Sport, tourisme
Le sport constitue un secteur en constante mutation relative à l’évolution des sociétés et des défis sur lesquels nos gouvernements doivent réfléchir. Au Sénégal, comme partout dans le monde, l’organisation sportive a évolué au fil du temps ; d’où la nécessité d’asseoir une gestion méticuleuse et experte, basée sur une politique sportive bien articulée autour de différents segments, avec un plan de financement clairement défini. Malgré toutes ces évolutions, de nouvelles réformes s’imposent, en vue d’une meilleure organisation et une meilleure gestion du sport sous toutes ses formes.
Pour surfer dans la vague de succès du sport sénégalais ces dernières années, et du football en particulier, nous nous engageons à maintenir le cap d’un sport compétitif, instrument de socialisation et vitrine diplomatique et touristique.
1 - La réforme et la gouvernance du sport
Nous mettrons en place le code du sport pour doter le secteur sportif sénégalais, d’un cadre législatif prenant en compte les préoccupations liées à la pratique. Ceci passera par :
La refonte de la Charte du sport de 1984 ;
L’abrogation, la modification et la création de textes règlementant les aspects liés à la formation, aux infrastructures sportives, au sport de haut niveau; au sport pour tous, à la prise en charge du dopage, du numérique et du financement du secteur;
Nous mettrons en place un cadre juridique adéquat, permettant aux infrastructures sportives de générer des ressources et de les réutiliser pour leur entretien et leur maintenance ;
Nous mettrons en place une agence de développement et de promotion du sport, afin de développer les infrastructures sportives et les clubs sportifs, de former les entraîneurs et les athlètes et de promouvoir le sport auprès de la population ;
Nous mettrons en place un fonds national de développement du sport pour accompagner le sport et compléter les limites inhérentes aux budgets de l’État. Ce fonds sera alimenté par les taxes de droits de télévision, de la loterie, du sponsoring, des casinos, etc. ;
Nous revaloriserons l’Éducation Physique et Sportive (EPS) et lui donnerons sa véritable place dans le système éducatif sénégalais, compte tenu de sa contribution à la formation complète des élèves, en sauvegardant leur équilibre. Pour ce faire, nous reverrons les dispositions actuelles :
Nous rendrons effectif et systématique la pratique de l’EPS à l’école, par le respect du volume horaire en vigueur à travers une circulaire ou tout autre acte réglementaire ministériel ;
Nous abrogerons le décret n°2014-632 du 07 mai 2014 fixant les crédits horaires et les coefficients dans l’enseignement moyen général, en faisant revenir celui du n°73-896 fixant les crédits horaires comme suit :
Au niveau du cycle moyen : il faut trois (03) heures hebdomadaires de cours réparties en une séance longue de deux (02) heures et une séance courte d’une (01) heure ;
Au niveau du cycle secondaire : quatre (04) heures hebdomadaires réparties en deux séances de deux (02) heures chacune.
Nous ouvrirons des départements de Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) dans toutes les universités, afin de participer à la résorption du nombre insuffisant d’enseignants d’EPS. Actuellement, seulement 3 structures (INSEPS, CNEPS et STAPS de l’UGB) en forment, alors que le déficit demeure ;
Nous améliorerons les contenus d’enseignements et la supervision des enseignants, par l’intégration de modules en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives, dans la formation des inspecteurs généraux de l’éducation et de la formation (IGEF) à la FASTEF ;
Nous redynamiserons le Sport Scolaire et Universitaire. Pour ce faire, nous ferons suite au décret n° 2021-1594 relatif à la création de la fédération sénégalaise du sport scolaire et du sport universitaire, par la mise en œuvre des arrêtés n° 23250 et n°23351 du 11 août 2022 portant statuts desdites fédérations par :
L’achèvement du processus de mise en place des ligues académiques scolaires et des ligues universitaires conformément à la réglementation ;
L’accentuation de l’organisation des championnats nationaux scolaires ;
La reprise de l’organisation d’un festival national scolaire chaque 2 ans ;
La reprise de l’organisation du championnat national universitaire chaque année (le dernier CNU date de 2013 au stade L. S. Senghor) ;
La mise en place de lycées sportifs au niveau des futurs pôles régionaux de développement, conformément à la charte de la déconcentration (il n’existe qu’un projet pour le lycée Delafosse) ;
Nous développerons les installations sportives de proximité, pour permettre à la population de renouer avec les activités sportives depuis le bas âge et assurer une continuité. Ceci passera par des installations d’espaces multifonctionnels, permettant d’accueillir plusieurs disciplines dans un seul espace :
Au niveau des établissements scolaires (Élémentaire, collège, lycée) par l’exploitation des espaces libres dans les établissements scolaires pour la construction de terrains multisports, englobant par exemple, le basketball, le volley, le handball, le mini foot, etc.
