Assistent à ce procès plus d’une trentaine d’observateurs européens, magistrats, avocats et militants des Droits de l’Homme, représentants notamment le Réseau euro-méditerranéen des Droits de l’Homme (REMDH), l’Association Internationale de Juristes Démocrates (AIJD), la Cour internationale de Justice (CIJ) et l’Association Internationale pour l’Observation des Droits de l’Homme (AIODH), venus d’Espagne, France, Italie, Suède, Grande-Bretagne et Luxembourg.
Ces prévenus sont accusés d’être les instigateurs des crimes, heurts et violences qui eurent lieu à la ville de Laayoune et au camp l’avoisinant de Gdim Izik, en novembre 2010, au cours desquels 11 membres des forces de sécurité avaient trouvé atrocement la mort suite à des agressions programmées par le polisario.
En effet, ces tristes individus ont, dans des agissements d’une rare violence et sauvagerie, égorgé des éléments des forces de maintien de l’ordre et de la protection civile et même uriner sur le cadavre d’un gendarme.
Aussi, ce procès a été très attendu par le peuple marocain, dans toutes ses composantes, pour que justice soit enfin rendue aux défunts de cette tragédie et à leurs familles.
Tout était parti d’un simple démantèlement d’un campement de tentes, où s’étaient rassemblées des familles de la région, en protestation contre une distribution, jugée par elles injuste, de logements sociaux, qui s’était mué en émeutes sanglantes en raison de l’infiltration d’activistes du polisario, cherchant à détourner le camp vers un agenda séparatiste, téléguidé depuis l’Algérie et avec l’appui de la propagande espagnole, britannique et italienne en faveur des séparatistes polisariens.
En effet, ces miliciens pro-polisario avaient introduit différents types d'armes au campement de Gdim Izik dont des armes, des blanches, bouteilles incendiaires «cocktail Molotov» et des bonbonnes à gaz.
Ils ont commencé à recourir à la menace et à la violence physique et psychique à l'encontre des personnes qui se sont installées dans le campement, en particulier les personnes âgées, les femmes et les enfants pour les empêcher de quitter les lieux et de démonter leurs tentes.
Aussi, pour mettre un terme aux agissements de ces individus, les forces de sécurité ont été instruites pour procéder à l’évacuation de ce camp et ce, avec la ferme consigne de ne pas faire usage de la force et de leurs armes.
Une évacuation qui a tourné au massacre horrible des forces de sécurité par ces miliciens polisariens.
Non satisfaits de leur forfait, ces mêmes miliciens polisariens se sont rendus à Laayoune pour s’y livrer à des casses, destructions, incendies des biens publics et privés ainsi qu’à des exactions et mutilations avec des armes blanches et tortures en pleine rue.
Le résultat de ces manifestations est dramatique : 11 morts et plus de 70 blessés parmi les forces de sécurité et aucun parmi les activistes pro-polisario.
Il apparait donc clairement, que les pouvoirs publics s’étaient attachés au respect de la souveraineté du droit, à la préservation de la dignité et de la liberté des citoyens sans usage de la force et ce, malgré que ces individus, qui recevaient des instructions depuis l’Algérie, semaient la mort, la violence, le désordre et le chaos.
Suite à ces drames d’une barbarie inouie, les diplomates algériens, leurs suppôts en Espagne et aux Nations-Unies, polisario bien entendu, et des associations diverses qui bénéficient des largesses et des fonds des services algériens, ont confectionné la mascarade des droits de l’Homme au Sahara marocain et monté une opération d’intoxication.
Ainsi, l’agence de presse espagnole EFE avait diffusé une photographie d’enfants palestiniens de Gaza, martyrisés par l’armée israélienne en 2008, en la présentant comme sahraouis en 2010, alors que la chaine de télévision espagnole Antena-3 médiatisait celle d’une famille marocaine en proie à un crime parental à Casablanca, la faisant passer pour une image de la répression des autorités marocaines lors des événements de Laâyoune et apportant la preuve au monde d’une soit disant sauvagerie de l’intervention des forces de sécurités marocaines
Quant à la machination médiatique algéro-polisarienne d’un génocide marocain dans ses provinces sahariennes, elle a été mise en échec avec le verdict du tribunal de 1ère instance de Bruxelles, en date du 11 juillet 2012, en faveur de la famille Rachdi, plaignante dans cette affaire.
Les faits remontent à janvier 2010, jour où plusieurs membres d’une même famille ont été tués dans leur domicile par un déséquilibré mental à Casablanca.
Suite à ce crime, un quotidien marocain arabophone avait publié un article ainsi qu’une photographie du drame.
