
« Il y a un an, le Sénégal entrait dans une nouvelle ère avec l’élection de Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la présidence de la République. Porté par une vague d’espoir et un profond désir de changement, il incarnait l’aspiration d’une jeunesse avide de renouveau, d’une gouvernance plus transparente et d’un développement inclusif.
Douze mois plus tard, le bilan de son engagement commence à se dessiner. Sur les plans économique, social et institutionnel, des réformes majeures ont été entreprises, pour répondre aux attentes des Sénégalais. Parmi elles, la refonte du système judiciaire, la lutte contre la corruption et la relance de secteurs clés comme l’agriculture, la pêche et l’énergie.
L’une des priorités du Président Faye, a été de rétablir la confiance entre l’État et le peuple. Son discours d’apaisement, sa volonté de rupture avec les pratiques du passé et ses premières décisions en faveur des couches les plus vulnérables, témoignent d’un leadership axé sur l’éthique et le pragmatisme. Le dialogue avec les acteurs politiques, économiques et sociaux a été renforcé, ouvrant la voie à un consensus national pour une gouvernance plus participative.
Sur la scène internationale, le Sénégal a consolidé sa position en tant que modèle démocratique en Afrique. La nouvelle diplomatie sénégalaise, portée par des engagements forts en faveur de la souveraineté économique et de la coopération régionale, a renforcé l’attractivité du pays pour les investisseurs et partenaires stratégiques.
Bien sûr, des défis persistent : la question de l’emploi des jeunes, le renforcement des infrastructures et la modernisation de l’administration restent des chantiers en cours. Mais après un an d’exercice, Bassirou Diomaye Diakhar Faye incarne encore l’espoir d’un Sénégal en marche vers un avenir plus prospère et plus juste.
L’heure est désormais à la consolidation des acquis et à l’accélération des réformes, pour que ce premier anniversaire soit le début d’une transformation durable. Car au-delà du symbole du changement, c’est l’efficacité des actions menées qui déterminera si ce premier mandat restera une chance historique pour le Sénégal. »
Mounirou Mbengue, journaliste
Douze mois plus tard, le bilan de son engagement commence à se dessiner. Sur les plans économique, social et institutionnel, des réformes majeures ont été entreprises, pour répondre aux attentes des Sénégalais. Parmi elles, la refonte du système judiciaire, la lutte contre la corruption et la relance de secteurs clés comme l’agriculture, la pêche et l’énergie.
L’une des priorités du Président Faye, a été de rétablir la confiance entre l’État et le peuple. Son discours d’apaisement, sa volonté de rupture avec les pratiques du passé et ses premières décisions en faveur des couches les plus vulnérables, témoignent d’un leadership axé sur l’éthique et le pragmatisme. Le dialogue avec les acteurs politiques, économiques et sociaux a été renforcé, ouvrant la voie à un consensus national pour une gouvernance plus participative.
Sur la scène internationale, le Sénégal a consolidé sa position en tant que modèle démocratique en Afrique. La nouvelle diplomatie sénégalaise, portée par des engagements forts en faveur de la souveraineté économique et de la coopération régionale, a renforcé l’attractivité du pays pour les investisseurs et partenaires stratégiques.
Bien sûr, des défis persistent : la question de l’emploi des jeunes, le renforcement des infrastructures et la modernisation de l’administration restent des chantiers en cours. Mais après un an d’exercice, Bassirou Diomaye Diakhar Faye incarne encore l’espoir d’un Sénégal en marche vers un avenir plus prospère et plus juste.
L’heure est désormais à la consolidation des acquis et à l’accélération des réformes, pour que ce premier anniversaire soit le début d’une transformation durable. Car au-delà du symbole du changement, c’est l’efficacité des actions menées qui déterminera si ce premier mandat restera une chance historique pour le Sénégal. »
Mounirou Mbengue, journaliste