L’Union Européenne et pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (pays ACP) entretiennent des relations partout privilégiées qui remontent aux origines de l’Union. Ces relations de nature politique, économique et sociale, relèvent principalement de la coopération au développement. Succédant aux conventions antérieures (Yaoundé, Lomé), l’accord de Cotonou, signé en 2000, offre le cadre général actuel des relations entre l’Union et les 79 pays ACP. Celui-ci est également renforcé par des volets régionaux et nationaux, et complété par un volet financier, principalement représenté par le Fonds Européen de Développement (FED). Mais voici que le Sénégal, sous l’ère de Abdoulaye Wade, vient perturber des sites qui commençaient à menacer la souveraineté de nos Etats.
En initiant une rupture au plan de la coopération internationale, le Président WADE a opté pour la modèle des pays du Dragon (Taïwan, Singapour, Corée, Hong Kong) et la chine qui n’ont mis que vingt ans pour accéder au développement, là où les pays européens ont mis quatre siècles. Ce choix stratégique, le président WADE est en train de le payer face à l’irruption de l’UE dans l’élection présidentielle qui a cours dans notre pays. Les prises de position, les insinuations de ses soi-disant observateurs témoignent dune hostilité manifeste vis-à-vis du président WADE. Cependant, la commission de l’UE proposait bien nouvelle approche tripartite afin de renforcer la coopération et le dialogue entre l’Union Européenne, l’Afrique et la Chine. Elle reconnait l’intérêt commun de complet les partenariats bilatéraux existants afin de favoriser le développement stable et durable de l’Afrique. L’UE, l’Afrique et la Chine devraient fonder cette coopération sur des objectifs communs définis de façon progressive en cohérence avec les stratégies de développement national et régional.
Aujourd’hui, la majorité du peuple Sénégalais, identifie l’UE à la France qui en veut beaucoup au régime en place. Que d’agression, d’insultes et d’intoxications n’a-t-on pas enduré contre la famille du Président Wade. Tantôt c’est son fils Karim qui est accusé de prévarication, de corruption ou d’abus de pouvoir par des personnes sans foi tapées dans les lambris de l’Elysée, tantôt c’est le Président lui-même qui est pris de cartels financiers bien identifiés. Cet agir communicationnel dirigé contre le candidat des FAL 2012 va s’avérer vain, sous peu, car le peuple, dans sa majorité debout a déjà administré à la France et ses complices, des lésons de souverainisme qui vont du retour d’exil de chercher Ahmadou Bamba au refus des APE. Pour le Président WADE, le seul juge dans sa trajectoire Politique c’est le peuple et ses élites traditionnelles. C’est celui qui dérange. Il a jeté à la poubelle les …………..d’un Etablissement qui rien veut qu’à notre sang qu’il a déjà assez sucé.
L’Europe protège ses hommes d’affaires parvenus à des richesses colossales, ses hommes d’état affairiste qui se sont enrichis dans l’exercice de leurs fonctions, et qui s’attaquent à des personnalités africains qu’elle a aidé à acquérir des propriétés au sou sol. Les Obia Nguema, Denis Sassou Nguesso, Bongo sont pointés du doigt au moment où les cinq premiers fortunes du monde sont le produit de leur système économique de casino. Qui trompe-t-on ? Les peuples africains ont compris que, drapée du manteau de l’Union Européenne, la France de Sarkozy est entrain de mener ses forfaitures contre notre souveraineté.
Les cas de la Lybie, de la Côte d’Ivoire, du Congo et bientôt de le Mali nous ont assez édifiés de la capacité de nuisance du régime de Sarkozy. Partout, le partenariat tripartine, prôné par ses pairs, devait constituer un prolongement des dialogues politiques bilatéraux conduits entre l’UE, l’Union Africaine et la Chine, ainsi que du dialogue entre l’UE et la Chine. Le partenariat reposera alors sur la conduite de dialogues stratégiques réguliers ainsi que sur des consultations spécifiques. Déjà le partenariat stratégique commun au sommet de Lisbonne en 2007, l’UE est demeuré le premier bailleur d’aide publique au développement (APD) et le premier partenaire commercial de l’Afrique. Mais ce partenariat n’exclut guère l’établissement de synergies avec d’autres partenaires et bailleurs de fonds internationaux.