Aussi, face à cette multitude de preuves accablantes et irréfutables pour la chaine espagnole Antena 3, le tribunal de 1ère instance de Bruxelles avait condamné, le 11 juillet 2012, la chaine de télévision Antena 3 à verser à la famille Rachdi 215 000 euros de dommages et intérêts.
Sagissant de la photographie diffusée par l’agence EFE, on retiendra qu’un collectif d’avocats français avait dénoncé, en temps et lieu, cette indigne machination médiatique en présence des familles palestiniennes.
Une dénonciation qui amena Maitre de Guillenchmidt a déclaré, le 17 janvier 2011, que les familles palestiniennes avaient porté plainte devant la justice espagnole en raison de l’immense préjudice moral que leur cause cette détestable manipulation médiatique.
Enfin, de nombreuses personnes étrangères ayant assisté à ces manifestations ont attesté devant les médias internationaux que les manifestations n’étaient nullement pacifiques comme l’ont soutenues le polisario et sa marraine algérienne.
Les photographies, jointes au présent papier, attestent de l’horreur des crimes perpétrés par ces individus, de la dépradation des biens publics et privés qu’ils ont commis ainsi que de la violence de leurs actes envers de paisibles citoyens.
Ainsi, l’instrumentalisation de cette tragédie par le polisario et les services algériens sur le plan médiatique avait été démystifiée par les autorités marocaines après que des photos et enregistrements montrants des séparatistes, enturbannées, machettes aux mains, faisant exploser des bonbonnes de gaz et des cocktails Molotov et les 24 prévenus égorger des agents de sécurité et un ambulancier de la protection civile.
Aussi, la thèse algéro-polisarienne, selon laquelle, ces manifestations étaient pacifiques ne tient pas la route et a volé en éclat en raison de leur mensonge éhonté.
En conclusion, le procès qui se tient, ce jour 1er février 2013, au Tribunal Militaire n’est que justice qui sera rendue aux défunts et à leurs familles.
Les prévenus se sont livrés à une égorgerie immonde, équivalente à celle qu’avait endurée le peuple algérien durant ses années noires dont les mains assassines étaient des agents des services algériens.
Comment peut-on accepter qu’un individu puisse égorger un gendarme et uriner sur son cadavre, au moment où la presse et les télévisions espagnols publiaient les photos de palestiniens en sang les disant sahraouis victimes de la police marocaine et faisaient état de fosse commune où auraient été enfouis des cadavres.
La justice se doit de prononcer la peine maximale, à savoir la peine capitale pour l’ensemble des prévenus.
Avec ce verdict, justice sera rendue aux victimes et à leurs familles après plus de deux années d’attente et la vérité rétablie.
Farid Mnebhi.
Ces prévenus sont accusés d’être les instigateurs des crimes, heurts et violences qui eurent lieu à la ville de Laayoune et au camp l’avoisinant de Gdim Izik, en novembre 2010, au cours desquels 11 membres des forces de sécurité avaient trouvé atrocement la mort suite à des agressions programmées par le polisario.
En effet, ces tristes individus ont, dans des agissements d’une rare violence et sauvagerie, égorgé des éléments des forces de maintien de l’ordre et de la protection civile et même uriner sur le cadavre d’un gendarme.
Aussi, ce procès a été très attendu par le peuple marocain, dans toutes ses composantes, pour que justice soit enfin rendue aux défunts de cette tragédie et à leurs familles.
Tout était parti d’un simple démantèlement d’un campement de tentes, où s’étaient rassemblées des familles de la région, en protestation contre une distribution, jugée par elles injuste, de logements sociaux, qui s’était mué en émeutes sanglantes en raison de l’infiltration d’activistes du polisario, cherchant à détourner le camp vers un agenda séparatiste, téléguidé depuis l’Algérie et avec l’appui de la propagande espagnole, britannique et italienne en faveur des séparatistes polisariens.
En effet, ces miliciens pro-polisario avaient introduit différents types d'armes au campement de Gdim Izik dont des armes, des blanches, bouteilles incendiaires «cocktail Molotov» et des bonbonnes à gaz.
Ils ont commencé à recourir à la menace et à la violence physique et psychique à l'encontre des personnes qui se sont installées dans le campement, en particulier les personnes âgées, les femmes et les enfants pour les empêcher de quitter les lieux et de démonter leurs tentes.
Aussi, pour mettre un terme aux agissements de ces individus, les forces de sécurité ont été instruites pour procéder à l’évacuation de ce camp et ce, avec la ferme consigne de ne pas faire usage de la force et de leurs armes.
Une évacuation qui a tourné au massacre horrible des forces de sécurité par ces miliciens polisariens.
Non satisfaits de leur forfait, ces mêmes miliciens polisariens se sont rendus à Laayoune pour s’y livrer à des casses, destructions, incendies des biens publics et privés ainsi qu’à des exactions et mutilations avec des armes blanches et tortures en pleine rue.