Au niveau des établissements universitaires, par la dotation d’installations sportives, pour assurer la continuité de la pratique du sport déjà entamé lors du cursus scolaire ;
Au niveau des quartiers, par l’installation de parcours et agrès destinés à développer les capacités et de parcs de fitness en extérieur, permettant aux citoyens de faire facilement et librement de l’exercice à ciel ouvert ;
Au niveau des communes, départements et régions par :
La construction de gymnases permettant la pratique de sports divers, notamment le basketball, le handball, le volleyball, le foot salle, les arts martiaux, la lutte gréco romaine, la boxe, la gymnastique etc. Les stades régionaux seront aménagés pour accueillir ces types d’infrastructures (Ex : Stade Lamine Guèye, Elimanel Fall, Stade Amitié, Lat Dior, etc.)
L’aménagement d’espaces sablonneux pour le beach soccer, le beach-volley et la lutte traditionnelle, dont la plupart des entraînements se font dans les établissements scolaires ;
La construction de piscines pour doter chaque capitale régionale au moins, d’une piscine. Des cours de natation seront intégrés dans les programmes scolaires.
Nous promouvrons la création d’un club majeur multisports dans chaque capitale régionale, soutenu fortement par les collectivités territoriales et du Conseil régional afin de :
Favoriser le sentiment d’appartenance des populations, permettant d’accroître la capacité exceptionnelle de mobilisation des supporteurs ;
Faciliter la professionnalisation des clubs, qui pourront concentrer les subventions régionales et mobiliser les populations à chacune de leurs rencontres sportives ;
Faire la promotion de nos régions en améliorant leur connaissance par l’ensemble des Sénégalais.
Nous assurerons la mise à disposition, des espaces sportifs nécessaires, des équipements spécifiques, des moyens humains, d’entraînements, de formations et de ressources appropriés, ainsi que l’octroi de subventions, en vue de contribuer aux financements des activités des clubs sportifs des personnes handicapées et de soutenir les fédérations para sports dans la réalisation de leurs projets ;
Nous ouvrirons des centres de développement technique et travaillerons au développement du para sport au Sénégal, ainsi qu’à la mise en place de conditions de préparation technique, physique, athlétique et mentale, des para athlètes sénégalais, en vue de la participation à des compétitions nationales et internationales.
2 - Le sport de performance, une vitrine touristique
Nous mettrons en place une mutuelle pour les sportifs licenciés, avec une obligation d’adhésion des pratiquants comme exigence aux structures sportives. Ceci sécuriserait d’une part les sportifs, motiverait les parents à autoriser leurs enfants à la pratique du sport, qui ne serait plus un risque de coûts médicaux supplémentaires. Cette mutuelle servira aussi à financer des projets pour les sportifs de haut niveau à la retraite, en plus de gérer la pension des souscripteurs éventuels. Il s’agira d’apporter un financement remboursable aux projets rentables que les sportifs veulent promouvoir dans leur espace (salles de fitness, centres de formation, etc.) ;
Nous créerons 5 pôles espoirs : Nord, Sud, Est, Ouest et Centre, pour un développement durable du sport de performance dans toutes les disciplines sportives. Ce système de pôle permettra d’installer une concurrence saine entre les différents pôles, ce qui serait profitable pour le sport d’élite ;
Nous créerons des lycées d’Excellence du sport-études, pour allier réussite scolaire pour un avenir radieux et réussite sportive. Dans ce cadre, nous identifierons et sélectionnerons un certain nombre de disciplines et leur octroierons un créneau horaire par niveau dès le primaire ;
Nous favoriserons la reconversion des sportifs de haut niveau. Il sera question de :
Proposer des formations dans le sport : métier d’entraineur, d’arbitre, maître-nageur, animateur, professeur de judo, de karaté, de taekwondo, jockey, etc. ;
Proposer des bourses et modules de formation dans d’autres métiers, en fonction de leurs potentialités ;
Mettre en place un bureau de recherche de postes de manager dans un club sportif, de gymnastique, de magasins d’articles de sport, gestionnaire d’une équipe sportive, etc. ;
Signer une convention pour le recrutement dans les sociétés nationales et les entreprises à capitaux d’État majoritaires ;
Soutenir les entreprises mises en place par les sportifs en reconversion.
