Lors d’un point de presse tenu près du rond-point du stade Lat-Dior de Thiès, vendredi, le président de cette association, Abdoulaye Ndiaye ”Rim”, a déploré les amendes que leur fait payer le regroupement des chauffeurs de la gare routière de Thiès.
”On nous fait payer 15.000 francs par semaine et cela nous fait 60.000 francs par mois, c’est énorme. On ne l’acceptera plus”, a prévenu Abdoulaye Ndiaye.
Il a précisé que le regroupement qu’il dirige, a décidé de ne plus verser des sommes qui ne vont ”pas dans les caisses de l’Etat, mais d’un autre regroupement”. Une pratique qui dure depuis des années, et qui n’a aucune base légale, a-t-il relevé.
”Nous tendons la main au ministre en charge du Transport et au président de la République Bassirou Diomaye Faye, pour faire des réformes pour intégrer (ce type de) transport, pour qu’on puisse travailler correctement et sortir de l’illégalité”, a-t-il dit.
Les chauffeurs des ”Allô Dakar” estiment qu’en raison du service qu’ils rendent aux populations, en mettant à leur disposition des véhicules neufs et confortables, ils sont en droit de demander à être régularisés.
"C’est un secteur qui emploie des jeunes, qui se sont engagés à travailler dans le pays et à ne pas s’adonner à la migration irrégulière, a rappelé Abdoulaye Ndiaye. Le phénomène ”Allô Dakar”, vieux d’une vingtaine d’années, a gagné l’ensemble du pays, a-t-il indiqué.
A Thiès, environ 800 personnes s’activent dans ce créneau, desservant à partir de Thiès, les villes de Dakar, Mbour, Tivaouane, Touba et Bambey.
Le regroupement entend entamer des concertations sur l’étendue du territoire national, où il revendique ”10.000 adhérents”, ”pour voir comment combattre cette arnaque”.
Les chauffeurs de voitures ”Allô Dakar” auxquelles il est reproché de faire du transport irrégulier et de la concurrence déloyale, jouent souvent à cache-cache avec la police, pour embarquer des clients, sans risque.
Ils n’excluent pas, avertit Ndiaye, d’observer une grève totale, pour protester contre ces tracasseries.
”On nous fait payer 15.000 francs par semaine et cela nous fait 60.000 francs par mois, c’est énorme. On ne l’acceptera plus”, a prévenu Abdoulaye Ndiaye.
Il a précisé que le regroupement qu’il dirige, a décidé de ne plus verser des sommes qui ne vont ”pas dans les caisses de l’Etat, mais d’un autre regroupement”. Une pratique qui dure depuis des années, et qui n’a aucune base légale, a-t-il relevé.
”Nous tendons la main au ministre en charge du Transport et au président de la République Bassirou Diomaye Faye, pour faire des réformes pour intégrer (ce type de) transport, pour qu’on puisse travailler correctement et sortir de l’illégalité”, a-t-il dit.
Les chauffeurs des ”Allô Dakar” estiment qu’en raison du service qu’ils rendent aux populations, en mettant à leur disposition des véhicules neufs et confortables, ils sont en droit de demander à être régularisés.
"C’est un secteur qui emploie des jeunes, qui se sont engagés à travailler dans le pays et à ne pas s’adonner à la migration irrégulière, a rappelé Abdoulaye Ndiaye. Le phénomène ”Allô Dakar”, vieux d’une vingtaine d’années, a gagné l’ensemble du pays, a-t-il indiqué.
A Thiès, environ 800 personnes s’activent dans ce créneau, desservant à partir de Thiès, les villes de Dakar, Mbour, Tivaouane, Touba et Bambey.
Le regroupement entend entamer des concertations sur l’étendue du territoire national, où il revendique ”10.000 adhérents”, ”pour voir comment combattre cette arnaque”.
Les chauffeurs de voitures ”Allô Dakar” auxquelles il est reproché de faire du transport irrégulier et de la concurrence déloyale, jouent souvent à cache-cache avec la police, pour embarquer des clients, sans risque.
Ils n’excluent pas, avertit Ndiaye, d’observer une grève totale, pour protester contre ces tracasseries.