La plus courte réponse est l’action..
Les agissements du régime actuel lors des 8 derniers mois, sont révélateurs de ses incapacités à joindre l’acte à la parole.
Nébuleuse budgétaire
En parfaite contradiction avec les exigences de transparence affirmées, il faudra noter le recours au décret présidentiel pour la liquidation et l’encaissement des recettes sur une période de 8 mois, sans recourir à l’autorisation préalable de l’Assemblée nationale, avec une option de régularisation tardive à la fin de l’année, volonté de voter une loi de finance initiale sans débat, l’absence de visibilité sur les grosses dépenses effectuées en direction des sinistres des inondations (8 milliards).
Clientélisme politique
Le système de nominations mis en place jure avec la déclaration selon laquelle, « chaque talent national sera promu, en ne tenant compte ni de son origine ni de son appartenance partisane ». Les nominations de stagiaires ou de sans-emplois à des postes de direction, en ignorant des compétences confirmées, sont une parfaite illustration de l’option d’un recrutement partisan et sectaire, sans appel à candidature.
Ingérence assumée dans les affaires de la justice
Le Premier ministre a publiquement réclamé son droit d’être un des maîtres des poursuites à travers des injonctions faites à son ministre de la justice. Ce qui est en contraction avec la promesse d’une justice indépendante.
L’alourdissement du train de vie de l’Etat
Il faudra noter, entre autres, le maintien incompréhensible de certaines agences, l’augmentation du budget de fonctionnement (4.348,1 milliards LFI 2025 contre 3.697,6 LFI 2024),le maintien des différents fonds politiques, les recrutements tous azimuts, notamment ceux scandaleux de 47 chargés de mission, responsables de son parti, à la veille des élections législatives.
Le mérite du PM est de transformer la parole en actes. Pour lui, bien faire, c’est bien dire.
Alors, il fait usage de la parole, sans retenue, encore et encore, tant que l’applaudimètre cache ses carences de concepteur et d’homme d’action.
Les promesses s’agglutinent. Celles faites et celles ignorées se défient, se croisent et s’éloignent, sans réels impacts sur le vécu quotidien des populations.
Les attentes sont dans l’action. Les déclarations d’intention seront évaluées à l’aune de leurs réalisations.
Thierno Bocoum
Président AGIR
Les agissements du régime actuel lors des 8 derniers mois, sont révélateurs de ses incapacités à joindre l’acte à la parole.
Nébuleuse budgétaire
En parfaite contradiction avec les exigences de transparence affirmées, il faudra noter le recours au décret présidentiel pour la liquidation et l’encaissement des recettes sur une période de 8 mois, sans recourir à l’autorisation préalable de l’Assemblée nationale, avec une option de régularisation tardive à la fin de l’année, volonté de voter une loi de finance initiale sans débat, l’absence de visibilité sur les grosses dépenses effectuées en direction des sinistres des inondations (8 milliards).
Clientélisme politique
Le système de nominations mis en place jure avec la déclaration selon laquelle, « chaque talent national sera promu, en ne tenant compte ni de son origine ni de son appartenance partisane ». Les nominations de stagiaires ou de sans-emplois à des postes de direction, en ignorant des compétences confirmées, sont une parfaite illustration de l’option d’un recrutement partisan et sectaire, sans appel à candidature.
Ingérence assumée dans les affaires de la justice
Le Premier ministre a publiquement réclamé son droit d’être un des maîtres des poursuites à travers des injonctions faites à son ministre de la justice. Ce qui est en contraction avec la promesse d’une justice indépendante.
L’alourdissement du train de vie de l’Etat
Il faudra noter, entre autres, le maintien incompréhensible de certaines agences, l’augmentation du budget de fonctionnement (4.348,1 milliards LFI 2025 contre 3.697,6 LFI 2024),le maintien des différents fonds politiques, les recrutements tous azimuts, notamment ceux scandaleux de 47 chargés de mission, responsables de son parti, à la veille des élections législatives.
Le mérite du PM est de transformer la parole en actes. Pour lui, bien faire, c’est bien dire.
Alors, il fait usage de la parole, sans retenue, encore et encore, tant que l’applaudimètre cache ses carences de concepteur et d’homme d’action.
Les promesses s’agglutinent. Celles faites et celles ignorées se défient, se croisent et s’éloignent, sans réels impacts sur le vécu quotidien des populations.
Les attentes sont dans l’action. Les déclarations d’intention seront évaluées à l’aune de leurs réalisations.
Thierno Bocoum
Président AGIR