Une vidéo récemment diffusée a soulevé des préoccupations quant aux déclarations faites par Ousmane Sonko, un important homme politique sénégalais. Dans cette vidéo, il semble suggérer à la foule de "prendre d'assaut le palais" et de faire subir au président en exercice, Macky Sall, un sort similaire à celui de Samuel Doe, ancien président du Libéria qui a été sauvagement assassiné devant des caméras. Ces propos ont suscité des réactions négatives, qualifiant Sonko de délirant et remettant en question sa stabilité mentale. Certains affirment que la course présidentielle l'a rendu "fou".
Au lieu de présenter aux Sénégalais un programme politique digne de son statut, Sonko a semblé perdre le fil de la raison. Lors de son discours, il a tenté d'intimider l'actuel résident du Palais présidentiel, Macky Sall, en déclarant : "Le jour où il touchera l'un des leaders de l'opposition présents ici, le peuple le sortira du Palais et le traînera dehors, à l'instar de ce qui est arrivé à Samuel Doe et à d'autres dictateurs." Ces paroles ont mis en lumière la mentalité du leader de l'opposition, soulevant des questions sur ses véritables intentions. Il semble ainsi suggérer une fin tragique, malveillante et sanglante pour ses concitoyens.
De telles déclarations soulèvent des inquiétudes quant à la santé mentale d'Ousmane Sonko. En effet, un individu sain d'esprit ne souhaiterait jamais une fin aussi terrible à une personne, et encore moins à un chef d'État. Il est important de rappeler aux jeunes qui suivent aveuglément le leader de Pastef que Samuel Doe, président du Libéria à l'époque, a été capturé et assassiné de manière brutale le 09 septembre 1990 par les rebelles du Front Patriotique National du Libéria (NPFL), dirigé par Prince Johnson. Les détails sordides de cette exécution, incluant la mutilation du corps de Doe, ne devraient en aucun cas être glorifiés.
La manière dont Samuel Doe a été sauvagement tué, son corps traîné et exposé en public par les rebelles, ne devrait jamais être encouragée ni cautionnée, surtout par quelqu'un prétendant à la fonction présidentielle comme Ousmane Sonko. Si Sonko aspire à devenir le successeur de Macky Sall en 2024, il doit adopter un discours bien plus responsable et réfléchi. Le fait que ces déclarations n'aient pas provoqué plus d'indignation est étonnant. Nombreux sont ceux qui font la sourde oreille à ces propos.
Ces discours ont contribué à éroder la confiance en Ousmane Sonko. En suscitant des doutes sur ses intentions, ils ont créé une atmosphère d'instabilité. Même s'il ne fait pas directement appel à la violence, il semble encourager des attitudes de complot. Ses partisans ont instauré une sorte de dictature de la pensée, allant même jusqu'à s'aliéner une partie des foyers religieux. Les propos crus qu'il utilise présentent un danger réel pour la République. Heureusement, le peuple sénégalais est généralement reconnu pour sa compassion et son humanité, et ne serait pas enclin à commettre de telles atrocités.
Il est légitime de se demander jusqu'où ira l'irresponsabilité d'Ousmane Sonko. Si Macky Sall n'est pas un modèle de liberté, Sonko semble pousser cette notion à l'extrême. Bien qu'il ne soit pas encore au pouvoir, le maire de Ziguinchor agit comme un tyran en puissance. Son obsession pour la confrontation a même conduit de nombreux partisans à prendre leurs distances. La vraie nature du leader de Pastef se révèle de plus en plus, suscitant des appréhensions chez les Sénégalais quant à lui confier le pouvoir.
La communication d'Ousmane Sonko est un véritable désastre. Bien qu'il tente de diriger le destin des Sénégalais, il est manifestement incapable de communiquer de manière digne d'un homme d'État. Chacune de ses interventions ou de ses actions crée des secousses dans le pays. Son discours est centré sur le combat, la résistance, les complots et la défiance. À chaque prise de parole, on a l'impression qu'il cherche à conduire le pays vers sa propre destruction. Lors d'une récente participation aux célébrations des 25 ans du Parti de l'Unité pour le Rassemblement (PUR), il s'est une fois de plus perdu dans des déclarations inappropriées.
