Areline Martinez, une créatrice de vidéos TikTok mexicaine, a été tuée le 2 octobre alors qu’elle se mettait en scène dans un faux kidnapping pour une de ses vidéos. Lors du tournage, un de ses « amis » lui aurait tiré une balle dans la tête accidentellement, rapportait Mexico News Daily le 14 octobre. Deux hommes ont pris la fuite après la tragédie.
Les précédentes vidéos TikTok d’Areline étaient tout aussi violentes. On pouvait l’y voir les yeux bandés, les mains et les pieds liés, tandis que des hommes l’entouraient et braquaient des armes sur sa tête. Après sa mort, TikTok a supprimé ses vidéos. Des images des coulisses de la scène du meurtre tournent néanmoins sur le web.
Areline Martinez, les yeux bandés, quelques instants avant sa mort
César Augusto Peniche Espejel, le procureur général de l’État de Chihuahua où s’est déroulé le drame, a déclaré que l’arme utilisée pour le meurtre était un pistolet de calibre .45 et que le tir qui avait été tiré était accidentel. Le tireur a tout de même fui les lieux.
« Si quelqu’un a une responsabilité pénale, il devra y répondre », insiste Espejel. « Il y a plusieurs faits à examiner : la mort malheureuse de la jeune femme, l’origine de cette arme et comment elle est arrivée sur la scène. » Les images filmées quelques instants avant la mort de Martinez ont été utilisées par les autorités pour identifier les personnes qui ont fui.
La jeune femme a été enterrée ce lundi, laissant orphelin son fils d’un an.
Ulyces Monde avec Mexico News Daily
Les précédentes vidéos TikTok d’Areline étaient tout aussi violentes. On pouvait l’y voir les yeux bandés, les mains et les pieds liés, tandis que des hommes l’entouraient et braquaient des armes sur sa tête. Après sa mort, TikTok a supprimé ses vidéos. Des images des coulisses de la scène du meurtre tournent néanmoins sur le web.
Areline Martinez, les yeux bandés, quelques instants avant sa mort
César Augusto Peniche Espejel, le procureur général de l’État de Chihuahua où s’est déroulé le drame, a déclaré que l’arme utilisée pour le meurtre était un pistolet de calibre .45 et que le tir qui avait été tiré était accidentel. Le tireur a tout de même fui les lieux.
« Si quelqu’un a une responsabilité pénale, il devra y répondre », insiste Espejel. « Il y a plusieurs faits à examiner : la mort malheureuse de la jeune femme, l’origine de cette arme et comment elle est arrivée sur la scène. » Les images filmées quelques instants avant la mort de Martinez ont été utilisées par les autorités pour identifier les personnes qui ont fui.
La jeune femme a été enterrée ce lundi, laissant orphelin son fils d’un an.
Ulyces Monde avec Mexico News Daily