Les fibromes pourraient très prochainement être traités par ultrasons. Pour l'instant, cette technique, qui ne nécessite ni anesthésie ni hospitalisation, a donné des résultats très satisfaisants à court terme.
Les fibromes utérins correspondent à des tumeurs bénignes. Se manifestant en règle générale sous la forme de troubles menstruels avec notamment des règles abondantes et des saignements entre les règles, ils entraînent dans la majorité des cas des douleurs utérines.Si un traitement hormonal ne peut ralentir suffisamment l'évolution du fibrome, un acte chirurgical est alors envisagé. Actuellement, plusieurs techniques sont employées :
ablation de la tumeur par voie abdominale ou utérine ;
ablation totale : utérus, trompes et ovaires ;
embolisation des artères utérines qui alimentent le fibrome (les artères concernées sont bouchées afin qu'elles n'irriguent plus la tumeur, laquelle tend à perdre en volume).
Aujourd'hui, les recherches se tournent vers les ultrasons, une technique non invasive qui pourrait facilement remplacer les thérapeutiques actuelles.En effet, testés à court terme auprès de 55 sujets âgés de 38 à 55 ans, ils sont capables de soulager la douleur et de réduire les saignements engendrés par les fibromes utérins. Ce type d'intervention, très simple, sans anesthésie ni hospitalisation, est bien toléré par les patientes. De plus, seules 10% ont fait appel à des antalgiques après l'application de cette technique.
SOURCE:e-sante.fr
Les fibromes utérins correspondent à des tumeurs bénignes. Se manifestant en règle générale sous la forme de troubles menstruels avec notamment des règles abondantes et des saignements entre les règles, ils entraînent dans la majorité des cas des douleurs utérines.Si un traitement hormonal ne peut ralentir suffisamment l'évolution du fibrome, un acte chirurgical est alors envisagé. Actuellement, plusieurs techniques sont employées :
ablation de la tumeur par voie abdominale ou utérine ;
ablation totale : utérus, trompes et ovaires ;
embolisation des artères utérines qui alimentent le fibrome (les artères concernées sont bouchées afin qu'elles n'irriguent plus la tumeur, laquelle tend à perdre en volume).
Aujourd'hui, les recherches se tournent vers les ultrasons, une technique non invasive qui pourrait facilement remplacer les thérapeutiques actuelles.En effet, testés à court terme auprès de 55 sujets âgés de 38 à 55 ans, ils sont capables de soulager la douleur et de réduire les saignements engendrés par les fibromes utérins. Ce type d'intervention, très simple, sans anesthésie ni hospitalisation, est bien toléré par les patientes. De plus, seules 10% ont fait appel à des antalgiques après l'application de cette technique.
SOURCE:e-sante.fr