Condamné à cinq reprises en France pour violences, outrages à agent de la force publique, rebellions, faux et port d'arme, il avait été confondu en particulier grâce au rapprochement entre l'ADN prélevé sur sa fiche d'empreintes digitales et celui retrouvé lors des trois viols, avait expliqué le parquet de Paris en février. Le parquet avait alors ouvert une information judiciaire pour "viols multiples et tentatives d'homicide sur plusieurs de ses victimes" à la suite de trois agressions sexuelles, à Paris et dans l'Essonne, en l'espace de cinq jours, fin décembre 2011. L'homme avait poignardé deux de ses victimes.
Trois agressions similaires en en quelques jours
La première agression remonte au 23 décembre 2011, vers 2h00 du matin à Paris. Une jeune femme rentrait chez elle près de la porte d'Orléans lorsqu'un homme s'est jeté sur elle, parvenant à entrer dans son appartement. Il l'avait volée puis violée. Il l'avait menacée ensuite de s'en prendre à des membres de sa famille présents dans l'appartement, avant de se rendre avec elle à un distributeur pour lui soutirer de l'argent.
Quelques heures plus tard, l'homme avait récidivé et s'en était pris à une jeune femme dans le XVe arrondissement. La victime était tombée nez à nez avec son agresseur dans l'ascenseur de son immeuble. Il l'avait suivie jusqu'à son appartement avant d'y entrer. Il lui avait volé sa carte bleue, mais alors qu'il tentait de la violer, elle s'était débattue. Il l'avait poignardée alors à dix-neuf reprises, la laissant pour morte, avant de la violer.
Le 28 décembre, dans une cité d'Etampes (Essonne), une adolescente de 15 ans avait été abordée par un homme qui avait réussi à entrer dans son appartement en la menaçant avec un couteau. Il l'avait poignardée à deux reprises, tentant de l'étrangler et la violant.
Trois agressions similaires en en quelques jours
La première agression remonte au 23 décembre 2011, vers 2h00 du matin à Paris. Une jeune femme rentrait chez elle près de la porte d'Orléans lorsqu'un homme s'est jeté sur elle, parvenant à entrer dans son appartement. Il l'avait volée puis violée. Il l'avait menacée ensuite de s'en prendre à des membres de sa famille présents dans l'appartement, avant de se rendre avec elle à un distributeur pour lui soutirer de l'argent.
Quelques heures plus tard, l'homme avait récidivé et s'en était pris à une jeune femme dans le XVe arrondissement. La victime était tombée nez à nez avec son agresseur dans l'ascenseur de son immeuble. Il l'avait suivie jusqu'à son appartement avant d'y entrer. Il lui avait volé sa carte bleue, mais alors qu'il tentait de la violer, elle s'était débattue. Il l'avait poignardée alors à dix-neuf reprises, la laissant pour morte, avant de la violer.
Le 28 décembre, dans une cité d'Etampes (Essonne), une adolescente de 15 ans avait été abordée par un homme qui avait réussi à entrer dans son appartement en la menaçant avec un couteau. Il l'avait poignardée à deux reprises, tentant de l'étrangler et la violant.
Alassane K., 39 ans, soupçonné d’avoir violé trois femmes à Paris et en région parisienne en décembre dernier, a été extradé par la Belgique mardi, mis en examen à Paris et placé en détention provisoire mercredi, selon une information de RTL, confirmée par une source judiciaire à l’AFP.
Ce Sénégalais, connu sous trois autres identités et qui avait déjà eu affaire aux services de police français pour des violences, avait agressé une première victime le 23 décembre dernier, vers 2 heures du matin à Paris. Alors qu’elle rentrait chez elle près de la porte d'Orléans, l'homme était parvenu à entrer dans son appartement, à lui soutirer de l'argent avant de la violer. Il l’avait ensuite menacée de s'en prendre à des membres de sa famille présents dans l'appartement, avant de l'amener devant un distributeur automatique de billets. pour lui soutirer de l'argent.
Randonnée criminelle
Quelques heures plus tard, l’homme récidivait dans le 15e arrondissement, près du métro Convention avec un mode opératoire quasi-identique. Seule différence : il poignarde sa victime à dix-neuf reprises, la laissant pour morte. La jeune femme avait été hospitalisée dans un état grave. La dernière agression remontait au 28 décembre, dans une cité d'Etampes (Essonne). L’homme s’en était pris à une adolescente de 15 ans qu'il avait également violée, puis poignardée, à deux reprises.
Alassane K., avait déjà écopé d’une peine de sept ans d’emprisonnement pour un viol qu’il avait commis en Seine-Saint-Denis alors qu’il était âgé de 17 ans. Il avait également été condamné quatre autres fois pour des faits de violence, d’outrage à agent de la force publique, rébellion et port d’arme prohibé.
Ce Sénégalais, connu sous trois autres identités et qui avait déjà eu affaire aux services de police français pour des violences, avait agressé une première victime le 23 décembre dernier, vers 2 heures du matin à Paris. Alors qu’elle rentrait chez elle près de la porte d'Orléans, l'homme était parvenu à entrer dans son appartement, à lui soutirer de l'argent avant de la violer. Il l’avait ensuite menacée de s'en prendre à des membres de sa famille présents dans l'appartement, avant de l'amener devant un distributeur automatique de billets. pour lui soutirer de l'argent.
Randonnée criminelle
Quelques heures plus tard, l’homme récidivait dans le 15e arrondissement, près du métro Convention avec un mode opératoire quasi-identique. Seule différence : il poignarde sa victime à dix-neuf reprises, la laissant pour morte. La jeune femme avait été hospitalisée dans un état grave. La dernière agression remontait au 28 décembre, dans une cité d'Etampes (Essonne). L’homme s’en était pris à une adolescente de 15 ans qu'il avait également violée, puis poignardée, à deux reprises.
Alassane K., avait déjà écopé d’une peine de sept ans d’emprisonnement pour un viol qu’il avait commis en Seine-Saint-Denis alors qu’il était âgé de 17 ans. Il avait également été condamné quatre autres fois pour des faits de violence, d’outrage à agent de la force publique, rébellion et port d’arme prohibé.