« La patience vient à bout de tout » nous enseigne la sagesse. Mais il est des patiences dévastatrices, synonymes de renoncement voire même d’asservissement pour ne pas dire comme ce penseur anglais que « la patience est la vertu des mendiants »
En effet depuis ce jour du 25 mars, où la nation sénégalaise entière, de la diaspora à Dakar a d’une seule voix choisi de mettre la destinée du pays entre les mains du président Macky Sall , il ne s’est passé un jour où les toulousains dans leur ensemble ont eu la sensation d’être plus que jamais abandonnés à leur sort . Pourtant, malgré une présence et une domination de plus de 10 ans du PDS dans cette ville, l’APR et la coalition BBY ont réussi à mettre fin à cette souveraineté.
Grace à une seule force et une seule motivation : l’espoir, l’espoir de voir naitre un changement dans la vie des sénégalais de Toulouse.
Aujourd’hui, en dépit de nombreux rappels au respect des promesses et des engagements du président par le biais des services de la présidence, du ministère des affaires étrangères et de la représentation de la diaspora à l’hémicycle. Aucune avancée n’a été constatée en ce sens. Et pourtant, la question de la prise en charge du rapatriement des corps de nos compatriotes est urgente.
Le combat pour l’amélioration des conditions dégradantes des étudiants et stagiaires dans leur recherche de stage et de logement, pends sur leurs têtes comme une épée de Damoclès créant même pour certains la perte d’une année scolaire.
La question des travailleurs et des commerçants dans leurs tracas administratifs quotidiens mais surtout le retour des retraités sont autant d’urgences.
A cela s’ajoute une absence honteuse de visibilité culturelle et économique dans une ville dotée de l’une des plus grandes entreprises aéronautiques du monde et l’un des premiers pôle européens dans la recherche hospitalière.
A l’heure ou toutes les énergies sont mobilisées sur le chemin de la massification, force est de constater que la majorité des toulousains est dans une désertification idéologique et une désillusion politique totale.
La Maison Des Sénégalais de la diaspora qui a été un argument de ralliement efficace est la seule solution dans le contexte actuel capable de réconcilier les Toulousains avec le gouvernement mais aussi capable d’apporter des réponses appropriées aux préoccupations des sénégalais de cette zone.
Il n’est pas nécessaire de rappeler que des lignes budgétaires ont toujours été votées dans le cadre d une représentation consulaire mais sans aucune portée pour les Toulousains. Cette dernière n’ayant jamais vu le jour.
Nous appelons à plus de pragmatisme et de considération dans la gestion de la diaspora. Car nous sommes convaincus que le changement de cap c’est aujourd’hui et non en 2017.
Bernard Tine
Chef d’entreprise et Coordinateur APR Toulouse
En effet depuis ce jour du 25 mars, où la nation sénégalaise entière, de la diaspora à Dakar a d’une seule voix choisi de mettre la destinée du pays entre les mains du président Macky Sall , il ne s’est passé un jour où les toulousains dans leur ensemble ont eu la sensation d’être plus que jamais abandonnés à leur sort . Pourtant, malgré une présence et une domination de plus de 10 ans du PDS dans cette ville, l’APR et la coalition BBY ont réussi à mettre fin à cette souveraineté.
Grace à une seule force et une seule motivation : l’espoir, l’espoir de voir naitre un changement dans la vie des sénégalais de Toulouse.
Aujourd’hui, en dépit de nombreux rappels au respect des promesses et des engagements du président par le biais des services de la présidence, du ministère des affaires étrangères et de la représentation de la diaspora à l’hémicycle. Aucune avancée n’a été constatée en ce sens. Et pourtant, la question de la prise en charge du rapatriement des corps de nos compatriotes est urgente.
Le combat pour l’amélioration des conditions dégradantes des étudiants et stagiaires dans leur recherche de stage et de logement, pends sur leurs têtes comme une épée de Damoclès créant même pour certains la perte d’une année scolaire.
La question des travailleurs et des commerçants dans leurs tracas administratifs quotidiens mais surtout le retour des retraités sont autant d’urgences.
A cela s’ajoute une absence honteuse de visibilité culturelle et économique dans une ville dotée de l’une des plus grandes entreprises aéronautiques du monde et l’un des premiers pôle européens dans la recherche hospitalière.
A l’heure ou toutes les énergies sont mobilisées sur le chemin de la massification, force est de constater que la majorité des toulousains est dans une désertification idéologique et une désillusion politique totale.
La Maison Des Sénégalais de la diaspora qui a été un argument de ralliement efficace est la seule solution dans le contexte actuel capable de réconcilier les Toulousains avec le gouvernement mais aussi capable d’apporter des réponses appropriées aux préoccupations des sénégalais de cette zone.
Il n’est pas nécessaire de rappeler que des lignes budgétaires ont toujours été votées dans le cadre d une représentation consulaire mais sans aucune portée pour les Toulousains. Cette dernière n’ayant jamais vu le jour.
Nous appelons à plus de pragmatisme et de considération dans la gestion de la diaspora. Car nous sommes convaincus que le changement de cap c’est aujourd’hui et non en 2017.
Bernard Tine
Chef d’entreprise et Coordinateur APR Toulouse