L'homme abattu était "armé d'un couteau et d'un dispositif pouvant être un gilet explosif" et aurait crié "Allah Akbar" (Dieu est grand), a déclaré le porte-parole du ministère de l'Intérieur. Selon les dernières informations, le dispositif d'explosifs était factice.
"Un homme a tenté jeudi matin d'agresser un policier à l'accueil du commissariat avant d'être atteint par des tirs de riposte des policiers", a expliqué Pierre-Henry Brandet. "Les démineurs sont sur place et travaillent à la sécurisation des lieux", a-t-il ajouté.
Le ministre de l'Intérieur s'est rendu sur place. Cette affaire intervient un an jour pour jour après l'attentat contre Charlie Hebdo.
Quartier bouclé
Un témoin a fait état de "deux à trois tirs" dans la rue de la Goutte d'Or, qui a été bouclée par les forces de l'ordre. Les policiers ont ordonné aux passants de se réfugier dans les magasins de la rue, les rideaux de fer ont été baissés. Des enfants ont été confinés dans une école maternelle située à proximité, dont l'accès a été fermé. La circulation était interrompue sur le boulevard Barbès emprunté par plusieurs ambulances et véhicules de police qui se rendaient sur les lieux.
Précédent
Le 20 décembre 2014, Bertrand Nzohabonayo, âgé de 20 ans, était entré dans le commissariat de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire) et avait blessé à l'arme blanche trois policiers en criant "Allah Akbar". Ce converti à l'islam avait été tué par les policiers qu'il avait agressés.
"Un homme a tenté jeudi matin d'agresser un policier à l'accueil du commissariat avant d'être atteint par des tirs de riposte des policiers", a expliqué Pierre-Henry Brandet. "Les démineurs sont sur place et travaillent à la sécurisation des lieux", a-t-il ajouté.
Le ministre de l'Intérieur s'est rendu sur place. Cette affaire intervient un an jour pour jour après l'attentat contre Charlie Hebdo.
Quartier bouclé
Un témoin a fait état de "deux à trois tirs" dans la rue de la Goutte d'Or, qui a été bouclée par les forces de l'ordre. Les policiers ont ordonné aux passants de se réfugier dans les magasins de la rue, les rideaux de fer ont été baissés. Des enfants ont été confinés dans une école maternelle située à proximité, dont l'accès a été fermé. La circulation était interrompue sur le boulevard Barbès emprunté par plusieurs ambulances et véhicules de police qui se rendaient sur les lieux.
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Le 20 décembre 2014, Bertrand Nzohabonayo, âgé de 20 ans, était entré dans le commissariat de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire) et avait blessé à l'arme blanche trois policiers en criant "Allah Akbar". Ce converti à l'islam avait été tué par les policiers qu'il avait agressés.
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