’incapacité du CNG à réaliser quelque chose de concret qu’il pourrait léguer à la postérité. « La situation est si regrettable que si aujourd’hui on devait dissoudre le CNG, il ne laisserait aucun patrimoine. Ce qui constitue un grand retard pour la lutte », pense-t-il.