Président du Collectif des jeunes tidianes de Saint-Louis, Abdoul Aziz Diagne a invité l'Etat et ses démembrements à traiter de façon équitable les confréries du pays. Flanqué de son vice-président Sambou Ndiaye et de tout son staff, le président du Collectif des jeunes tidianes de Saint-Louis a exhorté chaque Sénégalais à ne pas commettre l'erreur de penser que sa confrérie est meilleure que les autres.
Dans la foulée, les jeunes tidianes de Saint-Louis ont tenu, vaille que vaille, à signaler dans un mémorandum que ‘le Sénégal contemporain reste marqué par une crise profonde, expressive de l'épuisement du mode de régulation post-colonial ainsi que de l'incapacité des structures officielles et des élites à formuler une nouvelle formule d'intelligibilité du social qui serait en cohérence avec les repères sociologiques du pays’. Selon eux, ‘à côté de la crise économique, avec comme corollaire une paupérisation ambiante, se développe une crise socio-culturelle plus profonde’. Les jeunes tidianes de la capitale du Nord pensent que ‘ce phénomène est appréciable à travers, entre autres, la crise de l'autorité, le désenchantement à l'égard de la classe politique, la crise du consensus social, la crise des modèles et des repères identificatoires....’.
Abdoul Aziz Diagne et compagnie, qui s'exprimaient, samedi à ‘L'espace jeunes’ de Saint-Louis ont fait remarquer qu'‘outre ce décalage, il a été constaté, depuis quelques années, l'accentuation des pratiques discriminatoires entre confréries et entre religions, aboutissant à ce traitement inéquitable entre les différentes couches sociales, les divers compartiments religieux, les divers territoires du pays’. Pour les jeunes tidianes de Saint-Louis, une telle posture ‘met en danger la stabilité et la cohésion sociale de cette nation que les pères fondateurs (politiques, sociaux, religieux ) avaient construite sur la base de la loi, de la morale religieuse, de la sociabilité, du respect de la diversité et des croyances religieuses, de la tolérance ou encore de l'équité’.
A l'occasion de la rencontre préparatoire du Gamou 2009, qui s'est déroulée dans la salle de conférence bondée de monde, de l'espace jeunes, le Collectif des jeunes tidianes de Saint-Louis a invité les actuels dirigeants du pays à s'inspirer des écrits des érudits de l'islam tels qu’El Hadj Malick Sy, Cheikh Ahmadou Bamba et leurs contemporains pour gouverner le pays.
source wal fadjri
Dans la foulée, les jeunes tidianes de Saint-Louis ont tenu, vaille que vaille, à signaler dans un mémorandum que ‘le Sénégal contemporain reste marqué par une crise profonde, expressive de l'épuisement du mode de régulation post-colonial ainsi que de l'incapacité des structures officielles et des élites à formuler une nouvelle formule d'intelligibilité du social qui serait en cohérence avec les repères sociologiques du pays’. Selon eux, ‘à côté de la crise économique, avec comme corollaire une paupérisation ambiante, se développe une crise socio-culturelle plus profonde’. Les jeunes tidianes de la capitale du Nord pensent que ‘ce phénomène est appréciable à travers, entre autres, la crise de l'autorité, le désenchantement à l'égard de la classe politique, la crise du consensus social, la crise des modèles et des repères identificatoires....’.
Abdoul Aziz Diagne et compagnie, qui s'exprimaient, samedi à ‘L'espace jeunes’ de Saint-Louis ont fait remarquer qu'‘outre ce décalage, il a été constaté, depuis quelques années, l'accentuation des pratiques discriminatoires entre confréries et entre religions, aboutissant à ce traitement inéquitable entre les différentes couches sociales, les divers compartiments religieux, les divers territoires du pays’. Pour les jeunes tidianes de Saint-Louis, une telle posture ‘met en danger la stabilité et la cohésion sociale de cette nation que les pères fondateurs (politiques, sociaux, religieux ) avaient construite sur la base de la loi, de la morale religieuse, de la sociabilité, du respect de la diversité et des croyances religieuses, de la tolérance ou encore de l'équité’.
A l'occasion de la rencontre préparatoire du Gamou 2009, qui s'est déroulée dans la salle de conférence bondée de monde, de l'espace jeunes, le Collectif des jeunes tidianes de Saint-Louis a invité les actuels dirigeants du pays à s'inspirer des écrits des érudits de l'islam tels qu’El Hadj Malick Sy, Cheikh Ahmadou Bamba et leurs contemporains pour gouverner le pays.
source wal fadjri