Le site se trouve près d’un marché de cette ville située dans la banlieue dakaroise. Les familles sinistrées y sont installées depuis près d’une semaine, dans 25 tentes-dortoirs. On y trouve un centre médical et une cuisine.
‘’Nous avons 271 familles recasées ici, avec 179 enfants. Elles viennent toutes des quartiers inondés de Keur Massar’’, a expliqué Zeynoune Abédine Gaye.
‘’Les gens vivent ici dans des conditions optimales. Nous essayons de faire de notre mieux pour qu’ils se sentent comme chez eux, en leur donnant à manger et en veillant sur leur santé’’, rassure M. Gaye.
Selon lui, beaucoup d’entre eux avaient pourtant refusé d’y être relogés. Il s’agit de familles vivant dans des maisons à étages, qui avaient choisi de vivre dans les parties supérieures de leurs habitations, hors des eaux.
Selon Zeynoune Abédine Gaye, qui se considère comme un chef de quartier, plusieurs commissions ont été créées pour le bon fonctionnement du site.
La plus importante, dit-il, c’est celle chargée de l’accueil. ‘’Cette commission a pour rôle d’accueillir les familles en difficulté. C’est pour bien les accueillir et les mettre dans de bonnes conditions’’, a-t-il précisé, indiquant qu’il existe également une commission santé, qui s’occupe notamment de l’entretien du site.
Selon lui, comme dans un quartier normal, il peut y avoir des problèmes, des ‘’disputes’’ par exemple.
C’est pour cette raison, a-t-il expliqué, qu’une réunion se tient tous les soirs, pour discuter du vécu des habitants du site d’une superficie de 1.000 mètres carrés.
‘’Nous voulons anticiper d’éventuels problèmes entre habitants du site, échanger avec les familles et voir ce qui doit être amélioré et corrigé’’, a-t-il dit.
Pour mieux gérer ce site, M. Gaye affirme vouloir s’inspirer des camps se trouvant en Europe et ailleurs dans le monde.
C’est de cette manière, a-t-il assuré, que ‘’beaucoup de choses qui se sont passées sur des sites de ce genre, par le passé, vont être évitées, les vols, les viols ou le banditisme’’.
APS
‘’Nous avons 271 familles recasées ici, avec 179 enfants. Elles viennent toutes des quartiers inondés de Keur Massar’’, a expliqué Zeynoune Abédine Gaye.
‘’Les gens vivent ici dans des conditions optimales. Nous essayons de faire de notre mieux pour qu’ils se sentent comme chez eux, en leur donnant à manger et en veillant sur leur santé’’, rassure M. Gaye.
Selon lui, beaucoup d’entre eux avaient pourtant refusé d’y être relogés. Il s’agit de familles vivant dans des maisons à étages, qui avaient choisi de vivre dans les parties supérieures de leurs habitations, hors des eaux.
Selon Zeynoune Abédine Gaye, qui se considère comme un chef de quartier, plusieurs commissions ont été créées pour le bon fonctionnement du site.
La plus importante, dit-il, c’est celle chargée de l’accueil. ‘’Cette commission a pour rôle d’accueillir les familles en difficulté. C’est pour bien les accueillir et les mettre dans de bonnes conditions’’, a-t-il précisé, indiquant qu’il existe également une commission santé, qui s’occupe notamment de l’entretien du site.
Selon lui, comme dans un quartier normal, il peut y avoir des problèmes, des ‘’disputes’’ par exemple.
C’est pour cette raison, a-t-il expliqué, qu’une réunion se tient tous les soirs, pour discuter du vécu des habitants du site d’une superficie de 1.000 mètres carrés.
‘’Nous voulons anticiper d’éventuels problèmes entre habitants du site, échanger avec les familles et voir ce qui doit être amélioré et corrigé’’, a-t-il dit.
Pour mieux gérer ce site, M. Gaye affirme vouloir s’inspirer des camps se trouvant en Europe et ailleurs dans le monde.
C’est de cette manière, a-t-il assuré, que ‘’beaucoup de choses qui se sont passées sur des sites de ce genre, par le passé, vont être évitées, les vols, les viols ou le banditisme’’.
APS