Un agent de la Bceao écroué pour vol de bijoux en or et diamant
Le plaignant Bocar Fall va solder ses comptes aujourd'hui avec son oncle Aboubakry Ba, agent de la Bceao qui a été interpellé par la police de Dieuppeul, il y a quelques jours. Il est poursuivi par son neveu pour vol avec effraction. En effet, dans ce dossier, c'est la mère du plaignant qui a saisi la police de Dieuppeul, au nom de son fils, Bocar Fall qui était en voyage à Paris au moment des faits.
Dans sa plainte déposée au mois d'octobre 2016, la dame indique qu'après sa retraite, elle s'était établie dans la maison familiale, à la Sicap Dieuppeul 3 avec son fils Bocar Fall. A l'en croire, son frère cadet, agent à la Bceao, déteste son fils. La dame renseigne que son frère avait introduit une requête tendant à faire expulser celui-ci de la maison.
Un jugement qui sera rendu en faveur de son neveu, du fait que sa mère était également héritière de la maison. Malgré tout, son oncle Aboubakry Ba a interjeté appel à cette décision. Pour la dame, son frère a commis l'imprudence de vouloir défoncer la porte de la chambre de son fils, avec des acolytes. "Par la suite, il s'est retourné sur moi pour me violenter", a-t-elle annoncé.
Entendu dès son retour de son voyage par la police, le 10 mars dernier, Bocar Fall a confirmé les dires de sa mère. En tant qu'homme d'affaires, Bocar Fall a expliqué que c'est au cours de l'une de ses absences du pays pour des raisons de travail, que son oncle a défoncé la porte de sa chambre.
Une effraction qui a été constatée par un huissier. "J'ai constaté la disparition de la somme de 1,450 million Fcfa, d'une bague de fiançailles en diamant de mon épouse qui vit en France d'une valeur de 980.000 Fcfa et d'un bracelet en or d'une valeur de 830.000 Fcfa, que j'avais glissé entre mes vêtements", soutient la victime à l’enquête. Selon lui, il n'y a que son oncle qui pouvait être responsable et la disparition de son argent et de ses bijoux, car c'est lui seul qui s'est introduit dans sa chambre en son absence.
Face à de telles accusations, le mis en cause a nié les faits qui lui sont reprochés en soutenant qu'au moment des faits, il y a eu des travaux de réfection dans la maison familiale. Sa vieille mère a jugé nécessaire qu'une vérification soit effectuée dans toutes les chambres pour voir l'état de l'étanchéité.
Et puisqu'il ne détenait pas les clés de la chambre de son neveu, il a sollicité les services de deux menuisiers (que sa sœur appelle ses acolytes). "Lorsque ma sœur s'est opposée à l'ouverture de la chambre de son fils, j'ai laissé partir les menuisiers", se défend l'accusé qui sera fixé sur son sort aujourd'hui.
L'As
Dans sa plainte déposée au mois d'octobre 2016, la dame indique qu'après sa retraite, elle s'était établie dans la maison familiale, à la Sicap Dieuppeul 3 avec son fils Bocar Fall. A l'en croire, son frère cadet, agent à la Bceao, déteste son fils. La dame renseigne que son frère avait introduit une requête tendant à faire expulser celui-ci de la maison.
Un jugement qui sera rendu en faveur de son neveu, du fait que sa mère était également héritière de la maison. Malgré tout, son oncle Aboubakry Ba a interjeté appel à cette décision. Pour la dame, son frère a commis l'imprudence de vouloir défoncer la porte de la chambre de son fils, avec des acolytes. "Par la suite, il s'est retourné sur moi pour me violenter", a-t-elle annoncé.
Entendu dès son retour de son voyage par la police, le 10 mars dernier, Bocar Fall a confirmé les dires de sa mère. En tant qu'homme d'affaires, Bocar Fall a expliqué que c'est au cours de l'une de ses absences du pays pour des raisons de travail, que son oncle a défoncé la porte de sa chambre.
Une effraction qui a été constatée par un huissier. "J'ai constaté la disparition de la somme de 1,450 million Fcfa, d'une bague de fiançailles en diamant de mon épouse qui vit en France d'une valeur de 980.000 Fcfa et d'un bracelet en or d'une valeur de 830.000 Fcfa, que j'avais glissé entre mes vêtements", soutient la victime à l’enquête. Selon lui, il n'y a que son oncle qui pouvait être responsable et la disparition de son argent et de ses bijoux, car c'est lui seul qui s'est introduit dans sa chambre en son absence.
Face à de telles accusations, le mis en cause a nié les faits qui lui sont reprochés en soutenant qu'au moment des faits, il y a eu des travaux de réfection dans la maison familiale. Sa vieille mère a jugé nécessaire qu'une vérification soit effectuée dans toutes les chambres pour voir l'état de l'étanchéité.
Et puisqu'il ne détenait pas les clés de la chambre de son neveu, il a sollicité les services de deux menuisiers (que sa sœur appelle ses acolytes). "Lorsque ma sœur s'est opposée à l'ouverture de la chambre de son fils, j'ai laissé partir les menuisiers", se défend l'accusé qui sera fixé sur son sort aujourd'hui.
L'As