Après les Infrastructures, l’aménagement du territoire et les transports aériens rassemblés dans un méga ministère que gère le fils du Chef de l’Etat, Karim Wade, c’est son bras droit, Abdoulaye Baldé, qui vient de se voir confier un ministère de souveraineté : la Défense. C’était hier, mercredi 14 octobre, à l’issue d’un nième « réaménagement continu ». Il remplace ainsi à la tête des Forces Armées, le Koldois Bécaye Diop, appelé à gérer désormais le Ministère de l’Intérieur, en remplacement de Cheikh Tidiane Sy.
Quant à Adama Sall, il signe son retour en s’occupant du ministère de l’Assainissement et de l’Hygiène publique. Aminata Tall a eu gain de cause après son appel du pied, à travers une fausse rébellion dans la presse. Elle est nommée Secrétaire générale à la Présidence, avec rang de ministre d’Etat. Le jeu en vaut-il la chandelle. Sa crédibilité est sérieusement entamée.
Rappelons que Karim Meïssa Wade et Abdoulaèye Baldé sont tous deux de la Génération du Concret. Une structure que dirige le fils du Président de la République, que des militants et sympathisants dudit mouvement présentent comme étant le futur remplaçant de son père à la tête de l’Etat du Sénégal ?
Me Wade est-il en train d’armer les responsables de la Génération du Concret pour créer les conditions d’une alternance « monarchique » ? Le ministère des Forces Armées est-il une voie de garage pour le désormais ex Secrétaire général de la présidence ?
Cette nomination d’ Abdoulaye Baldé a-t-elle un quelconque lien avec le règlement de la crise Casamançaise ? Ou, est-ce un moyen de créer les conditions de séparation entre le fils du Président et le maire de Ziguinchor ? Les « Contes et Mécomptes de l’Anoci » ont-ils inspiré le Président Wade dans ce nième « réaménagement continu » ? Peut-on s’aventurer à compter le nombre de ministres depuis que Me Wade est à la tête du pays ?
Pour sûr, disons que le réaménagement intervenu hier, est le quatrième depuis quelques mois et le nième depuis 2000. Le dernier remonte au jeudi 1er octobre quand Cheikh Tidiane Gadio, alors Ministre des Affaires étrangères, a été limogé, parce qu’il ne s’entendait plus avec le fils du Président, Karim Wade.
E (Stagiaire) Sudonline.sn
Quant à Adama Sall, il signe son retour en s’occupant du ministère de l’Assainissement et de l’Hygiène publique. Aminata Tall a eu gain de cause après son appel du pied, à travers une fausse rébellion dans la presse. Elle est nommée Secrétaire générale à la Présidence, avec rang de ministre d’Etat. Le jeu en vaut-il la chandelle. Sa crédibilité est sérieusement entamée.
Rappelons que Karim Meïssa Wade et Abdoulaèye Baldé sont tous deux de la Génération du Concret. Une structure que dirige le fils du Président de la République, que des militants et sympathisants dudit mouvement présentent comme étant le futur remplaçant de son père à la tête de l’Etat du Sénégal ?
Me Wade est-il en train d’armer les responsables de la Génération du Concret pour créer les conditions d’une alternance « monarchique » ? Le ministère des Forces Armées est-il une voie de garage pour le désormais ex Secrétaire général de la présidence ?
Cette nomination d’ Abdoulaye Baldé a-t-elle un quelconque lien avec le règlement de la crise Casamançaise ? Ou, est-ce un moyen de créer les conditions de séparation entre le fils du Président et le maire de Ziguinchor ? Les « Contes et Mécomptes de l’Anoci » ont-ils inspiré le Président Wade dans ce nième « réaménagement continu » ? Peut-on s’aventurer à compter le nombre de ministres depuis que Me Wade est à la tête du pays ?
Pour sûr, disons que le réaménagement intervenu hier, est le quatrième depuis quelques mois et le nième depuis 2000. Le dernier remonte au jeudi 1er octobre quand Cheikh Tidiane Gadio, alors Ministre des Affaires étrangères, a été limogé, parce qu’il ne s’entendait plus avec le fils du Président, Karim Wade.
E (Stagiaire) Sudonline.sn