"Un gouvernement peut nuire à son économie en traquant de l’argent illégalement acquis", avertit le 1er vice-président de la BM

Monsieur, j'espere que t'as pas été payé par Aly Baba pour débiter ces conneries...

C'est grave et pas encourageant du tout ce que vient de dire ce vice-président de la Banque Mondiale...
Cela veut dire en résumé : La Banque Mondiale prête de l'argent au Sénégal, des ministres volent cet argent et le mettent dans le circuit international, ce qui va constituer des disponibilités pour les banques occidentales qui vont créer de la richesse, de la croissance pour leurs états parce que cet argent thésaurisé va servir d'investissements en Afrique ou en Occident pour ces banque complices.
A l'arrivée, l'Afrique continue à être de plus en plus pauvre tout en subissant les effets de la détérioration des termes de l'échange et malgré tout, elle devra payer cette dette contracté à la Banque Mondiale.
Aujourd'hui si on peut parler des effets positifs des transferts d'argent des immigrés sur l'économie africaine, on peut aussi bien parler des effets positifs de l'argent détourné en Afrique, investi en Occident et qui sert à maintenir cette économie occidentale en récession et dépassée par celle des asiatiques...
La preuve, le Luxembourg refuse de donner des informations sur la société offshore de Aïda Ndiongue et ce sera pareil pour la plupart des banques complices occidentales en panne de croissance.
En temps de crise, l'illégal devient légal, le temps que la normalité revienne. La seule consigne, c'est de ne pas être trop regardant.
Cela me rappelle dans un autre contexte ces pères de familles qui n'arrivant plus à fournir le dîner à leurs filles, se mettent au lit dès 21 heures pour ne pas voir ce qui se passe dans leurs maisons pour éviter de se justifier devant Allah le créateur.
C'est une aussi une autre forme de complicité qui n'est pas très différente de celle de ce sous directeur de la Banque Mondiale.

Qu'est ce qu'il raconte cette tumeur. Rien que des conneries d'un complice de l'entreprise d'arriération continue des pays Africains. Et dire ces c... qui gouvernent continuent à croire un traître mot de ce que peuvent débiter ces corniauds payés à .

a la banque mondiale, il n'ya que des businessmen. Le fric prime sur tout. Tout le reste est facultatif ....C'est une mentalité dans ces instituttions. Regaerdez en RD Congo, la banque fait du business dans le bois ( entre autres) dans une zone ou toutes sortes de rebelles tuent et violent depuis des années. cela ne gene pas son business car ils soutiennent en douce les rebelles (et même les finances). C'est pareil au liberia.... La banque mondiale n'a jamais rien developpé. Elle vient dans nos pauvres pays, créent des sociétés, corrompt nos dirigeants ( le FMI fait la même chose) , exploite les ressources, gagne des centaines de milliards, et nous prete de temps en temps quelques millions de dollars, souvent tirés de nos propres ressourses sur lesquelles elle a fait main-basse! Si vous cherchez l'etique allez ailleurs, ce n'est pas la Banque mondiale ou le fmi qui sont les exemples !!!

CE GUS S'ADRESSE AUX SENEGALAIS COMME A DES IGNARES.ET LES JOURNALISTES PUBLIENT CETTE INFIME PARTIE DE SON DISCOURS.

