D’après nos sources, Ourèye Thiam a soutenu que c’est la 3e fois qu’elle traitait avec Diagne. « C’est lui qui est venu vers moi pour me proposer de lui remettre de la marchandise pour qu’il puisse les revendre », a-t-elle confié aux limiers. « Notre première transaction s’est bien passée. Je lui avais remis des habits d’une valeur de 500 mille francs. Il avait respecté le délai de versement. Pour la deuxième fois, c’était 700 mille francs ».
Toutefois, poursuit-elle, « en 2009, il est venu me demander des costumes d’une valeur de 1 million 150.000 francs parce qu’il voulait les revendre aux ministres devant accompagner le président Wade aux Etats-Unis. Et, c’était le début d’un jeu de cache-cache. Babacar Diagne était venu un jour chez moi pour me dire que des clients s’étaient trompés sur le libellé du chèque. Et, qu’ils allaient le rectifier. Depuis lors je ne parviens pas à mettre la main sur lui. A part la jour où il est venu chez moi pour me balancer à la figure : « porte plainte, cela n’aura pas de suite, le procureur est mon beau-frère ».
Walf Grand-Place
Toutefois, poursuit-elle, « en 2009, il est venu me demander des costumes d’une valeur de 1 million 150.000 francs parce qu’il voulait les revendre aux ministres devant accompagner le président Wade aux Etats-Unis. Et, c’était le début d’un jeu de cache-cache. Babacar Diagne était venu un jour chez moi pour me dire que des clients s’étaient trompés sur le libellé du chèque. Et, qu’ils allaient le rectifier. Depuis lors je ne parviens pas à mettre la main sur lui. A part la jour où il est venu chez moi pour me balancer à la figure : « porte plainte, cela n’aura pas de suite, le procureur est mon beau-frère ».
Walf Grand-Place