Salamon Dah et S.MS se sont connu en boite. Un premier contact leur fait découvrir des points communs. Tous deux sont fêtard amoureux des virées en boites. C’est dans l’optique de financer ses besoins que S.M.S vole pour une première fois le bracelet en or de sa mère. Le fruit du larcin sera remis à Salamon Dah qui le vendra à Abdou Gueye.
Un deuxième vol permettra à l’équipe de récolter 575 000 francs. La jeune fille a, cette fois-ci, pris une chaine, un pendentif et une plaque à sa mère. Le receleur leur paya dix-sept mille cinq cent francs le gramme. Loin de se satisfaire, S.M.S retournera dans la chambre d’Adja pour y prendre une parure du métal précieux.
Cependant, cette prise ne sera pas écoulée chez Abdou Gueye qui ne s’est pas accordé avec S.M.S sur le prix.
Le tribunal a soulevé des critiques contre le bijoutier qui disait n’avoir aucune suspicion quant à l’origine douteuse des bijoux. Avec un capital de 20 ans d’expérience, le juge déclare que les faits ne devaient pas lui échapper.
Elle précise que le bijoutier a été épinglé une première fois pour le même délit. Fort de ces éléments, l’avocat de la partie civile réclame sept million pour la réparation des préjudices moral et matériel subis par sa cliente. Le procureur de son côté, a requis trois mois de prison ferme contre le receleur.
Un deuxième vol permettra à l’équipe de récolter 575 000 francs. La jeune fille a, cette fois-ci, pris une chaine, un pendentif et une plaque à sa mère. Le receleur leur paya dix-sept mille cinq cent francs le gramme. Loin de se satisfaire, S.M.S retournera dans la chambre d’Adja pour y prendre une parure du métal précieux.
Cependant, cette prise ne sera pas écoulée chez Abdou Gueye qui ne s’est pas accordé avec S.M.S sur le prix.
Le tribunal a soulevé des critiques contre le bijoutier qui disait n’avoir aucune suspicion quant à l’origine douteuse des bijoux. Avec un capital de 20 ans d’expérience, le juge déclare que les faits ne devaient pas lui échapper.
Elle précise que le bijoutier a été épinglé une première fois pour le même délit. Fort de ces éléments, l’avocat de la partie civile réclame sept million pour la réparation des préjudices moral et matériel subis par sa cliente. Le procureur de son côté, a requis trois mois de prison ferme contre le receleur.