Chercheur à l’université de Harvard, Ken Hayworth fait peu état de la sagesse acquise au cours des dernières années de la vie d’un homme. Pour lui, la plus sage décision est de se suicider.
À 41 ans, il pense se donner la mort en espérant pouvoir être ressuscité dans quelques années par un robot, explique-t-il ainsi au site Chronicle : « la race humaine est sur une ligne droite vers le téléchargement de l’esprit. Nous allons conserver un cerveau le découper, le créer sur ordinateur par simulation et le connecter au corps d’un robot ». Cela fait près de 10 ans que ce scientifique cherche la clé pour ressusciter les personnes.
Un procédé qui permet de conserver le cerveau
Après avoir donné une fête en son honneur en présence de ses proches et de sa famille, il compte utiliser son propre cerveau pour mener à bien l’expérience. Ken compte ainsi aller à l’hôpital pour subir une anesthésie.
Les médecins lui injecteront alors un cocktail mortel préservant les nerfs rachidiens de son cerveau, qui sera ensuite ressuscité grâce à un robot.
« Ce n’est pas quelque chose que tout le monde voudrait faire. Mais c’est quelque chose que chacun devrait avoir le droit de faire », déclare-t-il. Le procédé chimique qu’Hayworth a mis au point permet de conserver le cerveau, comme le montrent les résultats positifs effectués sur des souris. La communauté scientifique reste cependant sceptique concernant son projet.
À 41 ans, il pense se donner la mort en espérant pouvoir être ressuscité dans quelques années par un robot, explique-t-il ainsi au site Chronicle : « la race humaine est sur une ligne droite vers le téléchargement de l’esprit. Nous allons conserver un cerveau le découper, le créer sur ordinateur par simulation et le connecter au corps d’un robot ». Cela fait près de 10 ans que ce scientifique cherche la clé pour ressusciter les personnes.
Un procédé qui permet de conserver le cerveau
Après avoir donné une fête en son honneur en présence de ses proches et de sa famille, il compte utiliser son propre cerveau pour mener à bien l’expérience. Ken compte ainsi aller à l’hôpital pour subir une anesthésie.
Les médecins lui injecteront alors un cocktail mortel préservant les nerfs rachidiens de son cerveau, qui sera ensuite ressuscité grâce à un robot.
« Ce n’est pas quelque chose que tout le monde voudrait faire. Mais c’est quelque chose que chacun devrait avoir le droit de faire », déclare-t-il. Le procédé chimique qu’Hayworth a mis au point permet de conserver le cerveau, comme le montrent les résultats positifs effectués sur des souris. La communauté scientifique reste cependant sceptique concernant son projet.