D’après l’info relayée par le quotidien « EnQuête », ces machines ont été acquises grâce au projet de Formation professionnelle féminine (Forprofem) financé par la coopération belge. Pour commettre leur forfait, les voleurs ont défoncé les fenêtres de l’atelier des couturiers-modélistes.
Une situation condamnée par l’inspecteur de l’Education et de la Formation de Diourbel, Yankhoba Massaly, qui a fait le déplacement au CFP pour constater les dégâts causés par les voleurs.
“C’est la troisième attitude malfaisante de ce genre, après le cambriolage des CEM Keur Cheikh 2 et de Pikine. Nous sommes attristés parce que l’école n’avait pas besoin de ça. Nous savons dans quelles conditions nous avons repris. C’est un coup très dur porté à la communauté éducative et à toute la société."
Le chef des travaux du CFP, Adama Pouye, a regretté cet acte ignoble. “Nous avons saisi la police. Le CFP de Diourbel est le deuxième centre le plus important au Sénégal de par son effectif. Nous allons essayer de voir comment acquérir d’autres machines pour bien organiser la certification prévue ce lundi. C’est de la douleur et de la peine qu’on a ressenties”, a-t-elle dit.
Une situation condamnée par l’inspecteur de l’Education et de la Formation de Diourbel, Yankhoba Massaly, qui a fait le déplacement au CFP pour constater les dégâts causés par les voleurs.
“C’est la troisième attitude malfaisante de ce genre, après le cambriolage des CEM Keur Cheikh 2 et de Pikine. Nous sommes attristés parce que l’école n’avait pas besoin de ça. Nous savons dans quelles conditions nous avons repris. C’est un coup très dur porté à la communauté éducative et à toute la société."
Le chef des travaux du CFP, Adama Pouye, a regretté cet acte ignoble. “Nous avons saisi la police. Le CFP de Diourbel est le deuxième centre le plus important au Sénégal de par son effectif. Nous allons essayer de voir comment acquérir d’autres machines pour bien organiser la certification prévue ce lundi. C’est de la douleur et de la peine qu’on a ressenties”, a-t-elle dit.