Au lieu de présenter aux Sénégalais un programme politique digne de son statut, Sonko a semblé perdre le fil de la raison. Lors de son discours, il a tenté d'intimider l'actuel résident du Palais présidentiel, Macky Sall, en déclarant : "Le jour où il touchera l'un des leaders de l'opposition présents ici, le peuple le sortira du Palais et le traînera dehors, à l'instar de ce qui est arrivé à Samuel Doe et à d'autres dictateurs." Ces paroles ont mis en lumière la mentalité du leader de l'opposition, soulevant des questions sur ses véritables intentions. Il semble ainsi suggérer une fin tragique, malveillante et sanglante pour ses concitoyens.
De telles déclarations soulèvent des inquiétudes quant à la santé mentale d'Ousmane Sonko. En effet, un individu sain d'esprit ne souhaiterait jamais une fin aussi terrible à une personne, et encore moins à un chef d'État. Il est important de rappeler aux jeunes qui suivent aveuglément le leader de Pastef que Samuel Doe, président du Libéria à l'époque, a été capturé et assassiné de manière brutale le 09 septembre 1990 par les rebelles du Front Patriotique National du Libéria (NPFL), dirigé par Prince Johnson. Les détails sordides de cette exécution, incluant la mutilation du corps de Doe, ne devraient en aucun cas être glorifiés.
La manière dont Samuel Doe a été sauvagement tué, son corps traîné et exposé en public par les rebelles, ne devrait jamais être encouragée ni cautionnée, surtout par quelqu'un prétendant à la fonction présidentielle comme Ousmane Sonko. Si Sonko aspire à devenir le successeur de Macky Sall en 2024, il doit adopter un discours bien plus responsable et réfléchi. Le fait que ces déclarations n'aient pas provoqué plus d'indignation est étonnant. Nombreux sont ceux qui font la sourde oreille à ces propos.
Ces discours ont contribué à éroder la confiance en Ousmane Sonko. En suscitant des doutes sur ses intentions, ils ont créé une atmosphère d'instabilité. Même s'il ne fait pas directement appel à la violence, il semble encourager des attitudes de complot. Ses partisans ont instauré une sorte de dictature de la pensée, allant même jusqu'à s'aliéner une partie des foyers religieux. Les propos crus qu'il utilise présentent un danger réel pour la République. Heureusement, le peuple sénégalais est généralement reconnu pour sa compassion et son humanité, et ne serait pas enclin à commettre de telles atrocités.
Il est légitime de se demander jusqu'où ira l'irresponsabilité d'Ousmane Sonko. Si Macky Sall n'est pas un modèle de liberté, Sonko semble pousser cette notion à l'extrême. Bien qu'il ne soit pas encore au pouvoir, le maire de Ziguinchor agit comme un tyran en puissance. Son obsession pour la confrontation a même conduit de nombreux partisans à prendre leurs distances. La vraie nature du leader de Pastef se révèle de plus en plus, suscitant des appréhensions chez les Sénégalais quant à lui confier le pouvoir.
La communication d'Ousmane Sonko est un véritable désastre. Bien qu'il tente de diriger le destin des Sénégalais, il est manifestement incapable de communiquer de manière digne d'un homme d'État. Chacune de ses interventions ou de ses actions crée des secousses dans le pays. Son discours est centré sur le combat, la résistance, les complots et la défiance. À chaque prise de parole, on a l'impression qu'il cherche à conduire le pays vers sa propre destruction. Lors d'une récente participation aux célébrations des 25 ans du Parti de l'Unité pour le Rassemblement (PUR), il s'est une fois de plus perdu dans des déclarations inappropriées.