Mais selon « Sud Quotidien », autre chose qui prouve aussi que la partie gambienne ne joue pas franc jeu dans cette affaire de coupe et trafic illicite de bois des forêts casamançaises, c’est le refus de droit de poursuite de présumées «délinquants» du couvert végétal, en territoire gambien.
Lors de la réunion du vendredi dernier, elle n’a pas voulu l’instauration d’une telle règlementation. Ainsi, avec une frontière très vaste, il est très facile pour le trafiquant de bois, poursuivi par les agents des Eaux et Forêts, de se réfugier en Gambie, sans être inquiété. De même, les villageois à la frontière sont réticents souvent à la présence des Forces sénégalaises.
L’on se souvient, en effet, de l’histoire des agents de sécurité qui ont été séquestrés par des populations gambiennes. L’engagement de la Gambie pour combattre la coupe de bois n’est donc qu’une ruse, faisant croire au voisin sénégalais que la volonté y est. Or, la vérité est tout autre.
La Gambie tient à ce business lucratif qui renfloue ses caisses.
Lors de la réunion du vendredi dernier, elle n’a pas voulu l’instauration d’une telle règlementation. Ainsi, avec une frontière très vaste, il est très facile pour le trafiquant de bois, poursuivi par les agents des Eaux et Forêts, de se réfugier en Gambie, sans être inquiété. De même, les villageois à la frontière sont réticents souvent à la présence des Forces sénégalaises.
L’on se souvient, en effet, de l’histoire des agents de sécurité qui ont été séquestrés par des populations gambiennes. L’engagement de la Gambie pour combattre la coupe de bois n’est donc qu’une ruse, faisant croire au voisin sénégalais que la volonté y est. Or, la vérité est tout autre.
La Gambie tient à ce business lucratif qui renfloue ses caisses.