Nous mettrons en place des pôles de sport d’élite avec un choix de disciplines pour haute compétition, pour ériger des centres de performance ou pôles d’élite pour certaines disciplines ;
Nous favoriserons la recherche scientifique sur les sportifs sur différents aspects de la pratique sportive : la physiologie du sport, la psychologie du sport, la nutrition du sportif, les blessures et la rééducation et les technologies sportives Pour ce faire, nous construirons un Centre médico-sportif au niveau du CNEPS de Thiès et accompagnerons l’INSEPS à mettre en place un laboratoire de recherche ;
Nous construirons des infrastructures sportives multidisciplinaires et durables dans chaque région du Sénégal, en créant des emplois locaux pour leur gestion et en améliorant la santé des populations dans leur financement (nouvelles taxes sur les ressources pétrolières et gazières, les ventes de boissons gazeuses, le tabac, l’alcool et les niveaux de pollution des entreprises);
Nous faciliterons la recherche de financement pour les fédérations et la négociation de contrat multi-événementiels et sportifs, avec les entreprises sponsors et les télévisions.
Le sport constitue un secteur en constante mutation relative à l’évolution des sociétés et des défis sur lesquels nos gouvernements doivent réfléchir. Au Sénégal, comme partout dans le monde, l’organisation sportive a évolué au fil du temps ; d’où la nécessité d’asseoir une gestion méticuleuse et experte, basée sur une politique sportive bien articulée autour de différents segments, avec un plan de financement clairement défini. Malgré toutes ces évolutions, de nouvelles réformes s’imposent, en vue d’une meilleure organisation et une meilleure gestion du sport sous toutes ses formes.
Pour surfer dans la vague de succès du sport sénégalais ces dernières années, et du football en particulier, nous nous engageons à maintenir le cap d’un sport compétitif, instrument de socialisation et vitrine diplomatique et touristique.
1 - La réforme et la gouvernance du sport
Nous mettrons en place le code du sport pour doter le secteur sportif sénégalais, d’un cadre législatif prenant en compte les préoccupations liées à la pratique. Ceci passera par :
La refonte de la Charte du sport de 1984 ;
L’abrogation, la modification et la création de textes règlementant les aspects liés à la formation, aux infrastructures sportives, au sport de haut niveau; au sport pour tous, à la prise en charge du dopage, du numérique et du financement du secteur;
Nous mettrons en place un cadre juridique adéquat, permettant aux infrastructures sportives de générer des ressources et de les réutiliser pour leur entretien et leur maintenance ;
Nous mettrons en place une agence de développement et de promotion du sport, afin de développer les infrastructures sportives et les clubs sportifs, de former les entraîneurs et les athlètes et de promouvoir le sport auprès de la population ;
Nous mettrons en place un fonds national de développement du sport pour accompagner le sport et compléter les limites inhérentes aux budgets de l’État. Ce fonds sera alimenté par les taxes de droits de télévision, de la loterie, du sponsoring, des casinos, etc. ;
Nous revaloriserons l’Éducation Physique et Sportive (EPS) et lui donnerons sa véritable place dans le système éducatif sénégalais, compte tenu de sa contribution à la formation complète des élèves, en sauvegardant leur équilibre. Pour ce faire, nous reverrons les dispositions actuelles :
Nous rendrons effectif et systématique la pratique de l’EPS à l’école, par le respect du volume horaire en vigueur à travers une circulaire ou tout autre acte réglementaire ministériel ;
Nous abrogerons le décret n°2014-632 du 07 mai 2014 fixant les crédits horaires et les coefficients dans l’enseignement moyen général, en faisant revenir celui du n°73-896 fixant les crédits horaires comme suit :
Au niveau du cycle moyen : il faut trois (03) heures hebdomadaires de cours réparties en une séance longue de deux (02) heures et une séance courte d’une (01) heure ;
Au niveau du cycle secondaire : quatre (04) heures hebdomadaires réparties en deux séances de deux (02) heures chacune.