Le monsieur de la BM ne peut pas tenir un discours autre. Si, jusqu’au bout, on mène la traque des biens mal acquis et supposés tels (laquelle, d’ailleurs, est sélective et orientée, donc foncièrement injuste), ce seront des structures, institutions et personnalités soi-disant internationales (en réalité occidentales, principalement), ainsi que leurs relais et valets locaux, qui seront démasqués et paralysés dans leur vocation et besogne séculaires d’exploitation éhontées des populations et ressources africaines. Demandez-vous où finit, tôt ou tard, l’argent „volé“ par nos dirigeants si ce n’est dans les banques de leurs corrupteurs ou dans leurs circuits de consommation !
Les idéologies politiques ne sont pas mortes ; elles ont mué / muté, dans tous les secteurs de la vie, en la Culture de la productivité matérialiste et de la « richesse » immédiate au profit d’une poignée de gens, en l’occurrence celle d’un capitalisme darwiniste, débridé et amoral. Dans cet univers, l’unique religion qui vaille est celle de la sainte Finance et de la société de consommation, elles-mêmes maillées par le Marché, la Bourse, la spéculation, les réseaux et lobbies, les actionnariats et dividendes, la publicité, etc.. Ce sont ces forces et puissances occultes qui, en fait, tiennent lieu de démocratie occidentale, celle-là même qu’on veut nous vendre ici en douce (médias, « ONG », …) ou imposer, s’il le faut, par la guerre, civile de préférence. Et, actuellement, il s’agit de finir, avec des œillères globalisatrices, finir de transformer Tout en marchandises. Ce qu’on appelle pompeusement « institutions internationales » (l’ONU, le FMI, la Banque mondiale, l’OMC etc.), ce ne sont que leurs bras armées, multilatéralisées, les instruments de la perpétuation de la colonisation et du mépris culturel de l’Occident vis-à-vis du reste du monde, de l’Afrique en particulier.
En fait, leurs tenants sont dans leurs bons droits. Et nous, nous resterons périphéries et objets tant que nous ne saurons pas vraiment ce que nous voulons en termes d’individus et de société. Au lieu de cela, nous nous complaisons, béatement, dans des références ultra contradictoires, une hybridation extravertie et un croisement inabouti, lesquels font de chacun d’entre nous, à la fois, un Africain-arabe-américain-européen-asiatique. Pour ne donner qu’un seul exemple : Quel Etat « démocratique » peut-on construire dans un pays ou, pour la quasi-totalité des individus, le premier nommé et ses démembrements comptent moins que le marabout ou le charlatan du coin, ou bien même l’ethnie ?
La solution à nos problèmes, vrais ou supposés, ne viendra jamais de l'extérieur qui en est la source, pour une partie essentielle. Et, dans tous les cas, comme je le disais ici, ce ne sera jamais salvateur, « pour les Africains, de reproduire les modèles (politiques, économiques et, surtout, socio-culturels) dominateurs que nous distillent les uns et les autres, Orient et Occident, lesquels modèles, depuis un demi-millénaire, et sous des habillages et appellations de circonstances (Explorations, ‘missions’, Traite négrière, colonisation, « ‘Indépendance’, ‘aide au développement’, mondialisation, ‘bonne gouvernance’, ‘société civile’, etc…) ont fait le lit d’une exploitation et domination éternelle de notre continent ». Evidemment, l’escroquerie structurelle et multidimensionnelle ne pouvait / peut se faire sans les divers hommes-liges, chevaux de Troie et autres obligés et vassaux.
C’est pourquoi, il ne faut pas, non plus, croire en un quelconque messie, nos « élites dirigeantes » ayant, toutes, la même socialisation et trainent, toutes, les mauvaises influences et pesanteurs de leurs trajectoires. Si changement émancipateur il doit y avoir pour nos sociétés, il doit, loin de la facilité ambiante, germer en chaque individu, chaque famille, à commencer par les « élus » en tout genre.
Malheureusement, de ce point de vue des ruptures radicales à opérer pour couper le cordon ombilical de l’asservissement, l’avènement et les premiers pas de notre nouveau régime n’augurent rien de bon, puisque, je vais le répéter, « le président sorti des urnes est plutôt un exécutant fidèle qu’un inventif leader de front, concepteur et brasseur d’idées. Il ne peut pas en être autrement si on n’a rien pu faire de soi-même, si on a des comptes à rendre à ses bailleurs de fonds et princes-électeurs du dehors (France, ‘diaspora’) et du dedans. Pris en étau et sous influence, on a à servir des transhumants de la première heure (Benno Bokk Yakaar, et les naufragés de la Présidentielle, traitres et anciennes taupes, etc.) et ceux de la dernière (‘Bokk Guiss-Guiss’, PDS, etc.), les amis et secouristes de la traversée du désert (mais qui n’ont aucun autre justificatif technique ou professionnel), l’armée des situationnistes et ‘griots’ (traditionnels et, surtout, modernes, avec, par exemple, les exposés ou masqués de la galaxie des ‘intellectuels’, journalistes, chroniqueurs, et « contributeurs-défenseurs) et la boulimie de la polygamique belle-famille ».
Si on se libère de ses chaînes et complexes de colonisé à dimensions et niveaux multiples, on se rend aisément compte que, hors d’un échange égalitaire et de respect réciproque, l’Afrique et le Sénégal n’ont rien à envier à personne, à plus forte raison de sociétés décadentes comme celles des Occidentaux qui ne survivent, pour le moment, que grâce à nous et à nos populations immigrées là-bas.