Il a créé 5 applis qui permettent de personnaliser les images, les écrans, les transitions et les couleurs des téléphones portables.
Il a également créé des applications comme le «Wordbook» qui est un dictionnaire, le « tutu translate » qui est un traducteur et pour terminer le «World sports» qui est destinée aux fans de football.
Son application phare, le «Wordbook», a été téléchargée par plus de 300 000 personnes en grande majorité en Asie. Il touche 1,25 $ US à chaque fois que l’application est téléchargée. Multipliez ce chiffre 300.000 fois – et l’étudiant est plus riche de $375000 – environ 180 Millions de FCFA .
À 22 ans, Abdu SEKALALA possède déjà deux entreprises spécialisées dans le développement mobile. Après l’obtention de son diplôme, il affirme qu’il n’a pas l’intention de chercher un emploi mais il continuera de développer des applications qui lui font déjà gagner au moins 100 dollars par jour.
Le marché des applications est en plein essor en Afrique et pour Abdu SEKALALA, l’Afrique est le lieu où toutes les potentialités peuvent se développer.
Fin 2011, l’Afrique comptait 649 millions de connexions mobiles, elle est aujourd’hui le deuxième plus gros marché de la téléphonie mobile.
Il a également créé des applications comme le «Wordbook» qui est un dictionnaire, le « tutu translate » qui est un traducteur et pour terminer le «World sports» qui est destinée aux fans de football.
Son application phare, le «Wordbook», a été téléchargée par plus de 300 000 personnes en grande majorité en Asie. Il touche 1,25 $ US à chaque fois que l’application est téléchargée. Multipliez ce chiffre 300.000 fois – et l’étudiant est plus riche de $375000 – environ 180 Millions de FCFA .
À 22 ans, Abdu SEKALALA possède déjà deux entreprises spécialisées dans le développement mobile. Après l’obtention de son diplôme, il affirme qu’il n’a pas l’intention de chercher un emploi mais il continuera de développer des applications qui lui font déjà gagner au moins 100 dollars par jour.
Le marché des applications est en plein essor en Afrique et pour Abdu SEKALALA, l’Afrique est le lieu où toutes les potentialités peuvent se développer.
Fin 2011, l’Afrique comptait 649 millions de connexions mobiles, elle est aujourd’hui le deuxième plus gros marché de la téléphonie mobile.