Par ailleurs, le comité entreprend d’organiser une marche le mercredi 8 octobre prochain. Selon le professeur Malick Ndiaye, il s’agit d’une marche citoyenne et républicaine contre les "dérives" des autorités qui veulent priver la population de sa liberté.
"Depuis des générations, le sentiment de liberté est irrépréhensible dans notre pays", souligne le sociologue qui indique que la démarche du comité est un "pacte de fidélité" entre les citoyens et leur liberté.
Revenant sur les 3 années de prison ferme infligées à El Malick Seck, M. Ndiaye estime que même sous l’ère Mame Less Dia, une peine aussi "sévère et inique" n’a été pas prononcée à l’endroit d’un journaliste. Aussi, estime-t-il qu’on ne peut pas reprocher à un journaliste d’avoir comme source d’information Internet en ce sens que le journalisme évolue.
Pour rappel, dans son édition du jeudi 28 août dernier, le quotidien dakarois "24 Heures Chrono" barrait sa Une d’une information relative aux casses en septembre 2003 des succursales de la Bceao de Bouaké, Korogho et du Man en Côte d’Ivoire, pour dire que Me Abdoulaye Wade et son fils Karim seraient mouillés dans le blanchiment de cet argent au Sénégal. C’est ce qui a valu dans la matinée du jeudi 28 août la saisie de l’édition en question, avant que le Dirpub El Malick Seck ne soit appréhendé dans l’après-midi de la même journée.
M. Seck a été poursuivi par le parquet de Dakar en Flagrants délits pour diffusion de fausses nouvelles, injures publiques, actes et manœuvres de nature à troubler l’ordre public et créer des troubles politiques graves, recel de documents administratifs et offense au chef de l’Etat.
Le Directeur de publication de "24 heures chrono" a été condamné en mi-septembre dernier à trois ans d’emprisonnement.
Lors de cette visite, Malick Ndiaye était accompagné entre autres de Jacques Habib Sy de Transparency international, des députés non inscrits Me Ndèye Fatou Touré et Imam Mbaye Niang. Ils ont tous salué la sérénité dans laquelle le journaliste purge sa peine.
"Depuis des générations, le sentiment de liberté est irrépréhensible dans notre pays", souligne le sociologue qui indique que la démarche du comité est un "pacte de fidélité" entre les citoyens et leur liberté.
Revenant sur les 3 années de prison ferme infligées à El Malick Seck, M. Ndiaye estime que même sous l’ère Mame Less Dia, une peine aussi "sévère et inique" n’a été pas prononcée à l’endroit d’un journaliste. Aussi, estime-t-il qu’on ne peut pas reprocher à un journaliste d’avoir comme source d’information Internet en ce sens que le journalisme évolue.
Pour rappel, dans son édition du jeudi 28 août dernier, le quotidien dakarois "24 Heures Chrono" barrait sa Une d’une information relative aux casses en septembre 2003 des succursales de la Bceao de Bouaké, Korogho et du Man en Côte d’Ivoire, pour dire que Me Abdoulaye Wade et son fils Karim seraient mouillés dans le blanchiment de cet argent au Sénégal. C’est ce qui a valu dans la matinée du jeudi 28 août la saisie de l’édition en question, avant que le Dirpub El Malick Seck ne soit appréhendé dans l’après-midi de la même journée.
M. Seck a été poursuivi par le parquet de Dakar en Flagrants délits pour diffusion de fausses nouvelles, injures publiques, actes et manœuvres de nature à troubler l’ordre public et créer des troubles politiques graves, recel de documents administratifs et offense au chef de l’Etat.
Le Directeur de publication de "24 heures chrono" a été condamné en mi-septembre dernier à trois ans d’emprisonnement.
Lors de cette visite, Malick Ndiaye était accompagné entre autres de Jacques Habib Sy de Transparency international, des députés non inscrits Me Ndèye Fatou Touré et Imam Mbaye Niang. Ils ont tous salué la sérénité dans laquelle le journaliste purge sa peine.