La coopération entre la Chine et le Sénégal est principalement axée sur des échanges commerciaux, des investissements utiles, des projets d’infrastructures, d’aides dans les domaines sociaux et la formation. Ce partenariat a été renforcé par l’adoption d’une nouvelle stratégie en 2006 lors du forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC). Leurs mécanismes de coopération contrairement à ceux de l’Union Européenne, participent à l’insertion de nos nations dans l’économie mondiales. C’est cela qui dérange.
Cheikh Bacar DIAGNE
Source:ferloo.com
En initiant une rupture au plan de la coopération internationale, le Président WADE a opté pour la modèle des pays du Dragon (Taïwan, Singapour, Corée, Hong Kong) et la chine qui n’ont mis que vingt ans pour accéder au développement, là où les pays européens ont mis quatre siècles. Ce choix stratégique, le président WADE est en train de le payer face à l’irruption de l’UE dans l’élection présidentielle qui a cours dans notre pays. Les prises de position, les insinuations de ses soi-disant observateurs témoignent dune hostilité manifeste vis-à-vis du président WADE. Cependant, la commission de l’UE proposait bien nouvelle approche tripartite afin de renforcer la coopération et le dialogue entre l’Union Européenne, l’Afrique et la Chine. Elle reconnait l’intérêt commun de complet les partenariats bilatéraux existants afin de favoriser le développement stable et durable de l’Afrique. L’UE, l’Afrique et la Chine devraient fonder cette coopération sur des objectifs communs définis de façon progressive en cohérence avec les stratégies de développement national et régional.
Aujourd’hui, la majorité du peuple Sénégalais, identifie l’UE à la France qui en veut beaucoup au régime en place. Que d’agression, d’insultes et d’intoxications n’a-t-on pas enduré contre la famille du Président Wade. Tantôt c’est son fils Karim qui est accusé de prévarication, de corruption ou d’abus de pouvoir par des personnes sans foi tapées dans les lambris de l’Elysée, tantôt c’est le Président lui-même qui est pris de cartels financiers bien identifiés. Cet agir communicationnel dirigé contre le candidat des FAL 2012 va s’avérer vain, sous peu, car le peuple, dans sa majorité debout a déjà administré à la France et ses complices, des lésons de souverainisme qui vont du retour d’exil de chercher Ahmadou Bamba au refus des APE. Pour le Président WADE, le seul juge dans sa trajectoire Politique c’est le peuple et ses élites traditionnelles. C’est celui qui dérange. Il a jeté à la poubelle les …………..d’un Etablissement qui rien veut qu’à notre sang qu’il a déjà assez sucé.
L’Europe protège ses hommes d’affaires parvenus à des richesses colossales, ses hommes d’état affairiste qui se sont enrichis dans l’exercice de leurs fonctions, et qui s’attaquent à des personnalités africains qu’elle a aidé à acquérir des propriétés au sou sol. Les Obia Nguema, Denis Sassou Nguesso, Bongo sont pointés du doigt au moment où les cinq premiers fortunes du monde sont le produit de leur système économique de casino. Qui trompe-t-on ? Les peuples africains ont compris que, drapée du manteau de l’Union Européenne, la France de Sarkozy est entrain de mener ses forfaitures contre notre souveraineté.
Les cas de la Lybie, de la Côte d’Ivoire, du Congo et bientôt de le Mali nous ont assez édifiés de la capacité de nuisance du régime de Sarkozy. Partout, le partenariat tripartine, prôné par ses pairs, devait constituer un prolongement des dialogues politiques bilatéraux conduits entre l’UE, l’Union Africaine et la Chine, ainsi que du dialogue entre l’UE et la Chine. Le partenariat reposera alors sur la conduite de dialogues stratégiques réguliers ainsi que sur des consultations spécifiques. Déjà le partenariat stratégique commun au sommet de Lisbonne en 2007, l’UE est demeuré le premier bailleur d’aide publique au développement (APD) et le premier partenaire commercial de l’Afrique. Mais ce partenariat n’exclut guère l’établissement de synergies avec d’autres partenaires et bailleurs de fonds internationaux.
La coopération entre la Chine et le Sénégal est principalement axée sur des échanges commerciaux, des investissements utiles, des projets d’infrastructures, d’aides dans les domaines sociaux et la formation. Ce partenariat a été renforcé par l’adoption d’une nouvelle stratégie en 2006 lors du forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC). Leurs mécanismes de coopération contrairement à ceux de l’Union Européenne, participent à l’insertion de nos nations dans l’économie mondiales. C’est cela qui dérange.
Cheikh Bacar DIAGNE
Source:ferloo.com