La date du délibéré du procès fixé le 17 janvier prochain, P. M. Timera risque un an de prison. Le marchand ambulant, poursuivi pour accès frauduleux dans un système informatique, est accusé d'avoir pompé les comptes Orange money des distributeurs. L'avocat de Orange finance mobile, constituée partie civile, réclame plus de 22 millions FCfa.
Selon le mode opératoire révélé par "Les Échos", repris par "Seneweb", le prévenu, domicilié à Petit Mbao, «i[se rendait aux endroits où les pièces d'identité perdues sont déposées : Il [en] récupère [quelques-unes] avant d'ouvrir de nombreux comptes Orange Money au nom des propriétaires.]i»
Déroulant son plan, Timera se rend dans des points de transfert d'argent. Sur place, «i[il demande aux gérants de lui faire un envoi d'une somme dérisoire. Ainsi, il profite du moment où le gérant procède à [la transaction], pour l'épier, [afin de] mémoriser son code secret. Après ceci, il utilise ledit code pour transférer [une somme conséquente] dans son propre compte lorsqu'on lui remet le portable, pour mettre son numéro de téléphone]i», souligne le journal. La même source se fait l'écho des plaintes, suite à «ses nombreuses pratiques illicites».
Localisé grâce à la Sonatel puis arrêté, Timera nie toutefois les faits, expliquant «avoir été alpagué au moment où il achetait un téléphone portable simple». Saisies lors de son arrestation, «de nombreuses cartes Sim ont été mises sous scellés».
Dans son réquisitoire, le Procureur réclame une amende de 5 millions FCfa, conclut "Les Échos".
Selon le mode opératoire révélé par "Les Échos", repris par "Seneweb", le prévenu, domicilié à Petit Mbao, «i[se rendait aux endroits où les pièces d'identité perdues sont déposées : Il [en] récupère [quelques-unes] avant d'ouvrir de nombreux comptes Orange Money au nom des propriétaires.]i»
Déroulant son plan, Timera se rend dans des points de transfert d'argent. Sur place, «i[il demande aux gérants de lui faire un envoi d'une somme dérisoire. Ainsi, il profite du moment où le gérant procède à [la transaction], pour l'épier, [afin de] mémoriser son code secret. Après ceci, il utilise ledit code pour transférer [une somme conséquente] dans son propre compte lorsqu'on lui remet le portable, pour mettre son numéro de téléphone]i», souligne le journal. La même source se fait l'écho des plaintes, suite à «ses nombreuses pratiques illicites».
Localisé grâce à la Sonatel puis arrêté, Timera nie toutefois les faits, expliquant «avoir été alpagué au moment où il achetait un téléphone portable simple». Saisies lors de son arrestation, «de nombreuses cartes Sim ont été mises sous scellés».
Dans son réquisitoire, le Procureur réclame une amende de 5 millions FCfa, conclut "Les Échos".