Robert Mugabe a annoncé son intention de se retirer des pourparlers avant même que le sommet de Harare ne commence, sans d'ailleurs vraiment préciser pourquoi. Simplement, le président zimbabwéen veut que Morgan Tsvangirai accepte l'accord du partage du pouvoir conclu en septembre dernier, mais il reste flou.
Parlant de ses opposants du MDC, le vieux président a dit à l'hebdomadaire pro-gouvernemental Sunday Mail, je cite : « Soit ils acceptent, soit c'est la rupture. Après tout, ce n'est qu'un accord provisoire et s'il y a des questions qu'ils veulent soulever, ils peuvent le faire après avoir rejoint le gouvernement ». Alors clairement, Robert Mugabe n'a pas l'intention de céder un seul ministère clé à son opposition, comme le ministère de la Justice, le ministère des Finances et surtout le ministère de l'Intérieur.
On sait que c'est la principale raison du blocage depuis quatre mois. Et même si le leader du MDC a rappelé, avant son retour à Harare, son attachement à l'accord de partage du pouvoir conclu le 15 septembre, il n'a pas l'intention de tout laisser à la Zanu-PF, alors qu'il a remporté les élections législatives du 29 mars dernier.
Parlant de ses opposants du MDC, le vieux président a dit à l'hebdomadaire pro-gouvernemental Sunday Mail, je cite : « Soit ils acceptent, soit c'est la rupture. Après tout, ce n'est qu'un accord provisoire et s'il y a des questions qu'ils veulent soulever, ils peuvent le faire après avoir rejoint le gouvernement ». Alors clairement, Robert Mugabe n'a pas l'intention de céder un seul ministère clé à son opposition, comme le ministère de la Justice, le ministère des Finances et surtout le ministère de l'Intérieur.
On sait que c'est la principale raison du blocage depuis quatre mois. Et même si le leader du MDC a rappelé, avant son retour à Harare, son attachement à l'accord de partage du pouvoir conclu le 15 septembre, il n'a pas l'intention de tout laisser à la Zanu-PF, alors qu'il a remporté les élections législatives du 29 mars dernier.