Nous ouvrirons des départements de Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) dans toutes les universités, afin de participer à la résorption du nombre insuffisant d’enseignants d’EPS. Actuellement, seulement 3 structures (INSEPS, CNEPS et STAPS de l’UGB) en forment, alors que le déficit demeure ;
Nous améliorerons les contenus d’enseignements et la supervision des enseignants, par l’intégration de modules en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives, dans la formation des inspecteurs généraux de l’éducation et de la formation (IGEF) à la FASTEF ;
Nous redynamiserons le Sport Scolaire et Universitaire. Pour ce faire, nous ferons suite au décret n° 2021-1594 relatif à la création de la fédération sénégalaise du sport scolaire et du sport universitaire, par la mise en œuvre des arrêtés n° 23250 et n°23351 du 11 août 2022 portant statuts desdites fédérations par :
L’achèvement du processus de mise en place des ligues académiques scolaires et des ligues universitaires conformément à la réglementation ;
L’accentuation de l’organisation des championnats nationaux scolaires ;
La reprise de l’organisation d’un festival national scolaire chaque 2 ans ;
La reprise de l’organisation du championnat national universitaire chaque année (le dernier CNU date de 2013 au stade L. S. Senghor) ;
La mise en place de lycées sportifs au niveau des futurs pôles régionaux de développement, conformément à la charte de la déconcentration (il n’existe qu’un projet pour le lycée Delafosse) ;
Nous développerons les installations sportives de proximité, pour permettre à la population de renouer avec les activités sportives depuis le bas âge et assurer une continuité. Ceci passera par des installations d’espaces multifonctionnels, permettant d’accueillir plusieurs disciplines dans un seul espace :
Au niveau des établissements scolaires (Élémentaire, collège, lycée) par l’exploitation des espaces libres dans les établissements scolaires pour la construction de terrains multisports, englobant par exemple, le basketball, le volley, le handball, le mini foot, etc.
Au niveau des établissements universitaires, par la dotation d’installations sportives, pour assurer la continuité de la pratique du sport déjà entamé lors du cursus scolaire ;
Au niveau des quartiers, par l’installation de parcours et agrès destinés à développer les capacités et de parcs de fitness en extérieur, permettant aux citoyens de faire facilement et librement de l’exercice à ciel ouvert ;
Au niveau des communes, départements et régions par :
La construction de gymnases permettant la pratique de sports divers, notamment le basketball, le handball, le volleyball, le foot salle, les arts martiaux, la lutte gréco romaine, la boxe, la gymnastique etc. Les stades régionaux seront aménagés pour accueillir ces types d’infrastructures (Ex : Stade Lamine Guèye, Elimanel Fall, Stade Amitié, Lat Dior, etc.)
L’aménagement d’espaces sablonneux pour le beach soccer, le beach-volley et la lutte traditionnelle, dont la plupart des entraînements se font dans les établissements scolaires ;
La construction de piscines pour doter chaque capitale régionale au moins, d’une piscine. Des cours de natation seront intégrés dans les programmes scolaires.
