Dans le Coran, "il y a cinq sourates qui parlent précisément des horaires pendant lesquels on doit prier et même les marges prévues, que l’on appelle ’mukhtar’", a rappelé M. Gaye, dans un entretien avec l’APS.
"Il s’agit des sourates Al Isra (17), Hoûd, (11), Ta Hâ (20), Nissaï (4) et Qaf (50)", a-t-il indiqué, ajoutant que "pour les horaires, tout dépend de la position géographique du pays ou de l’observateur, car le coucher du soleil diffère selon les localités".
Par exemple, a dit le spécialiste, "Dakar étant la pointe occidentale du continent, elle observe en dernier lieu le coucher du soleil". "Mais il arrive des moments où Saint-Louis et Ziguinchor ont le même temps de coupure de jeûne", a-t-il fait observer. Cela s’explique selon lui, "par l’inclinaison du soleil et la course de la Terre".
En outre, Dr Abdoulaye Gaye a relevé que "par rapport à la justesse de l’heure de prière, beaucoup de gens oublient le verset 5 de la sourate 55 du Coran qui dit que le soleil et la lune évoluent selon un calcul minutieux".
"Déjà, en 1991, je m’étais engagé à aider mes frères musulmans à unifier leur position non pas en fonction de leur appartenance confrérique mais par rapport aux réalités de la lune, que j’ai commencé à suivre de très près étant membre de l’ICOP (Islamic croissant observation project), un groupement qui s’occupe de l’observation du croissant lunaire islamique", a-t-il expliqué.
Ce mouvement regroupe quelque 450 scientifiques et oulémas répartis dans 58 pays. Il s’agit de personnes connaissant aussi bien l’astronomie que la charia et s’occupant de questions ayant trait à la lune.
"Quand on ne sait pas mesurer la géométrie spatiale, il y a un problème. Ceux qui ne savent pas, préfèrent s’imaginer des solutions au lieu d’aller là où se trouve la connaissance pour avoir la bonne information" a-t-il déploré, invitant à lire le Coran de "manière intelligente".
"Il s’agit des sourates Al Isra (17), Hoûd, (11), Ta Hâ (20), Nissaï (4) et Qaf (50)", a-t-il indiqué, ajoutant que "pour les horaires, tout dépend de la position géographique du pays ou de l’observateur, car le coucher du soleil diffère selon les localités".
Par exemple, a dit le spécialiste, "Dakar étant la pointe occidentale du continent, elle observe en dernier lieu le coucher du soleil". "Mais il arrive des moments où Saint-Louis et Ziguinchor ont le même temps de coupure de jeûne", a-t-il fait observer. Cela s’explique selon lui, "par l’inclinaison du soleil et la course de la Terre".
En outre, Dr Abdoulaye Gaye a relevé que "par rapport à la justesse de l’heure de prière, beaucoup de gens oublient le verset 5 de la sourate 55 du Coran qui dit que le soleil et la lune évoluent selon un calcul minutieux".
"Déjà, en 1991, je m’étais engagé à aider mes frères musulmans à unifier leur position non pas en fonction de leur appartenance confrérique mais par rapport aux réalités de la lune, que j’ai commencé à suivre de très près étant membre de l’ICOP (Islamic croissant observation project), un groupement qui s’occupe de l’observation du croissant lunaire islamique", a-t-il expliqué.
Ce mouvement regroupe quelque 450 scientifiques et oulémas répartis dans 58 pays. Il s’agit de personnes connaissant aussi bien l’astronomie que la charia et s’occupant de questions ayant trait à la lune.
"Quand on ne sait pas mesurer la géométrie spatiale, il y a un problème. Ceux qui ne savent pas, préfèrent s’imaginer des solutions au lieu d’aller là où se trouve la connaissance pour avoir la bonne information" a-t-il déploré, invitant à lire le Coran de "manière intelligente".