La manifestation a débuté calmement en fin de matinée dans le quartier des affaires londonien, avant le déclenchement de quelques échauffourées avec la police, en début d’après-midi.
"Il y a un mouvement de la foule pour monter sur les marches du Stock-Exchange", décrit Bénédicte Paviot, correspondante de FRANCE 24 à Londres, qui se trouvait sur les marches de la bourse britannique, à 13 h.
Quelque 300 à 400 manifestants se sont par ailleurs attaqués à des locaux de la banque RBS, qui a bénéficié d’un renflouement de l’État, en brisant des vitres et en criant "Ces rues sont à nous !", "Ces banques sont à nous !".
Scotland Yard a confirmé, dans un communiqué, qu'un "certain nombre d'objets ont été lancés sur des policiers".
Dix mille policiers mobilisés
À 15 h, 19 personnes avaient été arrêtées, selon la police. Un chiffre qui s'ajoute aux quatre arrestations effectuées la veille.
Aucune menace terroriste spécifique n’est parvenue aux autorités britanniques qui, cependant, se souviennent que c'est lors du sommet du G8, en 2005, en Écosse, qu'une vague d'attentats-suicides dans les transports en commun londoniens avait fait 52 morts.
Les forces de sécurité ont déployé un dispositif de sécurité sans précédent pour éviter tout débordement lors des manifestations en marge du sommet du G20.
Dix mille policiers sont mobilisés à Londres pour les deux jours du sommet.
"C'est une des opérations les plus importantes et les plus compliquées que nous ayons jamais eu à organiser", a déclaré à Reuters un officier de la police londonienne, Simpon O'Brien.
Divers mouvements altermondialistes ont prévu une mobilisation sans précédent contre l’attitude des banques et de leurs responsables, à l'occasion du sommet du G20.
La Banque d’Angleterre et la Bourse de Londres sont particulièrement sécurisées, à l'occasion de ces manifestations qui visent, en premier lieu, les banquiers.
"Il y a un mouvement de la foule pour monter sur les marches du Stock-Exchange", décrit Bénédicte Paviot, correspondante de FRANCE 24 à Londres, qui se trouvait sur les marches de la bourse britannique, à 13 h.
Quelque 300 à 400 manifestants se sont par ailleurs attaqués à des locaux de la banque RBS, qui a bénéficié d’un renflouement de l’État, en brisant des vitres et en criant "Ces rues sont à nous !", "Ces banques sont à nous !".
Scotland Yard a confirmé, dans un communiqué, qu'un "certain nombre d'objets ont été lancés sur des policiers".
Dix mille policiers mobilisés
À 15 h, 19 personnes avaient été arrêtées, selon la police. Un chiffre qui s'ajoute aux quatre arrestations effectuées la veille.
Aucune menace terroriste spécifique n’est parvenue aux autorités britanniques qui, cependant, se souviennent que c'est lors du sommet du G8, en 2005, en Écosse, qu'une vague d'attentats-suicides dans les transports en commun londoniens avait fait 52 morts.
Les forces de sécurité ont déployé un dispositif de sécurité sans précédent pour éviter tout débordement lors des manifestations en marge du sommet du G20.
Dix mille policiers sont mobilisés à Londres pour les deux jours du sommet.
"C'est une des opérations les plus importantes et les plus compliquées que nous ayons jamais eu à organiser", a déclaré à Reuters un officier de la police londonienne, Simpon O'Brien.
Divers mouvements altermondialistes ont prévu une mobilisation sans précédent contre l’attitude des banques et de leurs responsables, à l'occasion du sommet du G20.
La Banque d’Angleterre et la Bourse de Londres sont particulièrement sécurisées, à l'occasion de ces manifestations qui visent, en premier lieu, les banquiers.