‘’Aujourd’hui, la bataille des femmes à la prochaine Assemblée nationale, c’est de faire en sorte que le mineur puisse avoir le droit de porter plainte et que le droit de prescription ne court qu’à partir de la majorité’’, a dit M. Guèye.
Il intervenait au cours d’un panel sur ‘’Le traitement des questions de violence faites aux femmes et aux filles dans les médias’’, organisé par le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS), à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la liberté de presse.
‘’Cela doit être votre cheval de bataille, d’autant plus que certains parents ne protègent pas leurs enfants et acceptent de régler le crime et de garder le silence en échange de somme d’argent’’, a-t-il lancé aux participants.
Selon lui, les enfants qui ont subi ces violences doivent avoir la possibilité d’obtenir justice à leur majorité sans voir leur droit bafoué par des délais de prescriptions qui, à l’état actuel, sont de trois ans.
‘’Il faut nécessairement encadrer le mineur victime d’acte de violence’’, a-t-il demandé, insistant sur la nécessité de tenir de façon systématique à huis clos les jugements pour cette catégorie de justiciables.
SOURCE:P.-S.
BS/ASG
Il intervenait au cours d’un panel sur ‘’Le traitement des questions de violence faites aux femmes et aux filles dans les médias’’, organisé par le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS), à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la liberté de presse.
‘’Cela doit être votre cheval de bataille, d’autant plus que certains parents ne protègent pas leurs enfants et acceptent de régler le crime et de garder le silence en échange de somme d’argent’’, a-t-il lancé aux participants.
Selon lui, les enfants qui ont subi ces violences doivent avoir la possibilité d’obtenir justice à leur majorité sans voir leur droit bafoué par des délais de prescriptions qui, à l’état actuel, sont de trois ans.
‘’Il faut nécessairement encadrer le mineur victime d’acte de violence’’, a-t-il demandé, insistant sur la nécessité de tenir de façon systématique à huis clos les jugements pour cette catégorie de justiciables.
SOURCE:P.-S.
BS/ASG