Sa particularité est qu’elle pullule d’amas coquillers, avec une végétation touffue et les scientifiques affirment que cette partie de l’île a été exploitée entre le 7e et 13e siècle. Ce qui veut dire que Djorom bou mak date de trois mille (3000) ans.
Une zone vierge, les fruits y pourrissent à longueur de saison
Le commandant argumente ses explications en montrant des baobabs qui étaient creusés de l’intérieur, où on pouvait apercevoir des ossements humains. « Ces baobabs qui ont des ouvertures servaient à accueillir les griots morts. Dans cette société, l’on disait qu’enterrer des griots avec des roi portait malheur », révèle ce dernier.
L’île montrait une scène féérique avec des arbres fruitiers comme le « néw », le « ditakh », le « solom » ou encore le « bouye » qui tapissaient le sol herbacé, parce que mûrs. Les visiteurs s’en donnaient à cœur à joie, avec une anecdote du conservateur: « ceux qui ont consommé les fruits vont rendre compte aux propriétaires la nuit », dans un fou rire. Rien que l’exploitation de la paille dans cette île dans l’année, donne un million hit cent mille (1.800.000 ) francs Cfa.
D’où la réflexion du capitaine Kanté sur la gestion. « Au-delà de l’exploitation touristique, il nous faut penser aux activités génératrices de revenus comme le maraîchage, la vente de la paille, le bois, entre autres secteurs », a-t-il expliqué.
7000 hectares de mangrove
En haut de l’île, on pouvait apercevoir la mangrove dans toute sa splendeur, étalée sur sept mille (7000) hectares. Dans les prochains jours, une rencontre se fera entre toutes les composantes, pour améliorer le cadre d’autant que l’île est inhabitée, mais est exploitée par les hôteliers, de nuit comme de jour, en y amenant des touristes qui payent de folles sommes pour la visiter.
« On va les convier à notre table et trouver le meilleur cadre d’exploitation. En ce qui nous concerne, on va essayer de construire un débarcadère à Jorom bou mack pour mettre à l’aise les touristes », affirme le sous-préfet de Toubacouta.
Une zone vierge, les fruits y pourrissent à longueur de saison
Le commandant argumente ses explications en montrant des baobabs qui étaient creusés de l’intérieur, où on pouvait apercevoir des ossements humains. « Ces baobabs qui ont des ouvertures servaient à accueillir les griots morts. Dans cette société, l’on disait qu’enterrer des griots avec des roi portait malheur », révèle ce dernier.
L’île montrait une scène féérique avec des arbres fruitiers comme le « néw », le « ditakh », le « solom » ou encore le « bouye » qui tapissaient le sol herbacé, parce que mûrs. Les visiteurs s’en donnaient à cœur à joie, avec une anecdote du conservateur: « ceux qui ont consommé les fruits vont rendre compte aux propriétaires la nuit », dans un fou rire. Rien que l’exploitation de la paille dans cette île dans l’année, donne un million hit cent mille (1.800.000 ) francs Cfa.
D’où la réflexion du capitaine Kanté sur la gestion. « Au-delà de l’exploitation touristique, il nous faut penser aux activités génératrices de revenus comme le maraîchage, la vente de la paille, le bois, entre autres secteurs », a-t-il expliqué.
7000 hectares de mangrove
En haut de l’île, on pouvait apercevoir la mangrove dans toute sa splendeur, étalée sur sept mille (7000) hectares. Dans les prochains jours, une rencontre se fera entre toutes les composantes, pour améliorer le cadre d’autant que l’île est inhabitée, mais est exploitée par les hôteliers, de nuit comme de jour, en y amenant des touristes qui payent de folles sommes pour la visiter.
« On va les convier à notre table et trouver le meilleur cadre d’exploitation. En ce qui nous concerne, on va essayer de construire un débarcadère à Jorom bou mack pour mettre à l’aise les touristes », affirme le sous-préfet de Toubacouta.