Nous promouvrons la création d’un club majeur multisports dans chaque capitale régionale, soutenu fortement par les collectivités territoriales et du Conseil régional afin de :
Favoriser le sentiment d’appartenance des populations, permettant d’accroître la capacité exceptionnelle de mobilisation des supporteurs ;
Faciliter la professionnalisation des clubs, qui pourront concentrer les subventions régionales et mobiliser les populations à chacune de leurs rencontres sportives ;
Faire la promotion de nos régions en améliorant leur connaissance par l’ensemble des Sénégalais.
Nous assurerons la mise à disposition, des espaces sportifs nécessaires, des équipements spécifiques, des moyens humains, d’entraînements, de formations et de ressources appropriés, ainsi que l’octroi de subventions, en vue de contribuer aux financements des activités des clubs sportifs des personnes handicapées et de soutenir les fédérations para sports dans la réalisation de leurs projets ;
Nous ouvrirons des centres de développement technique et travaillerons au développement du para sport au Sénégal, ainsi qu’à la mise en place de conditions de préparation technique, physique, athlétique et mentale, des para athlètes sénégalais, en vue de la participation à des compétitions nationales et internationales.
2 - Le sport de performance, une vitrine touristique
Nous mettrons en place une mutuelle pour les sportifs licenciés, avec une obligation d’adhésion des pratiquants comme exigence aux structures sportives. Ceci sécuriserait d’une part les sportifs, motiverait les parents à autoriser leurs enfants à la pratique du sport, qui ne serait plus un risque de coûts médicaux supplémentaires. Cette mutuelle servira aussi à financer des projets pour les sportifs de haut niveau à la retraite, en plus de gérer la pension des souscripteurs éventuels. Il s’agira d’apporter un financement remboursable aux projets rentables que les sportifs veulent promouvoir dans leur espace (salles de fitness, centres de formation, etc.) ;
Nous créerons 5 pôles espoirs : Nord, Sud, Est, Ouest et Centre, pour un développement durable du sport de performance dans toutes les disciplines sportives. Ce système de pôle permettra d’installer une concurrence saine entre les différents pôles, ce qui serait profitable pour le sport d’élite ;
Nous créerons des lycées d’Excellence du sport-études, pour allier réussite scolaire pour un avenir radieux et réussite sportive. Dans ce cadre, nous identifierons et sélectionnerons un certain nombre de disciplines et leur octroierons un créneau horaire par niveau dès le primaire ;
Nous favoriserons la reconversion des sportifs de haut niveau. Il sera question de :
Proposer des formations dans le sport : métier d’entraineur, d’arbitre, maître-nageur, animateur, professeur de judo, de karaté, de taekwondo, jockey, etc. ;
Proposer des bourses et modules de formation dans d’autres métiers, en fonction de leurs potentialités ;
Mettre en place un bureau de recherche de postes de manager dans un club sportif, de gymnastique, de magasins d’articles de sport, gestionnaire d’une équipe sportive, etc. ;
Signer une convention pour le recrutement dans les sociétés nationales et les entreprises à capitaux d’État majoritaires ;
Soutenir les entreprises mises en place par les sportifs en reconversion.
Nous mettrons en place des pôles de sport d’élite avec un choix de disciplines pour haute compétition, pour ériger des centres de performance ou pôles d’élite pour certaines disciplines ;
Nous favoriserons la recherche scientifique sur les sportifs sur différents aspects de la pratique sportive : la physiologie du sport, la psychologie du sport, la nutrition du sportif, les blessures et la rééducation et les technologies sportives Pour ce faire, nous construirons un Centre médico-sportif au niveau du CNEPS de Thiès et accompagnerons l’INSEPS à mettre en place un laboratoire de recherche ;
Nous construirons des infrastructures sportives multidisciplinaires et durables dans chaque région du Sénégal, en créant des emplois locaux pour leur gestion et en améliorant la santé des populations dans leur financement (nouvelles taxes sur les ressources pétrolières et gazières, les ventes de boissons gazeuses, le tabac, l’alcool et les niveaux de pollution des entreprises);
Nous faciliterons la recherche de financement pour les fédérations et la négociation de contrat multi-événementiels et sportifs, avec les entreprises sponsors et les télévisions.