Le résultat de ces manifestations est dramatique : 11 morts et plus de 70 blessés parmi les forces de sécurité et aucun parmi les activistes pro-polisario.
Il apparait donc clairement, que les pouvoirs publics s’étaient attachés au respect de la souveraineté du droit, à la préservation de la dignité et de la liberté des citoyens sans usage de la force et ce, malgré que ces individus, qui recevaient des instructions depuis l’Algérie, semaient la mort, la violence, le désordre et le chaos.
Suite à ces drames d’une barbarie inouie, les diplomates algériens, leurs suppôts en Espagne et aux Nations-Unies, polisario bien entendu, et des associations diverses qui bénéficient des largesses et des fonds des services algériens, ont confectionné la mascarade des droits de l’Homme au Sahara marocain et monté une opération d’intoxication.
Ainsi, l’agence de presse espagnole EFE avait diffusé une photographie d’enfants palestiniens de Gaza, martyrisés par l’armée israélienne en 2008, en la présentant comme sahraouis en 2010, alors que la chaine de télévision espagnole Antena-3 médiatisait celle d’une famille marocaine en proie à un crime parental à Casablanca, la faisant passer pour une image de la répression des autorités marocaines lors des événements de Laâyoune et apportant la preuve au monde d’une soit disant sauvagerie de l’intervention des forces de sécurités marocaines
Quant à la machination médiatique algéro-polisarienne d’un génocide marocain dans ses provinces sahariennes, elle a été mise en échec avec le verdict du tribunal de 1ère instance de Bruxelles, en date du 11 juillet 2012, en faveur de la famille Rachdi, plaignante dans cette affaire.
Les faits remontent à janvier 2010, jour où plusieurs membres d’une même famille ont été tués dans leur domicile par un déséquilibré mental à Casablanca.
Suite à ce crime, un quotidien marocain arabophone avait publié un article ainsi qu’une photographie du drame.
Aussi, face à cette multitude de preuves accablantes et irréfutables pour la chaine espagnole Antena 3, le tribunal de 1ère instance de Bruxelles avait condamné, le 11 juillet 2012, la chaine de télévision Antena 3 à verser à la famille Rachdi 215 000 euros de dommages et intérêts.
Sagissant de la photographie diffusée par l’agence EFE, on retiendra qu’un collectif d’avocats français avait dénoncé, en temps et lieu, cette indigne machination médiatique en présence des familles palestiniennes.
Une dénonciation qui amena Maitre de Guillenchmidt a déclaré, le 17 janvier 2011, que les familles palestiniennes avaient porté plainte devant la justice espagnole en raison de l’immense préjudice moral que leur cause cette détestable manipulation médiatique.
Enfin, de nombreuses personnes étrangères ayant assisté à ces manifestations ont attesté devant les médias internationaux que les manifestations n’étaient nullement pacifiques comme l’ont soutenues le polisario et sa marraine algérienne.
Les photographies, jointes au présent papier, attestent de l’horreur des crimes perpétrés par ces individus, de la dépradation des biens publics et privés qu’ils ont commis ainsi que de la violence de leurs actes envers de paisibles citoyens.
Ainsi, l’instrumentalisation de cette tragédie par le polisario et les services algériens sur le plan médiatique avait été démystifiée par les autorités marocaines après que des photos et enregistrements montrants des séparatistes, enturbannées, machettes aux mains, faisant exploser des bonbonnes de gaz et des cocktails Molotov et les 24 prévenus égorger des agents de sécurité et un ambulancier de la protection civile.
Aussi, la thèse algéro-polisarienne, selon laquelle, ces manifestations étaient pacifiques ne tient pas la route et a volé en éclat en raison de leur mensonge éhonté.
En conclusion, le procès qui se tient, ce jour 1er février 2013, au Tribunal Militaire n’est que justice qui sera rendue aux défunts et à leurs familles.
Les prévenus se sont livrés à une égorgerie immonde, équivalente à celle qu’avait endurée le peuple algérien durant ses années noires dont les mains assassines étaient des agents des services algériens.
Comment peut-on accepter qu’un individu puisse égorger un gendarme et uriner sur son cadavre, au moment où la presse et les télévisions espagnols publiaient les photos de palestiniens en sang les disant sahraouis victimes de la police marocaine et faisaient état de fosse commune où auraient été enfouis des cadavres.
La justice se doit de prononcer la peine maximale, à savoir la peine capitale pour l’ensemble des prévenus.
Avec ce verdict, justice sera rendue aux victimes et à leurs familles après plus de deux années d’attente et la vérité rétablie.
Farid Mnebhi.