Ils sont montés hier, en créneau pour annoncer une plainte contre X à la suite de la blessure d’un de leur camarades. Le nommé Mamadou Dicko airait été atteint par deux balles à la cuisse.
Trouvé chez lui, le jeune visiblement affecté par ce qui lui est arrivé, sort difficilement quelques mots de sa bouche. Et, c’est pour dénoncer « le brutalité policière » dont il a été victime. « Les policiers m’ont fauché. Et, quand j’ai voulu fuir, un d’entre eux m’a tiré deux coups de feu sur la cuisse. C’est un acte déplorable », relate Mamadou Dicko. Qui poursuit : « Aujourd’hui, je vis un handicap par ce que je ne peux pas vaquer correctement à mes occupations ».
Mais les socialistes entendent tout faire pour que justice soit rendue à leur jeune camarade. « Rien n’est exclu pour que juste soit rendue, même une plainte n’est pas écartée », a laissé entendre Serigne Wadane Sougou, secrétaire général de la 11e coordination B des parcelles assainie.
Walf Grand-Place
Trouvé chez lui, le jeune visiblement affecté par ce qui lui est arrivé, sort difficilement quelques mots de sa bouche. Et, c’est pour dénoncer « le brutalité policière » dont il a été victime. « Les policiers m’ont fauché. Et, quand j’ai voulu fuir, un d’entre eux m’a tiré deux coups de feu sur la cuisse. C’est un acte déplorable », relate Mamadou Dicko. Qui poursuit : « Aujourd’hui, je vis un handicap par ce que je ne peux pas vaquer correctement à mes occupations ».
Mais les socialistes entendent tout faire pour que justice soit rendue à leur jeune camarade. « Rien n’est exclu pour que juste soit rendue, même une plainte n’est pas écartée », a laissé entendre Serigne Wadane Sougou, secrétaire général de la 11e coordination B des parcelles assainie.
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