« Il faut éviter en l’arrêtant d’en faire un martyr ou quelqu’un qui puisse inspirer. Déjà, on a des problèmes ; on a vu aujourd’hui dans le web des gens qui essayent de copier en pensant que, agissant comme Assane Diouf, on aura l’audience et où on aura l’argent qu’il faut », a-t-il soutenu.
Selon lui, le fait qu’il soit rapatrié est déjà une « sanction suprême ». « C’est la honte après 16 ans aux Etats-Unis d’arriver au Sénégal, les mains branlantes ; et deuxièmement, tu arrives ici et tu dois faire face des délits que tu as commis en pensant être à l’abri ».
Pour M. Ndiaye, qui était l'invité de Rfm ce mercredi, il faut aller avec pédagogie. Et de faire dans le rappel, en évoquant le cas d’Ino, du surnom de chef de gang qui avait défrayé la chronique judiciaire au Sénégal, il y a de cela quelques années. « Vous vous rappelez de Ino qui a volé, qui a tué ; il était devenu presqu’un héros parce que les gens pensent qu’on en fait trop. C’est une conception qu’ont les Sénégalais ; même les gens qui volent de l’argent public, même s’ils sont punis, finalement, on demande le "yeurmandé"… », a-t-il noté.
Et dans ce sens, il pense qu’il faut faire « une évaluation sentimentale » de cet individu pour s’assurer s’il est responsable. Et s’il l’est, c’est en ce moment-là, qu’il faudra permettre aux individus qu’il a attaqués délibérément, de pouvoir aller devant le Tribunal.
La rédaction de Léral.net
Selon lui, le fait qu’il soit rapatrié est déjà une « sanction suprême ». « C’est la honte après 16 ans aux Etats-Unis d’arriver au Sénégal, les mains branlantes ; et deuxièmement, tu arrives ici et tu dois faire face des délits que tu as commis en pensant être à l’abri ».
Pour M. Ndiaye, qui était l'invité de Rfm ce mercredi, il faut aller avec pédagogie. Et de faire dans le rappel, en évoquant le cas d’Ino, du surnom de chef de gang qui avait défrayé la chronique judiciaire au Sénégal, il y a de cela quelques années. « Vous vous rappelez de Ino qui a volé, qui a tué ; il était devenu presqu’un héros parce que les gens pensent qu’on en fait trop. C’est une conception qu’ont les Sénégalais ; même les gens qui volent de l’argent public, même s’ils sont punis, finalement, on demande le "yeurmandé"… », a-t-il noté.
Et dans ce sens, il pense qu’il faut faire « une évaluation sentimentale » de cet individu pour s’assurer s’il est responsable. Et s’il l’est, c’est en ce moment-là, qu’il faudra permettre aux individus qu’il a attaqués délibérément, de pouvoir aller devant le Tribunal.
La rédaction de Léral.net