Des chercheurs américains ont développé une intelligence artificielle (IA) qui serait capable de déterminer la signification des différents types de pleurs des bébés. Car si les nourrissons s’expriment d’une manière qui leur est propre, il existe des points communs entre la façon dont chacun manifeste la faim, la fatigue, l’inconfort, le besoin d’attention ou d’une nouvelle couche.
L’algorithme peut ainsi détecter ces schémas partagés par tous les nouveau-nés, affirment les scientifiques de l’université Northern Illinois et du College of New Jersey. Ceux-ci se sont appuyés sur 48 pleurs différents enregistrés à l’hôpital auprès de 26 bébés, explique la version québécoise du HuffPost, ce vendredi.
Améliorer les soins et réduire le stress
Ainsi, chacun de ces sanglots a été associé à un besoin identifié par les infirmières ou les proches des petits patients. D’autres signes accompagnant ces cris ont aussi été pris en compte. L’IA a ensuite pu apprendre quelles étaient les particularités des pleurs exprimant un type spécifique de message.
Les chercheurs souhaitent désormais augmenter l’efficacité de leur outil, en continuant à utiliser l’apprentissage automatique. Ils veulent alimenter le système de centaines, voire de milliers, de nouveaux pleurs et comptent sur la participation de nouveaux hôpitaux. Avec pour objectif, à terme, d’améliorer les soins prodigués aux bébés et de réduire le stress de leurs parents et des soignants.
20minutes.fr
L’algorithme peut ainsi détecter ces schémas partagés par tous les nouveau-nés, affirment les scientifiques de l’université Northern Illinois et du College of New Jersey. Ceux-ci se sont appuyés sur 48 pleurs différents enregistrés à l’hôpital auprès de 26 bébés, explique la version québécoise du HuffPost, ce vendredi.
Améliorer les soins et réduire le stress
Ainsi, chacun de ces sanglots a été associé à un besoin identifié par les infirmières ou les proches des petits patients. D’autres signes accompagnant ces cris ont aussi été pris en compte. L’IA a ensuite pu apprendre quelles étaient les particularités des pleurs exprimant un type spécifique de message.
Les chercheurs souhaitent désormais augmenter l’efficacité de leur outil, en continuant à utiliser l’apprentissage automatique. Ils veulent alimenter le système de centaines, voire de milliers, de nouveaux pleurs et comptent sur la participation de nouveaux hôpitaux. Avec pour objectif, à terme, d’améliorer les soins prodigués aux bébés et de réduire le stress de leurs parents et des soignants.
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