Comme lors de ses deux procès, le brigadier-chef est accusé d’occupation illégale de terrain appartenant à autrui et destruction de bien appartenant à autrui. Et cette-fois, il est aussi poursuivi aussi pour le délit d’entrave à la liberté de travail.
En effet, selon le plaignant Matar Ndiaye alors qu’il avait commencé des travaux sur son terrain, le policier est venu un jour le menacer de tout détruire. Et malgré la plainte qu’il avait déposée contre le brigadier-chef au niveau de la gendarmerie de Ouakam, ce dernier avait mis à exécution ses menaces. « Le 10 septembre dernier, l’architecte m’a appelé pour me dire que tout avait été détruit. Avec l’huissier nous avons constaté que les murs, les tuyaux et d’autres choses avaient été détruits », révèle le plaignant dont les propos seront corroborés par les maçons qui ont déclaré que le prévenu leur a maintes fois demandé d’arrêter les travaux.
Autant d’accusations contestées par le brigadier-chef qui a soutenu qu’il n’a rien détruit, ni empêché quiconque d’effectuer des travaux sur le terrain. D’ailleurs, précise-t-il, le terrain de la partie civile ne fait pas partie de ceux litigieux.
Un argument jugé léger par l’avocat de la partie civile qui estime que le policier a usé de son statut pour commettre les faits. C’est la raison pour laquelle, il a réclamé la somme de 4 millions à titre de réparation au moment où, le représentant du parquet a requis 02 mois assortis du sursis.
L’avocat de la défense qui a sollicité la relaxe pure et simple, n’a pas obtenu gain de cause puisque, le policier a été condamné à un mois de prison ferme pour entrave à la liberté de travail ainsi qu’à une amende ferme de 250.000 francs.
Daour Guèye qui doit verser la somme de 250.000 francs Cfa à Matar Ndiaye à titre d’intérêts civils, a été relaxé des délits d’occupation illégale de terrain appartenant à autrui et destruction de biens appartenant à autrui.
En effet, selon le plaignant Matar Ndiaye alors qu’il avait commencé des travaux sur son terrain, le policier est venu un jour le menacer de tout détruire. Et malgré la plainte qu’il avait déposée contre le brigadier-chef au niveau de la gendarmerie de Ouakam, ce dernier avait mis à exécution ses menaces. « Le 10 septembre dernier, l’architecte m’a appelé pour me dire que tout avait été détruit. Avec l’huissier nous avons constaté que les murs, les tuyaux et d’autres choses avaient été détruits », révèle le plaignant dont les propos seront corroborés par les maçons qui ont déclaré que le prévenu leur a maintes fois demandé d’arrêter les travaux.
Autant d’accusations contestées par le brigadier-chef qui a soutenu qu’il n’a rien détruit, ni empêché quiconque d’effectuer des travaux sur le terrain. D’ailleurs, précise-t-il, le terrain de la partie civile ne fait pas partie de ceux litigieux.
Un argument jugé léger par l’avocat de la partie civile qui estime que le policier a usé de son statut pour commettre les faits. C’est la raison pour laquelle, il a réclamé la somme de 4 millions à titre de réparation au moment où, le représentant du parquet a requis 02 mois assortis du sursis.
L’avocat de la défense qui a sollicité la relaxe pure et simple, n’a pas obtenu gain de cause puisque, le policier a été condamné à un mois de prison ferme pour entrave à la liberté de travail ainsi qu’à une amende ferme de 250.000 francs.
Daour Guèye qui doit verser la somme de 250.000 francs Cfa à Matar Ndiaye à titre d’intérêts civils, a été relaxé des délits d’occupation illégale de terrain appartenant à autrui et destruction de biens appartenant à autrui.